L'Antéchrist

visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des prophéties, est un enthousiaste; celui qui soutient sa folie par le meurtre est un fanatique. Jean Diaz, retiré à Nuremberg, qui était fermement convaincu que le pape est l'Antéchrist de l'Apocalypse, et qu'il a le signe de la bête, n'était qu'un enthousiaste; son frère, Barthélemy Diaz, qui partit de Rome pour aller assassiner saintement son frère, et qui le tua en effet pour l'amour de Dieu, était un des plus abominables fanatiques

de transformer tous les spectateurs en tueurs en série, mais de présenter un « monstre » (RZ sort de la normalité de l'homme par : 1. sa surhumanité : il est comparé à des héros mythiques, Samson, Goliath.... ou même le surhomme de Nietzsche ou l'Antéchrist ; il est très fort physiquement, et peut se sortir des situations les plus inextricables : il est aussi fluide qu'un liquide dans la première scène car il peut passer par les mailles les plus fines des filets ; il a la grandeur et la force virile

par l'Inquisition qui condamne au feu des personnes accusées de crimes mineurs, l'interdiction faite aux comédiens d'être enterrés religieusement, le prédicateur protestant qui refuse d'accueillir Candide parce qu'il ne croit pas que le pape soit l'Antéchrist sont autant de manifestations de fanatisme et d'intolérance qui indignent Voltaire. La critique de l’église passe surtout par une satire du monde ecclésiastique. Il y a les débauchés : le grand inquisiteur de Lisbonne qui partage Cunégonde avec

apocryphes, tels que les Sybilles chrétiennes, le Testament des douze patriarches, etc. Saint Justin, (Dial., 80), saint Irénée (v. 25-36), Tertullien (Advers. Marc., III, 24) font des descriptions très détaillées du règne de mille ans. D'abord paraîtra l'Antéchrist , mais il sera anéanti avec toutes les puissances qui se joindront à lui. Tous les empires de la Terre, particulièrement l'empire romain, seront détruits. Alors, dans une nouvelle Jérusalem élevée sur les ruines de l'ancienne, Jésus fondera un

« Que venez-vous faire ici ? Y êtes-vous pour bonne cause ? –Il n’y a point d’effet sans cause, répondit modestement Candide, tout est enchaîné nécessairement et arrangé pour le mieux (…) –Mon ami, lui dit l’orateur, croyez-vous que le pape soit l’Antéchrist ? –Je ne l’avais pas encore entendu dire répondit Candide ; mais qu’il le soit ou qu’il ne le soit pas, je manque de pain. –Tu ne mérites pas d’en manger, dit l’autre ; va, coquin, va, misérable, ne m’approche de ta vie. » l40-49 p26-27. Ce passage

médiéval. Mais chez la Vénus, le signe de main qu’on trouve dans l’iconographie est inversé. C’est une indication plus subtile, mais claire : la Vénus est le contraire des figures sacrées qui font le signe de bénédiction, alors elle est liée à l’Antéchrist. L’origine satanique de la statue est indiquée plusieurs fois : l’archéologue remarque « Je doute que le ciel ait jamais produit une telle femme », donc peut être, que l’enfer l’ait produit. Une « ironie infernale » est mentionnée aussi. C’est

et 13 :7 lorsque la Bête guerroie contre les sanits et les vainc). Dans chaque passage, le Christ et ses fidèles vaincent par la mort. Satan et les pouvoirs du mal vaincent en tuant. » Johnson identifie le cavalier sur le cheval blanc avec l’Antéchrist et ses puissances qui cherchent à vaincre les fidèles du Christ. Les quatre premiers sceaux représentent le conflit dirigé vers les chrétiens pour les éprouver (v10). Il continue en disant ce cette interprétation n’exclue pas le fait que les sceaux

|sortes d’êtres surnaturels. | | Merlin est un magicien des légendes celtiques et du cycle d'Arthur. On le situe vers le Moyen Age, au temps des Chevaliers. À l'origine il devait être l'antéchrist. Effectivement il n'aurait pas existé si le Diable n'avait décidé un jour de jouer un mauvais tour aux mortels. Il vint sur terre et prit forme humaine pour se faire aimer d'une femme belle et naïve qui devait accoucher d'un représentant terrestre

et notamment au « blasphème » (V.31), ce qui poursuit dans une optique religieuse. On peut alors conclure que l'auteur considère ce travail comme une négation de la chrétienté, autrement dit de la bonté, c'est-à-dire comme un fléau infligé par l'antéchrist. Finalement, il est possible que tous ces éléments, assemblés les uns avec les autres, donnent à cette seconde partie du poème un registre polémique, en raison d'un blâme exprimant un combat idéologique. Le procédé argumentatif utilisé par

visions, qui prend des songes pour des réalités et ses imaginations pour des prophéties, est un enthousiaste ; celui qui soutient sa folie par le meurtre est un fanatique. [Jean] Diaz, retiré à Nuremberg, qui était fermement convaincu que le pape est l'Antéchrist de l'Apocalypse, et qu'il a le signe de la bête, n'était qu'un enthousiaste ; son frère, Barthélemy Diaz, qui partit de Rome pour aller assassiner saintement son frère, et qui le tua en effet pour l'amour de Dieu, était un des plus abominables