L Apport Monétariste

production et l’emploi. Ce constat est prolongé par les monétaristes qui s’ils admettent un effet (trompeur) à court terme, ils abondent dans le sens d’une monnaie neutre à long terme. Ce constat est infirmé par l’histoire économique, la politique monétaire (taux d’intérêt, masse monétaire,…) a un impact significatif sur l’investissement, la croissance et l’emploi. Loi n° 11 : « anticipation n’est pas raison » (179 à 189) Selon les monétaristes, les anticipations des acteurs économiques annihilent

d'ajustement structurels ne sont pas remis en cause. Ainsi, pour cette deuxième secousse économique, les années 1980 et 1982 sont les plus dures. Ensuite, une embellie économique se dessine, favorisée par l'assouplissement de la politique monétariste de Paul Volcker et la baisse du prix du pétrole. En effet, on parle de contrechoc pétrolier à partir de janvier 1986, où le prix du baril se situe aux alentours de $ 12. Questions sur un document : Du contre-choc pétrolier à la déflation.

Deuxième partie : Les grandes doctrines économiques Un courant devient dominant lorsqu’il apporte des réponses aux grandes questions à une époque donnée. I-Le libéralisme Initié par l’école française vers 1750, François le Quesnay en est le chef de file. A-Les classiques Adam Smith (1723-1790) : 1776 « Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations ». Auteur écossais, philosophe éclairé, études de théologie, toujours soucieux de l’étique, il va renoncer à sa destiné

plus fréquent dans notre monde contemporain car il existe une adéquation entre les compétences des individus et les emplois qui leur sont proposés. Le chômage naturel : il existe un noyau dur du chômage. Celui-ci a été mis en évidence par les Monétaristes et surtout Milton Friedman, pour qui dans tout système économique, il y a un « taux de chômage plancher », et contre lequel aucune politique économique n’est capable d’agir. Cette théorie a été présentée par Friedman dans un article de 1968. Le

deux fonctions circuitistes de la monnaie font de la politique monétaire un instrument essentiel de la politique économique pour les keynésiens. Pour ces derniers la politique monétaire doit être déterminée par le gouvernement, à la différence des monétaristes qui pensent que le droit de battre monnaie et celui de la contrôler doivent être posséder par une institution indépendante du gouvernement  (ce qui explique le statut actuel de la Banque Centrale européenne). Les divergences entre néoclassiques

exclus, travailleurs à temps partiel. La redistribution des revenus 1 Sa légitimité [pic] analyse libérale : les inégalités de revenus sont faites pour motiver. L’économie de marché rémunère chacun en fonction de ce qu’il a apporté. Le courant libéral préfère l’assistance privée. [pic] analyse[7] keynésienne : il faut redistribuer pour relancer la demande, la consommation des ménages et c’est l’Etat qui doit prendre en charge cette redistribution. [pic] chez les marxistes

que la crise économique des années 70 (deux chocs pétroliers, 1973-1974, 1979), marquée par la conjonction de l’inflation et du chômage, entraîne un retour des thèses libérales, les pratiques monétaristes. En réaction à la théorie keynésienne et à la montée de l’inflation dans les années 70, les monétaristes, en la personne de Milton Friedman, chercheront à réhabiliter la théorie quantitative de la monnaie. Evolution de l’inflation en France depuis 1955 21 Partant de la courbe de Phillips

spécialisation Garantis : garantie de tout ou partie du capital OPCVM : Etablissement fondateur (assurance ou EDC), il a le choix de créer une SICAV17 ou un FCP18 (=Fond Commun Placement). Pour créer un OPCVM, il y a deux conditions : Il faut apporter un capital minimum au départ pour les SICAV de 8 000K€ et créer un FCP 400K€ Il faut obtenir l’agrément de l’AMF Avec ce capital, l’OPCVM va se constituer un portefeuille de valeurs mobilières diversifiées. Il fait fructifier son capital sur

La théorie monétariste: le renouveau de la théorie quantitative A partir des années 1970, on a assisté à une remise en cause du raisonnement keynésien. La montée simultanée de l'inflation et du chômage, les dérèglements monétaires internationaux, l'incapacité des politiques keynésiennes à venir à bout du ralentissement conjoncturel... ont favorisé le retour à une conception plus classique de la monnaie. La théorie quantitative est reprise, aux Etats-Unis, par les économistes monétaristes. Friedman

l’introduction d’une nouvelle monnaie : c’est le nouveau rouble : 1 nouveau R = 50 milliards de R anciens. A l’époque circulait des roubles papiers, mis en circulation par le tsar, ils amènent une certaine sureté car on est sûr qu’ils ne puissent apporter d’augmentation de la masse monétaire. . L’Allemagne entre 1921 et 1923 : l’hyperinflation attend à ce moment un pays riche et en situation de paix. Cette hyperinflation est notamment due au remboursement de la guerre, mais aussi par l’occupation