L'Antéchrist

politique Sartre, en écrivant cette pièce s'est donné pour but de lutter contre la légitimation du régime en place. Il faut penser à remettre cette pièce dans son contexte historique, en attribuant à Oreste les traits du surhomme nietzschéen ou de l'antéchrist, il voulait redonner courage au peuple français dont la situation se retrouve aisément chez les Argiens… Oreste est donc de toute évidence le résistant type qui rétablit ce qui aurait dû être et supprime un état de fait injuste. Les Personnages:

vieux-croyants.......54 2. Les contacts avec d’autres confessions a) Les pomores et leurs influence............................................................................57 b) L’Eglise officielle : la « foi commune » ou la « corne de l’Antéchrist »...58 Conclusion………………………………………………………………...60 Bibliographie………………………………………………………………………..61 Annexes………………………………………………………………………………..63 Annexe 1 (Tableau des interrogés)………………………………………………..63 Annexe 3 ( Guide d’entretien)...……….…………………………………………

politique Sartre, en écrivant cette pièce s'est donné pour but de lutter contre la légitimation du régime en place. Il faut penser à remettre cette pièce dans son contexte historique, en attribuant à Oreste les traits du surhomme nietzschéen ou de l'antéchrist il voulait redonner courage au peuple français dont la situation se retrouve aisément chez les Argiens… Égisthe et son allié Jupiter représentent le duo Pétain / catholicisme qui conseillait avec bienveillance "le devoir de collaborer" (La Croix

propre et à la fin, la femme qui recueille l’enfant est clairement croyante (« elle lui parlait quelque fois de Dieu ») tandis que Meursault ne croit surtout pas en Dieu (« en me demandant si je croyais en Dieu. J’ai répondu que non. », « Monsieur l’Antéchrist », « il me restait peu de temps. Je ne voulais pas le perdre avec Dieu. »). La façon de voir la mort est également différente, dans le roman de McCarthy, c’est une déception, un drame, dans celui de Camus, on y attache peu d’importance.  Ensuite

suivent évidemment. Un jour il a une vision du Christ, portant le glaive de la parole dans la bouche, qui lui dit « écrit ce que tu as vu, le présent et ce qui doit arriver ». Et il lui révèle ce qui doit arriver à la fin des temps : la venue de l’antéchrist, le combat avec les justes jusqu’au triomphe du fils de l’Homme et la descente de la Jérusalem Céleste ou Dieu demeurera pour toujours avec les hommes. C’est après cette vision que Jean rédige L’Apocalypse (ce qui signifie Révélation). En

Amélie Nothomb a nommé ce roman « Antéchrista », car il fait référence à l’Antéchrist, donc le Diable, le contraire du Christ. Je pense que ce titre est très bien choisi, car il reflète tout au long du livre le contraire de Blanche, l’héroïne de ce livre, qui incarne la pureté et l’innocence. Inversement de Christa, l’ennemie de Blanche qui elle, représente la fourberie et le mensonge, d’où son surnom ; Antéchrista, l’Antéchrist, le Diable. Au niveau du personnage, Christa a une double personnalité

ses devoirs à autrui, l’individu se met en position de punir ou de commander à cet autrui. L’individu soumet l’autre à sa volonté. C’est pourquoi, s’il veut rester juste, le devoir doit être issu avant tout d’une volonté personnelle (Nietzsche, L’Antéchrist, 1895).Contrainte interne : Le devoir est absolu dans le sens où il est l’expression de la loi morale et de la volonté de respecter cette morale. Il est issu d’un sentiment spontané et désintéressé, et n'est soumis à aucun but ni aucune condition

l’oisiveté ». De plus, « c’est que pour ressembler aux apôtres qui étaient encore juifs, Gérard Segalelli se fit circoncire, ce qui va à l’encontre des paroles de Paul aux Galates – et tu sais que de nombreuses et saintes personnes annoncent que l’Antéchrist futur viendra du peuple des circoncis… ». Ensuite vint la sorcellerie, considérée elle aussi comme une hérésie, puisqu’elle est contraire aux idées émises par le catholicisme à cette époque. En effet, la sorcellerie était plutôt perçue comme un

de la morale », 1901 : « La volonté de puissance »; toute sa doctrine trouve son épanouissement dans ces œuvres ou se précisent les concepts du nihilisme, du surhomme, de la volonté de puissance, de l’éternel retour. En 1888 : « Ecce homo », « L’antéchrist », où il attaque de nouveau le christianisme. Enfin, encore en 1888, il publie « Crépuscule des idoles ou comment on philosophe au marteau » Ici, Nietzsche, psychologue, médecin, philosophe, fait la critique des idéaux anciens et contemporains

il est l'expression d'un profond malaise causé par la réalité […] le seul qui est besoin de mentir pour s'évader de la réalité, qui est-il? Celui qui en souffre. Mais souffrir de la réalité signifie être soi-même une réalité manquée »_Nietzsche (L'Antéchrist) Nietzsche= médecin de la civilisation. Les valeurs chrétiennes sont, selon lui, des symptômes de maladies, de malaises causés par la réalité. C'est la haine de la vie, l'espérance d'une autre vie. 1/ L'éternel retour. Nietzche fait l'hypothèse