L Apport Monétariste

L'« Augustinisme politique » * 3.2 L'économie au service du Bien Commun : L'époque médiévale * 3.2.1 Naissance et évolution du système domanial * 3.2.2 Le fonds culturel commun * 3.2.2.1 Apport judéo-chrétien * 3.2.2.2 Apport oriental * 3.2.3 Les théologiens * 3.3 L'économie au service du Prince : Renaissance et Ancien Régime * 3.3.1 Auteurs de la Renaissance et de la Réforme * 3.3.1.1 La Réforme protestante

cause du pétro dollar. Seconde source de la crise : changement complet et non anticipé du régime monétaire au niveau mondial avec l’arrivée de Paul Volker à la tête de la FED en octobre 79. Celui-ci veut casser l’inflation et mène une politique monétariste stricte. Au départ, taux d’intérêt très faible. Mais lui ne lisse plus les taux d’intérêt. Donc l’offre de liquidité est inférieure à la demande. Donc accroissement considérable des taux d’intérêts réels. (augmentation du taux d’intérêt nominal

classique, ses auteurs, ses idées. Nous verrons ensuite dans une seconde partie les mécanismes d’un autre courant économique ; l’école néoclassique. Puis dans une troisième et dernière partie nous nous intéresserons plus particulièrement aux critiques apportés aux courants économiques avec les idées de Joseph Schumpeter ou encore de Karl Marx. L’économie classique C’est à la fin du XVIIIe siècle qu’apparaît l’économie classique au sens moderne du terme. C’est l’écossais Adam Smith (1723-1790) qui

(arbitrage travail/ loisir). La demande de travail de la part des entreprises décroît quand le salaire augmente. La productivité marginale (qui sert de base à la rémunération du travail) est en effet supposée décroissante : le nouveau travailleur apporte une valeur ajoutée supplémentaire inférieure à celle du travailleur précédent. Donc un niveau élevé d'emploi exige un salaire suffisamment bas pour que les derniers embauchés rapportent tout de même plus qu'ils ne coûtent (Ex : en supposant qu'un

BCE de baisser ses taux d’intérêt. En effet, désormais, les pays de l’Union ne contrôlent plus la politique monétaire (et les taux d’intérêt) c’est une BCE indépendante qui s’en charge. Note: le rôle des taux ne fait pas l’unanimité. Ainsi les monétaristes, une mouvance au sein de l’Ecole néoclassique, (Milton Friedman est leur chef de file) parlent de neutralité de la politique monétaire. Pour eux la politique à pratiquer est celle de la stabilité de la monnaie et des prix. En créant un environnement

elle est d’un type nouveau. Il existe principalement deux grilles d’analyse des crises financières : la grille des monétaristes, pour lesquels les crises sont principalement dues à une inadéquation de la quantité de monnaie, et la grille néo-keynésienne, dont le principal théoricien est Minsky, repris par Kindleberger. Nous pouvons passer rapidement sur la grille d’analyse monétariste. En effet, ceux-ci considèrent que les crises sont le résultat d’une mauvaise politique économique, qui provoque un

fournie. A chaque niveau de salaire, les salariés adaptent leur offre de travail : plus le salaire augmente et plus l’offre de travail augmente (graphique 1), jusqu’au seuil où l’utilité marginale du salaire de l’heure supplémentaire travaillée leur apporte moins de satisfaction qu’une heure de loisir (‘désutilité’ du travail, représentée graphique 2). Le salarié s’adapte donc à chaque variation de prix, n’offrant une quantité plus ou moins importante de travail selon sa propre courbe d’indifférence

propose de faire dans les grandes lignes ce que Margaret Thatcher a entrepris en GB depuis 1979. A la base de sa politique on retrouve les idées de Milton Friedman. L'école de Chicago, déreglementer pour imposer la concurrence, théorie de l'offre. Monétaristes. B – Une idéologie politique en rupture avec les précédentes. Depuis le New Deal du président Roosevelt, la pensée politique dominante aux EU n'a cessé de considérer comme acquis le principe d'une vigoureuse intervention de l'Etat fédéral

devises : les devises étrangères sont des créances qu’elle détient sur l’étranger. Si la Banque de France achète des dollars, elle donne en échange des francs qu’elle crée pour l’occasion, elle augmente la masse monétaire. Ces dollars sont apportés par les banques à la Banque de France, et ce sont les devises des clients des banques qui sont venus les déposer. 2 – Les contreparties de la masse monétaire Dans les statistiques, on appelle contreparties de la masse monétaire, les

conduire des expériences en économie explique pour quelle raison il est si compliqué de trancher entre 2 théories concurrentes lorsque celles-ci aboutissent à des énoncés contradictoires. Milton FRIEDMAN (1912-2006) est à l'origine du courant monétariste. Il s'est très fortement opposé aux doctrines keynésiennes. Dans Les essais d'économie positive (1953), FRIEDMAN va défendre la thèse de la vérification qui est l'opposé de celle de la réfutation de Karl POPPER. Selon FRIEDMAN, une théorie peut