L Apport Monétariste

| |une "moyennisation" de la société française contemporaine. | |Tocqueville. | |Cette "vaste classe moyenne", observée dans la plupart des pays occidentaux, apporte un | |Les errements et la chute du système soviétique semblent démonter | |démenti formel à une bipolarisation de la société prophétisée par Marx. | |les risques de tout régime bâti sur le seul principe de | |Le

Les USA ont compté sur la dépréciation continue du dollar pour rétablir leur déséquilibre extérieur. La dépréciation a été si forte qu’elle a stimulé l’inflation importée et remis en cause ce choix. Les USA mettent alors en place une politique monétariste, relèvent fortement les taux d’intérêt et provoquent vaste mouvement d’appréciation du dollar. Cela finit par nuire à la compétitivité des produits américains. Les USA mobilisent la coopération quand leurs intére^ts propres sont en jeu (accords

l’entreprise c’est de créer de la valeur pour l’actionnaire en faisant cela l’entreprise va contribué a la croissance nationale et donc augmenter le pouvoir d’achat des salariés . FRIEDMAN 1912 /2006 pris Nobel d’économie en 1976 fondateur de l’école monétariste opposante de Keynes c’est à dire contre l’intervention de l’état dans l’économie pour lui la responsabilité social de l’entreprise c’est d’accroitre son bénéfice PBI : somme des valeurs ajoutées PIB mondial : la somme des PIB nationaux

publie sa reformulation de la théorie quantitative de la monnaie. Alors que Keynes avait donné une place privilégiée à la monnaie, le keynésiannisme des années cinquante et soixante la néglige et c’est contre cela que se développera le courant monétariste, a croire que Keynes a été tellement dénaturé qu’on lui reproche de ne pas considéré la monnaie comme active. La révision des principales fonctions keynésiennes Beaucoup d’économistes formés à l’école néoclassique ont réalisé de nouvelles élaborations

siècle. Say divise la science économique en trois grandes parties : la production, la distribution et la consommation. Cette distinction se maintient jusqu’au 20e siècle, où elle est remplacée par celle entre micro et macroéconomie. Le plus célèbre apport de Say à la théorie de la production est la « loi des débouchés », qu’on appelle aussi la « loi de Say » Cette loi est essentielle pour les économistes libéraux et peut se résumer ainsi : toute offre crée sa propre demande. En pratique une entreprise

La courbe de Phillips depuis les années 1950 Introduction : Depuis les années 70, les monétaristes et les nouveaux classiques montrent que toute politique budgétaire et monétaire expansive est inefficace et ne se traduisent finalement que par une augmentation des prix et non une augmentation de la production et une diminue du chômage. Elles sont donc inutiles. La politique conjoncturelle est inefficace à CT pour Friedman et à LT pour la NEK. Tout ça vient d'un article de Phillips, un économiste

monnaie centrale est endogène car liée à l’activité bancaire. 1. La création de monnaie centrale en contrepartie de créances sur l’extérieur. Toutes les opérations sur devises des ANF passent par le canal des banques qui bénéficient ainsi d’un apport de monnaie étrangère, qui sont des titres de créances sur l’étranger. Les banques vont en conserver une partie afin de répondre aux besoins des Agents Non Financiers demandeur de devise, en vendant le reste à la banque centrale qui les paye en monnaie

sorte de réparer cette omission durant la Seconde Guerre mondiale. Il n'est pas écouté et préfère démissionner. Pour exprimer ses idées et ses réserves envers le Traité de Versailles, il écrit Les Conséquences économiques de la paix. Ce livre lui apporte à la fois l’aisance financière et une notoriété internationale. Il y reproche moins à Georges Clemenceau d’avoir défendu et imposé une solution influencée par le réalisme en relations internationales qu’à Woodrow Wilson et à Lloyd George de ne pas

. 2.1.2 Généralisation à une relation inflation-chômage . . . . . . 2.1.3 Exploitation de la relation inflation-chômage pour la politique économique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2 Les anticipations des agents et la critique des monétaristes . . . . 2.2.1 Variables monétaires ou réelles ? . . . . . . . . . . . . . . 2.2.2 Les anticipations chez Friedman . . . . . . . . . . . . . . 2.3 La théorie des anticipations rationnelles . . . . . . . . . . . . . . Introduction L’emploi est

classiques et néoclassiques Le modèle néo classique a été rapidement contesté notamment dans ces hypothèses de la concurrence parfaite. Deux nouveaux modèles vont apparaître. A. Le courant monétariste Document « l’éternel combat entre économistes et interventionnistes ». Pour les monétaristes (M. Friedman économiste de Chicago) de l'école de Chicago, l'inflation à toujours son origine la monnaie. En reformulant la théorie quantitative de la monnaie (MxV = PxT) M= la masse monétaire, V