L Apologue Un Divertissement

exemples tirés de vos lectures personnelles.Les textes du corpus sont reproduits dans le sujet nﾰ 37.     LES CLÉS DU SUJET  Comprendre le sujetLes mots importants sont : « fiction », « réfléchir sur l'homme et sur le monde » : « fiction » renvoie aux apologues et à tout genre qui ­comporte une histoire fictive (roman, théâtre, poésie allégorique), ou encore à la bande dessinée et au cinéma ; « inciter à réfléchir » implique la notion d'idée, donc d'argumentation ; « l'homme et le monde » renvoie aux grands

l'ironie pour faire passer ses opinions et échapper à la censure en utilisant diverses expressions. De plus Voltaire fait appel à de nombreux réquisitoires pour exprimer ses vérités qui sont universelles. Toutefois, les vérités abordées dans les apologues doivent êtres dites de manières simple afin de toucher petits et grand mais surtout de les instruire un des buts premier de l'apologue. Le fait que Jean de La Fontaine utilise des animaux dans ses fables permet au lecteur d'être transporté dans un

manière nettement plus sous-entendue (contenu implicite, qui oblige le lecteur à s'investir davantage dans sa lecture, notamment dans l'interprétation de ce qu'il lit). Les textes implicites (contes, fables, fabliaux, apologues, nouvelles et romans) permettent d'allier le divertissement avec la réflexion philosophique. La dénonciation n'est pas la seule forme argumentative de cette littérature puisqu'il s'agit avant tout de démontrer et convaincre, de délibérer et de persuader, soit en sollicitant les

platonicien souligne l’idée qu’aucune prise de conscience n’est possible sans prise de parole. Jean de la fontaine grand fabuliste du 17ème siècle reconnu pour ses fables versifiées à visée morale : plaire et instruire, illustre cette idée dans son apologue le renard, le singe et les animaux, fable 6 du livre 6 publié en 1668 faisant partit du premier recueil « les fables choisies mis en vers par M. de la fontaine. » Le renard, le singe et les animaux est repris du grec Esope et transformé par Lafontaine

fragments)  Liasse VIII : divertissement – fragments 123 à 129 pages 117 à 124 (6 fragments) Listes de notions à appréhender : - Libertins : se dit au XVII siècle de quelqu’un qui manifestait son indépendance d’esprit par rapport aux enseignements du christianisme ; - Moraliste : auteur qui écrit sur les mœurs, la nature humaine ; - Montaigne : Il découvre l’impuissance de l’homme à travers la vérité et la justice. Il confirme la relativité des choses humaines ; - Apologue : Discours ou écrit destiné

un pauvre et un riche, et un rat. Le riche oublie son jouet et est fasciné par le joujou du pauvre (le rat vivant). On a une morale implicite. Nous verrons en quoi ce poème en prose est un apologue. Texte étudié "Le Joujou du Pauvre" de Baudelaire (Le Spleen de Paris) : Je veux donner l'idée d'un divertissement innocent. Il y a si peu d'amusements qui ne soient pas coupables ! Quand vous sortirez le matin avec l'intention décidée de flâner sur les grandes routes, remplissez vos poches de petites

Rossignol » La Fontaine, Fables Livre IX, Fable 18. Dans la seconde moitié du XVIIème siècle apparaît le classicisme. Ce mouvement litteraire a pour principes la conciliation du plaisir du divertissement mais en même temps, de l’instruction à travers le récit qui procure ce divertissement et donc, ce plaisir. Jean De La Fontaine, notamment avec ses Fables, illustre bien ses principes. L’extrait étudié, Le Milan et le Rossignol, d’ailleurs est tiré du livre IX de cette œuvre. Elle raconte

tours qu’il voyait au dessus d’un grand bois fort épais » : le château et lieu d’amour et de magie. Les fées donnent chacune un don à la jeune princesse Des bottes magiques, bottes de sept lieues Le registre merveilleux est le divertissement du conte. Dans cet apologue il a pour rôle de plaire «  placere ». Son but est de rendre attirant le récit aux yeux du lecteur pour lui enseigner une morale. Le registre merveilleux et à la morale ce que le parfum sucré et au médicament. Analyse de la morale

souris » extrait d'Il n'y a pas de querelle de Amadou Hampâté Bâ, il est narré l'histoire qu'un griot interprète devant son auditoire. On y retrouve donc une mise en abîme du genre ; un conte dans le conte , une histoire dans l'histoire . Dans cet apologue l'auteur nous enmène, par la taille du récit (récit court) à glisser vers une fable riche de sens. Ainsi Amadou Hampâté Bâ narre l'histoire qu'un griot raconte : « Il débutat la séance […] puis il nous conta l'origine de la chauve souris » l.6

ans. Le fabuliste affirme dans l'Avertissement qu'il a donné à ce recueil "Un air et un tour un peu différent". En effet, il ne se contente plus d'amplifier les canevas ésopiques par des traits familiers, mais a cherché à les enrichir à partir des apologues de l'indien Pilpay par exemple. Les sujets eux aussi s'élargissent et se diversifient dans cette deuxième parution : la question de l'absolutisme royal et de l'homme confronté a ce dernier y est très présente. L'observation porte sur tous les aspects