L Apport Monétariste

augmenter leurs capacités de production future. Ce phénomène étant légitimé par la doctrine protestante Calviniste. 2) Les conditions d’émergence a) Les bouleversements technologiques liés à la révolution industrielle La révolution industrielle apporte une nouveauté : le machinisme, c’est à dire l’utilisation à grande échelle des machines comme moyen de production. Le développement a lieu surtout dans deux secteurs : le textile et la sidérurgie. Par exemple, dans le textile, John Kay invente

similaires peuvent être trouvées chez un auteur espagnol Martin De Azpilcueta. Ces deux auteurs font un constat similaire : ils partent du constat qu’il existe dans toute l’Europe au 16e siècle, un mouvement ascendant des prix. Jean Bodin en 1568, va apporter une explication dans son ouvrage intitulé « réponse au paradoxe de Mr de Malestroit touchant le fait des monnaies et l’enchérissement de toutes choses ». Ce qui est novateur dans ce texte de Jean Bodin c’est qu’il va recourir à une analyse de statistiques

faible, - inférieure à 1 à partir de 1936. Mais en 1946, Simon Kuznets procède à une étude de longue période en se référant à des données sur la consommation et le revenu réel des ménages aux Etats-Unis (1869-1939). Les résultats de cette étude ont apporté un démenti à la théorie de Keynes puisqu’ils ont montré que la PMC a été stable au cours de la période étudiée et qu’elle était inférieure à 1 (aux alentours de 0,9). En outre et contrairement à l’affirmation keynésienne, la PMC ne s’est pas réduite

(les marchés)  facilité de rencontre entre agents. Ces lieux concrets existent déjà. Un autre mécanisme transactionnel serait la création d’une maison de compensation qui est en quelque sorte un agent intermédiaire comptable. Chaque échangiste apporte à cette maison les biens qui possèdent pour obtenir en retour les biens désirés posés par les autres échangistes. L’autre mécanisme qui permet de réduire fortement les coûts d’information du système de troc c’est le mécanisme de l’intermédiaire des

l'économie avec Adam Smith 6 b. L'économie pour les classiques: de Say à Ricardo 7 c. L'économie selon Marx 8 d. L'économie marginaliste ou néoclassique 8 e. L'économie selon Keynes 9 f. L'économie pour les monétaristes 9 g. L'économie des déséquilibres 10 h. La microéconomie et la macroéconomie 10 III. Le capitalisme 11 a. Les fondements du capitalisme 11 b. Histoire du capitalisme 12 c. Le capitalisme au XXe siècle

terme (on peut observer des variations de prix brutales en un temps très court après une nouvelle macroéconomique ou quand une transaction « révèle » de l’information précédemment cachée). Le développement des transactions électroniques pourrait apporter plus de transparence au fonctionnement du marché. 146 Chapitre 7 - La politique de change b) Régime de change et convertibilité Le premier élément d’une politique de change est le choix d’un régime de change, qui spécifie d’une part la

général de la société ? Présupposé théorique (= postulat de départ) : Ce qui motive l'individu c'est son intérêt personnel. Si on fait la somme de tous les intérêts personnels, va-t-on déboucher sur un intérêt de l’ensemble ? La réponse qui est apporté à ce clivage va donner les grands courants économiques. le courant libéral : réponse positive, la somme des actions est la satisfaction d'intérêt générale prenant la forme d'équilibre. Il faut laisser les individus agir librement. Les contraintes

l’Etat obtient ses lettres de noblesse avec le Colbertisme. Cette doctrine économico-politique, établie par Jean-Baptiste Colbert au 17ème siècle, tend à faire de l’Etat un vecteur de puissance et de grandeur pour le pays et son monarque. Les soutiens apportés par Colbert aux manufactures françaises ne sont que temporaires, cependant leur objectif est précis : permettre aux entreprises françaises d’acquérir un savoir faire et une taille qui amélioreront leur compétitivité face aux concurrents anglais et

augmente) et ne pas durer : ce n’est pas de l’inflation. Chez Keynes on confond deux analyses : analyse de la crise et du rôle du politique et de l’économique d’une part, et des mécanismes crées pour expliquer la crise et des solution qu’on peut apporter à la crise. Mais on a oublié la première analyse (relation entre le politique et l’économique) Or c’est l’analyse la plus importante. Donc aujourd’hui, le problème actuel : on n’arrive pas à résoudre la crise parce qu’on fait l’hypothèse que la

et dont l’influence se décline d’une double manière. Les chercheurs qui travaillent sur des terrains dit monographiques se sentent tenus à justifier leur démarche et beaucoup s’appuient sur la description dense de Clifford. L’autre apport de Clifford, c’est son apport en terme de culture, étant entendue comme un système de significations et de valeurs communes que les individus utilisent dans leurs activités quotidiennes, politiques ou non. Dans ce sens, on pourrait considérer que ça rejoint la toile