L Analyse De La Demande De L Oreal

l’Organisation, Paris, 1994. 5 73..MUCCHIELLI (J.J.) et CELIMENE (F.), « Mondialisation et régionalisation, un défi pour l’Europ », Economica, Paris, 1993. 74..OLLIVIER (A.), DAYAN (A.) et OURSET (R.), «Le marketing international », PUF, Paris, 1991. 75. OREAL (S.), « Management stratégique de l’entreprise », Economica, Paris, 1992. 76. PEAUCELLE (J.L.), « Informatique », Vuibert - gestion, 1986. 77..PERCEROU (R.) et MARTINET (A.), « Entreprise, gestion et compétitivité », Economica, Paris, 1984. 78..PERETTI

l’Organisation, Paris, 1994. 73..MUCCHIELLI (J.J.) et CELIMENE (F.), « Mondialisation et régionalisation, un défi pour l’Europ », Economica, Paris, 1993. 74..OLLIVIER (A.), DAYAN (A.) et OURSET (R.), «Le marketing international », PUF, Paris, 1991. 75. OREAL (S.), « Management stratégique de l’entreprise », Economica, Paris, 1992. 76. PEAUCELLE (J.L.), « Informatique », Vuibert - gestion, 1986. 77..PERCEROU (R.) et MARTINET (A.), « Entreprise, gestion et compétitivité », Economica, Paris, 1984. 78

l’Organisation, Paris, 1994. 73..MUCCHIELLI (J.J.) et CELIMENE (F.), « Mondialisation et régionalisation, un défi pour l’Europ », Economica, Paris, 1993. 74..OLLIVIER (A.), DAYAN (A.) et OURSET (R.), «Le marketing international », PUF, Paris, 1991. 75. OREAL (S.), « Management stratégique de l’entreprise », Economica, Paris, 1992. 76. PEAUCELLE (J.L.), « Informatique », Vuibert - gestion, 1986. 77..PERCEROU (R.) et MARTINET (A.), « Entreprise, gestion et compétitivité », Economica, Paris, 1984. 78..PERETTI

l’Organisation, Paris, 1994. 73..MUCCHIELLI (J.J.) et CELIMENE (F.), « Mondialisation et régionalisation, un défi pour l’Europ », Economica, Paris, 1993. 74..OLLIVIER (A.), DAYAN (A.) et OURSET (R.), «Le marketing international », PUF, Paris, 1991. 75. OREAL (S.), « Management stratégique de l’entreprise », Economica, Paris, 1992. 76. PEAUCELLE (J.L.), « Informatique », Vuibert - gestion, 1986. 77..PERCEROU (R.) et MARTINET (A.), « Entreprise, gestion et compétitivité », Economica, Paris, 1984. 78..PERETTI

Directiongénéraledelacompétitivité, del'industrieetdes services Publication : Juin 2009 Copyright : L’ISM souhaite que la diffusion des résultats de cette étude soit la plus large possible. Les citations doivent néanmoins systématiquement mentionner la source. Les demandes de citations d’extraits doivent être adressées au préalable à : dir@infometiers.org Avec le concours du cabinet ArgoEsiloe 2 PLAN Objectifs de l’étude et méthodologie 5 I. II. III. IV. V. VI. Les profils des créateurs-repreneurs

parfois résumée en un slogan ou un nom qui la synthétise. Exemples : – « j’en ai rêvé, Sony l’a fait », rappelant que la définition de tout nouveau produit doit partir des rêves et désirs des utilisateurs visés ; – « parce que je le vaux bien », de L ’Oréal, où la création de valeur est d’abord celle perçue par le client ; – « Dreamliner » de Boeing (B-787), dont le nom traduit effectivement un travail sans précédent réalisé entre Boeing et les grandes compagnies aériennes pour définir l’avion rêvé (par

distinguent : le pricing goutte à goutte, le pricing à la référence et le pricing via des offres regroupées. La première méthode consiste à afficher un prix sans certains bénéfices, le consommateur séduit par le prix procède au processus d’achat qui demande plusieurs clicks. Avant de confirmer son acquisition, le prix réel incluant tous les bénéfices (livraison par exemple) est affiché. L’acheteur ayant investi du temps dans le processus se trouve contraint, psychologiquement, à continuer son achat

l ‘élaboration de ce guide • Monsieur Louis Bazire – BNP Paribas Brésil et CCFB • Monsieur Vianney de Chalus - CCI France • Monsieur Marcelo Carvalho – BNP Paribas • Monsieur Stéphane Mousset- Ambassade Française • Monsieur Patrick Sabatier – L´Oréal et CCEF Brésil • Monsieur Jean Paul Illy- Crédit Agricole • Monsieur Philippe Boutaud-Sanz – Chenut Oliveira Santiago • Mme Aude Chiron – Chenut Oliveira Santiago • Mme Tamy Tanzilli- ASGV Associados • Monsieur Frédéric Junck – For Results • Monsieur

deviennent à leur tour émetteurs, et, avec leurs pairs, seront la « caisse de résonance » constituée sur le web et grâce à lui. Comme le relèvent les auteurs du Média Humain, cela change complètement la donne puisqu‟un message n‟est plus imposé mais analysé, commenté et relayé de manière à ce que chacun puisse se faire son opinion et agir en tout état de connaissance. Ce qui peut sembler grandiloquent à l‟écrit peut avoir des conséquences tangibles dans la « vraie vie », puisque ce qui se dit sur une

du professionnel Le constat est fait qu’en comptabilisant les totaux par type de perception d’un groupe de dix participants, par exemple, le rapport de différences de perception peut aller de 1 à 8 ! Un fournisseur n’aura pas forcément la même analyse, le même « ressenti » d’un entretien que celui de son client. Il s’agit donc de respecter nos différences et de s’adapter à son interlocuteur. Les pièges liés aux différences d’échelle de valeur Le jeu « La jeune femme mariée » (qui peut être