L Apport Monétariste

de la crise 
actuelle : d'abord stagflation (dans les années 70) puis lutte contre l'inflation au détriment du chômage (des années 80 au milieu des années 90) * Toutes les autorités monétaires des pays capitalistes appliquent les principes monétaristes d'un contrôle de la progression de la masse monétaire. IDEES DE L'AUTEUR * Milton Friedman va combattre vigoureusement le message optimiste de Keynes. Il considère que toute politique budgétaire active engendre rapidement une attitude inflationniste

une baisse du taux d’I, cela ne va pas dire que l’I a baissé en niveau, volume ou valeur, mais les flux d’I ont continué tandentiellement, relativement a baissé, ce qui a un impact sur l’accumulation du K. 2. L’explication de la crise par les monétaristes : Friedman est à l’origine de la « contre révolution conservatrice » (contre la théorie keynésienne), il dit que la crise qu’il essaye d’analyser est dont le signe st le plus tangible ce n’est pas pour lui la baisse du taux de profit (il le reconnait)

La théorie, le concept, les écoles de pensées et les apports des anticipations rationnelles FACULTÉ D’ADMINISTRATION DÉPARTEMENT D’ÉCONOMIQUE ANALYSE MACROÉCONOMIQUE I PRÉSENTÉ À : M. LOUIS ASCAH PAR : OLIVIER CROTEAU RAPHAËL DOSTIE-GOULET VICKY GRENIER PIERRE-GUILLAUME LABERGE TABLE DES MATIÈRES Introduction ........................................................................................ 1 Première et deuxième générations des anticipations.......................... 3

de liquidité, d’où la mise en place du plan BAKER en 1985 : politiques d’ajustement structurel (baisse des salaires, dévaluation, réduction de la dette publique) ; politique de rééchelonnement de la dette ; les banques tentent de se concerter pour apporter de l’argent frais aux pays endettés. Compte tenu des résultats mitigés des politiques d’ajustement structurel, l’idée selon laquelle la totalité de la dette ne serait pas remboursé à sa valeur faciale commence à faire son chemin à la fin des années

inflationniste : 1. Controverse des analyses monétaristes et keynésiennes : 1. Analyses libérales : l’inflation comme phénomène monétaire : Inflation ici de tous les prix cumulative, durable ; on distingue l’inflation globale et l’inflation subjacente = ne prend pas en compte les prix de certains produits importants qui ont un impact évident (énergies, matières premières, fruits et légumes). Dans L’approche libérale ou monétariste, l’inflation est un phénomène qui est purement

processus de création monétaire 4.1. Le processus théorique de la création monétaire 4.2. Le processus réel de la création monétaire Chapitre 3 : L’Inflation I – EXPLICATIONS MONETAIRES DE L’INFLATION A – La théorie quantitative B – Théorie monétariste C – L’approche classico-keynesienne II – L’INFLATION COMME PHENOMENE REEL A – L’inflation par la demande B – L’inflation par l’offre (ou par les coûts) III – CONSEQUENCES DE L’INFLATION Chapitre 4 : La politique monétaire I. L’ancienne

rivés sur leurs écrans, ceux qui suivent les fluctuations des titres ne sont pas tous pareils. Il est important de différencier l’investisseur du spéculateur, car leurs comportements vis à vis du marché sont assez éloignés. En effet, l’investisseur apporte des capitaux stables à une entreprise cotée, se positionnant sur le long terme (achetant une action pour ne la revendre que bien plus tard) et recherchant des revenus réguliers, tandis que le spéculateur tente lui d’anticiper le futur (donc l’innovation)

changement de la production. La monnaie aurait donc un rôle à jouer dans ce mécanisme de transmission, peut être en fonction de la perception du risque des agents. Slide 5 : La monnaie dans les modèles Nouveaux Keynésiens Parallèlement à cette théorie monétariste, la plupart des modèles Nouveaux Keynésiens développés dans la littérature ignorent le rôle que la monnaie pourrait avoir. Pourtant, les agents pourraient arbitrer entre dépenser ou garder leur argent en fonction de leur perception des risques.

chômage serait nulle. Intérêt d’avoir un taux d’inflation faible, mais le problème est qu’on agit toujours à court terme. E. Conclusion 1. L’analyse de la courbe de Phillips par Friedman et Phelps est liée aux supports théoriques de l’analyse monétariste. Or l’analyse des données montre qu’il existe une corrélation souvent négative entre taux d’inflation et taux de chômage. Donc devant ces évidences Friedman et Phelps ont tenté de concilier leurs analyses à long terme et les données qui confirment

l’offre de monnaie augmente, elle augmente plus rapidement que la production alors le taux d’inflation va augmenter, on passe de AA à B et le taux de chômage tend ou se maitient à son taux naturel E conclusion L’analyse de l’est lié au support monétariste, or l’analyse des données montre qu’il existe une corrélation souvent négative entre taux d’inflation et taux de chômage Devant ces évidences, friedman et phelps ont tenté de conciliées leurs analyses à long terme et les données qui confirment