L Analyse Keynésienne Et Classique

L’épargne est la part du revenu non consommé immédiatement. L’investissement permet de créer ou d’acheter des biens de production Deux grands courants de la théorie économique ont analysé les relations entre l’épargne et l’investissement. Dans les années trente, l’école autrichienne et F.Hayek en particulier, estiment que l’épargne doit être préalable à l’investissement. Keynes va quant à lui développer une vision complètement différente : pour lui trop d’épargne peut être nuisible à l’économie

favorables des variations du taux d’intérêt sur le comportement des agents, puis dans une seconde partie nous aborderons les limites de ces variations. 1ere partie : Les effets favorables des variations du taux d’intérêt sur les agents. 1) Analyse keynesienne Les ménages épargnent en fonction de leur revenu, la consommation précède toutefois l'épargne (ce qui n’est pas consommé est épargné). Les ménages consomment d'abord et attribuent le reste de leur revenu à l'épargne ou à la thésaurisation

permanent à temps complet et être prête à accepter immédiatement un emploi s’il est proposé. L’analyse du chômage a donne naissance à trois grands types d’explications : une explication classique qui impute la responsabilité du chômage à l’insuffisante rentabilité des entreprises ; une explication keynésienne pour laquelle le chômage résulte d’une demande solvable insuffisante et une explication plus structurelle qui lie le chômage à des facteurs économiques et sociaux permanents (on parle ainsi

sont celles de la faiblesse de la croissance et de la rigidité du marché. On a une partie des économistes que l'on appelle les "classiques", "libéraux", "theoriciens de l'offre", "les économistes standards". Ces économistes là sont des économistes qui vont travailler sur le problème de la rigidité du marché du travail. De l'autre coté, on a des économistes "keynésiens" qui sont souvent des "théoriciens de la demande" "des interventionnistes" "des hétérodoxes". Ces économistes se concentrent sur

citoyen, Histoire du suffrage universel en France (1992), La contre-démocratie. La politique à l'âge de la défiance (Seuil, 2006). Son ouvrage, La crise de l'Etat-providence, sorti en 1985, s'inscrit dans cette réflexion sur l’Etat ; Rosanvallon y analyse la situation des années 1980, afin d'ouvrir de nouvelles perspectives à nos sociétés. Depuis trente ans, il a développé une œuvre conséquente en histoire des idées politiques et sociales ainsi que sur l’évolution de la démocratie en milieu

psychologie. Une définition simple Définition retenue : « L’économie étudie la façon dont les individus ou les sociétés utilisent des ressources rares en vue de satisfaire au mieux leurs besoins. » Deux aspects : ⇨ Deux analyses possibles : micro- et macro- économique. ⇨ Il y aurait « une façon particulière de considérer les comportements humains ». L’économiste a donc une légitimité à aborder des sujets tels que la religion, la délinquance, la famille…, car on peut

néoclassique §une critique mineure, mais décisive : la critique des rendements décroissants §une critique majeure : la critique keynésienne qui donne naissance à la microéconomie 2 Les nouveaux libéraux acceptent et élargissent les objets d’étude de la microéconomie néoclassique §les néolibéraux et nouveaux classiques radicalisent certaines analyses de la microéconomie traditionnelle §les néolibéraux élargissent le domaine d’analyse de la microéconomie néoclassique 3 La nouvelle

régulation) : la fonction de régulation de l’activité économique : il y a ceux qui pensent que l’état ne doit pas participer à ceci (approche libérale : la crise est utile, l’état assure ses fonctions régaliennes), et d’autre part, une approche keynésienne : la crise économique a les conséquences sociales très négatives, donc, l’état doit intervenir à travers la politique budgétaire. Ne pas confondre le déficit public et la dette publique : quels sont les effets de la crise sur les finances publiques 

(voir fiche effet de levier).- Au niveau macroéconomique, on calcule la formation brute de capital fixe (FBCF) dans laquelle l'investissement des ménages est inclus (programme de première).  II. Les déterminants de l'investissement.- Selon une analyse classique, l'investissement est une fonction décroissante du taux d'intérêt. Autrement dit la baisse des taux d'intérêt favoriserait la décision d'investir. Comme l'épargne (S) est une fonction croissante du taux d'intérêt, les deux courbes s'ajustent

cette discipline. Les économistes classiques considèrent le travail comme n'importe quel autre bien ; le salaire constitue pour e eux un élément régulateur de la population. À partir de la fin du XIX siècle les néoclassiques vont montrer que le salaire détermine le niveau de l'emploi et que la flexibilité des prix permet un retour au plein emploi en cas de déséquilibre sur le marché du travail. Keynes quant à lui, va rompre avec ces auteurs qu'il appelle « classiques ». Pour lui, le niveau de l'emploi