L Apport Monétariste

de l’économie monétaire : institutionnel, analytique, historique…. Il ambitionne de compléter la formation en traitant, particulièrement, du cas tunisien et de montrer aux étudiants que l’économie est une discipline vivante qui évolue interroge et apporte des réponses à des situations concrètes. Plus ambitieux le livre se veut un document pour préparer les concours et pour attirer l’attention à certains problèmes qui pourraient faire l’objet de développements ultérieurs lors de la préparation des travaux

de l’économie monétaire : institutionnel, analytique, historique…. Il ambitionne de compléter la formation en traitant, particulièrement, du cas tunisien et de montrer aux étudiants que l’économie est une discipline vivante qui évolue interroge et apporte des réponses à des situations concrètes. Plus ambitieux le livre se veut un document pour préparer les concours et pour attirer l’attention à certains problèmes qui pourraient faire l’objet de développements ultérieurs lors de la préparation des travaux

l’économie s’impose peu à peu. L’idée c’est une vaste politique de relance : on a à la fois une politique de grands travaux, de distribution d’aide visant à soutenir une demande de B & S. En France, on a à la même période le front populaire, qui apporte les congés payés. C’est le début des politiques conjoncturelles, le début de l’intervention de l’Etat. Les difficultés économiques des 1930’s sont responsables de la marche vers la 2nde GM, et ce n’est que cette 2nde GM qui permettra aux économies

investissements dans les années 20 après la stabilisation monétaire. Le principal courant financier va de Wall Street à Berlin car Berlin a besoin de capitaux donc elle pratique des taux d’intérêt élevés pour attirer les capitaux flottants. Ceci lui apporte des capitaux à court terme qu’elle réinvestit ensuite dans le long terme : ces capitaux ne seront donc pas disponibles s’ils sont rappelés. Les Etats-Unis investissent dans le reste de l’Amérique beaucoup plus sur le long terme et fait des placements

à ce propos reste la notion d'"Etat malveillant" développée notamment par A KRUEGER stigmatise l'intervention étatique et lui oppose l'extension de la sphère marchande comme gage d'efficacité et d'équité. Ces considérations constituent le socle monétariste qui sous - tend la panoplie des mesures de stabilisation et de reformes structurelles qui sont synthétisées dans ce qu'on appelle le Consensus de Washington. En bref, l'ajustement structurel est subdivise en deux phase distantes .La stabilisation

au reste du monde. En effet, ils soutiennent que la globalisation économique va nécessairement s’accompagner d’une extension de la démocratie politique et des droits de l’homme (justification humaniste de cette idéologie ethnocentriste). ( Le M apporte la démocratie partout où il va. !!Attention !! cela ne signifie pas que le LE s’accompagne forcément d’une extension de la démocratie. Si on retient une définition minimale de la démocratie : régime dans lequel il existe un système d’élections

par une refonte du cadre opérationnel de la politique monétaire, aussi bien au niveau des objectifs qu'au niveau des instruments. Les réformes des années 1990 ont visé la mise en place d'une politique monétaire de règle d'inspiration libérale (monétariste) qui s'est substituée à la politique monétaire discrétionnaire d'inspiration keynésienne. Les instruments d'intervention directs et coercitifs ont été progressivement remplacés par des instruments indirects. A partir de 2006, ce sera le cadre institutionnel

sur un niveau quotidien et interpersonnel, ses divisions ne créent pas des fortes haines et clivages. L’oncle d’Olanna, un Igbo qui a dit la phrase ci-dessus, a un ami qui est Hausa, et ils ont, en hausa, des conversations amicales. Cet ami même apporte un cadeau pour Olanna qui rend visite leur famille. Donc on voit un rapport complexe entre les groupes ethniques – sur un niveau personale, ces divisions ne créent pas trop de conflit et animosité, mais sur un niveau institutionnel, le rapport est

Nord (mouvement de délocalisation des industries européennes) et surtout l'Afrique du Sud, devenue aujourd'hui un PRI (pays à revenu intermédiaire). Enfin, pour certains pays (Tunise, Maroc, Kenya, Afrique du Sud, Sénégal) le tourisme constitue un apport important de devises. Les autres pays africains s'enfoncent peu à peu dans la pauvreté. BILAN Séance 5 Un continent sous dependance L'économie africaine (agriculture et industrie) est reléguée à la marge du phénomène de mondialisation

problématique et de la structure théorique (aux grandes questions concernant la croissance économique et la distribution entre profits on substitue un problème économique redéfini comme l’allocation des ressources rares entre des fins alternatives) et à un apport méthodologique (le raisonnement à la marge). En revanche, le marxisme, qui est en un sens une variante de la théorie classique (notamment ricardienne), ne peut être réduit à une variante mineure (surtout pour ses interprétations hegeliennes qui