L Apport Monétariste

monnaie ne peut rester en circulation, c’est la banqueroute. Law était donc le premier à chercher à utiliser la création monétaire à des fins macroéconomiques. Law est redécouvert au début du XX avec l’école keynésienne, (G.CASSELL ; I.FISHER) Les monétaristes ont dit qu’on ne pouvait promouvoir la croissance par une politique monétaire expansionniste mais on peut stabiliser l’économie pour créer des conditions favorables à la croissance. Ils ne cherchent pas à stimuler l’emploi et la croissance mais

efficacement que le autres (production où le pays est le moins mauvais, production qui nécessite le moins de travail). Dans ce cas, même un pays qui n’a pas d’avantage absolu peut participer aux échanges. Cette ouverture du pays sur l’extérieur lui apporte toujours un gain net = enseignement majeure de toute les théories internationales. Démonstration de RICARDO repose sur une comparaison, il compare les couts de production relatifs (dans modèle 2 biens, 2 pays). On constate dans le tableau : 90h :

il est proportionnel au capital avancé. Pour Smith, il faut s’intéresser aux taux de profit. Taux de profit : il vient en déduction sur le fruit de la valeur du travail. Le profit est en quelque sort une ponction sur une valeur qui est apporté sur le travail. Il nous dit que le profit c’est ce qui reste au capitaliste quand il a vendu la marchandise une fois qu’il a payé les salaires et la rente. En disant ça, Smith a un raisonnement circulaire : pour connaître le prix naturel d’un bien

grand texte n’avait alors été traduit en japonais. Aussi m’en suis-je tenu à ce qui me paraissait vraiment essentiel et caractéristique de l’ATR. Si pourtant j’ai largement puisé dans le texte initial, notamment dans sa première partie, où je n’ai apporté que des corrections ou des précisions mineures, c’est qu’à la réflexion, et à distance, il m’a semblé que cette présentation pouvait encore être utile, pour un lecteur français, et de 1992. Hormis en effet le livre de R. BOYER de 1986, très peu de

depuis le début du XXème siècle. Un rythme exceptionnellement élevé, qui aurait entraîné une hétérogénéité croissante au sein du capital fixe productif, des pans de plus en plus importants de ce capital étant désormais obsolètes. L'approche monétariste Les objectifs sont alors d'empêcher l'extension des faillites bancaires, en tout les cas éviter le pire, c'est à dire l'effondrement de la masse monétaire. La base monétaire est stabilisée en 1930, à un niveau légèrement inférieur à celui du

en 1933 et 1935. La crise de 1929 a fait l’objet d’analyses très diverses qui ont profondément renouvelé la théorie économique »25. « Outre le rôle de la spéculation et des intermédiaires financiers mis en évidence par Fischer ou Minsky, les monétaristes (Friedman et Schwartz, Une histoire monétaire des Etats Unis, 1963) insistent sur la ‘politique inepte’ de la banque centrale, qui ne joue pas son rôle de prêteur en dernier ressort en n’aidant pas les banques en difficulté. Les libéraux comme

secteur bancaire, des modèles traditionnels aux dernières tendances……………………………………………...…………………42-45  2.3.1) le déclin des approches via les sociostyles et les caractéristiques sociodémographiques………………………………………………………….42 2.3.2) l’intégration des apports concernant le comportement du consommateur à la segmentation : le marketing one to one ………………………………….42-43 2.3.3) L’apport des nouvelles technologies…………………………………43-45 Conclusion Bibliographie REMERCIEMENTS Je tiens à remercier

projets. b) Rôle de la Banque Mondiale En 2004, la Banque mondiale a fourni des financements à hauteur de 20,1 milliards de dollars et poursuivi des opérations au profit de plus de 100 pays en développement pour les aider, grâce à ses apports financiers et techniques, à réduire la pauvreté. Nous vivons dans un monde si riche que le revenu mondial dépasse 31.000 milliards de dollars par an. Mais si, dans certains pays, un individu moyen gagne plus de 40 000 dollars par an, dans d'autres

petitesse des exploitations qui ont souvent un caractère familial * Absence des divisions de travail car le Fellah apporte à la fois le travail et le capital ; * Faiblesse des rendements obtenus fait que la production est essentiellement autoconsommée. Donc l’agriculture traditionnelle reste une économie fermée qui vit une situation de subsistance et faiblement monétariste (le troc est encore pratiqué). Le secteur moderne : Il se compose de deux sous titre : Le secteur moderne capitaliste

distribuée aux pauvres, on accroît la Pmc de l’économie et la valeur du multiplicateur. Cette analyse a fondé les stratégies économiques de redistribution que les Etats occidentaux ont appliquées. Pour les monétaristes, cette stratégie est intolérable. Ils ont proposé une politique monétariste à la place des politiques d’intervention keynésiennes. 1.a.3.3.3. Des options difficilement conciliables 23 1.b. L’APPROCHE DE LA COMPTABILITE NATIONALE La comptabilité nationale propose un système comptable