L Amour Est Une Illusion Platon

religion ? - Avoir une religion, c’est d’abord croire et donc admettre un certain nombre d’affirmations spéculatives que nul ne peut prouver (dogmes). - C’est ensuite adopter une disposition intérieure, une attitude du cœur qui est affective et morale (amour, soumission à Dieu,….). - C’est enfin se conformer à un certain nombre de pratiques (les pratiques religieuses ; prière, sabbat, aumônes, pèlerinages,…). « Il n’y a pas de religion sans rites et cérémonies », Bergson Le sentiment du sacré se tourne

Platon (en grec ancien Πλάτων / Plátôn), Athènes, 424–423 av. J.-C., 348–347 av. J.-C.1, est un philosophe grec, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes, qu'il critiqua vigoureusement. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate, Parménide, Héraclite et Pythagore, afin d'élaborer sa propre pensée qui explore la plupart des champs importants, notamment la métaphysique, l'éthique, l'esthétique et la politique. Son œuvre, composée presque

un mot, le moi a deux qualités : il est injuste en soi, en ce qu’il se fait le centre de tout ; il est incommode aux autres, en ce qu’il les veut asservir : car chaque moi est l’ennemi et voudrait être le tyran de tous les autres ». A travers cet amour-propre y réside également une volonté de plaire et d’être aprécié pour l’image que l’on a de soi –qui peut être erronée- c’est ici que naît le moi social. A cause des autres, il est un reflet des autres avant d’être lui-même. Il se créé un personnage

désirs 7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme 10 1. Schopenhauer 10 2. Bouddhisme 11 3. Christianisme 11 D. La sublimation 11 1. Platon 11 2. Nietzsche 12 3. Freud 13 II. Bonheur et temps 14 A. Le bonheur se distingue du plaisir par sa durée 14 B. Il faut chercher le bonheur dans l’instant présent 14 1. L’espoir nous empêche d’être heureux (Pascal) 14 2. Le désespoir est la

d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme 10 1. Schopenhauer 10 2. Bouddhisme 11 3. Christianisme 11 D. La sublimation 11 1. Platon 11 2. Nietzsche 12 3. Freud 13 II. Bonheur et temps 14 A. Le bonheur se distingue du plaisir par sa durée 14 B. Il faut chercher le bonheur dans l’instant présent 14 1. L’espoir nous empêche d’être heureux (Pascal) 14

Modifier nos désirs 7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme 10 1. Schopenhauer 10 2. Bouddhisme 11 3. Christianisme 11 D. La sublimation 11 1. Platon 11 2. Nietzsche 12 3. Freud 13 II. Bonheur et temps 14 A. Le bonheur se distingue du plaisir par sa durée 14 B. Il faut chercher le bonheur dans l’instant présent 14 1. L’espoir nous empêche d’être heureux (Pascal) 14 2. Le désespoir est la clef du

désire pas ce qui ne lui manque pas.» écrit Platon dans le Banquet. Il poursuit un peu plus loin : «ce qu’on n’a pas, ce qu’on n’est pas, ce dont on manque, voilà les objets du désir et de l’amour ». Descartes, à son tour, disait : «car comment serait-il possible que je puisse connaître que je doute et que je désire, c’est-à-dire qu’il me manque quelque chose... ». « L’Homme est fondamentalement désir d’être et le désir est manque. » écrit Sartre. De Platon à Sartre, sur environ 2300 ans de philosophie

de la vérité). Avec ces philosophes, vous serez paré, et sans, fort démunis... 1. Platon : avec le Platon et l’Académie de Jean Brun en « Que sais-je ? », vous disposez d’une introduction. La question de savoir s’il faut lire des dia- logues est ensuite délicate, notamment pour les questions de sciences, dont les termes ont radicalement changé. Pour aller plus loin : Alexandre Koyré, Introduction à la lecture de Platon.37 20 extraits d’œuvres prêts à l’emploi Commentaires proposés par Anne Staszak

associé à la tromperie et à l’illusion. Taché, il renvoie à l’imperfection ou à la souillure du péché originel. Comme tous les objets, il se prête donc à une pluralité de connotations, oscillant entre perfection et imperfection, connaissance et illusion. Mais fondamentalement, le miroir pose la question de l’« être comme » qui est au coeur des réflexions sur l’identité, sur la connaissance et sur la représentation de soi, du monde ou de Dieu, qu’elle soit intellectuelle, visuelle ou plus généralement

Notre époque se méfie des idéaux. Ils ne sont plus à la mode, ringardisés par le double jeu de l'idéologie de Mai 68 - qui les considère comme des instruments d'asservissement - et par la psychanalyse. Pour Freud, les idéaux étaient de simples «illusions». Et pourtant, en même temps que ce mouvement de recul coexiste, dans notre société individualiste qui a quand même imaginé l'action humanitaire et la défense de l'écologie, la tendance inverse - parfois même en une seule personne. «L'idéal est