L Approche Keynésienne

bougera pas et donc les banques peuvent être amenées à disparaitre => risque une crise La réalité est quelque part entre les deux Amérique plutôt multiplicateur et Europe plus proche du diviseur. 30/09/10 Le multiplicateur de crédit Approche comptable et mathématique On va considérer que la banque centrale arrive à contrôler la masse monétaire. La banque de 2nd rang, elle garde 20% des dépôts de réserve car elle sait qu’on va lui demandé de la liquidité. 1ère étape : A dépose

monétaire 9 III.2.1 Rapport de la monnaie face aux métaux précieux 10 III.2.2 Rapport de la monnaie face aux métaux précieux 10 III.3 Le Marxisme 10 IV. Le Néo-classicisme 11 V. La pensée économique contemporaine 12 V.1 La Pensée économique keynésienne 12 V.2 Le Monétarisme 13 VI. Leçons apprises 14 VII.Conclusion 15 VIII.Biobliographie. 16 Résumé L´histoire des doctrines économiques s´est construite, à travers les âges, à partir des apports socioculturels reflétant les influences psychologiques

..........................................................11 V. La pensée économique contemporaine .....................................................................................................................12 V.1 La Pensée économique keynésienne.......................................................................................................................12 V.2 Le Monétarisme.........................................................................................................

Patrick VILLIEU (professeur de sciences économiques à Tours), La Découverte, repères (n° 215), 1997 C = consommation, S = épargne, I = investissement INTRODUCTION La formation de la C et de l’S oppose les partisans d’une approche par la demande (keynésiens) à ceux d’une approche par l’offre (classiques et néo-classiques). La baisse de la consommation depuis 1990 appelle à un réexamen de ses déterminants. Politique économique : Faut-il tenter de relancer la C ou inciter à l’S ? § La C : - Est plus

fonctionnement de l’activité, comme le démontrent les réactions des États à la crise financière et bancaire dès 2008. C’est pourquoi nous définirons l’Etat et l’illustrerons selon les deux principales pensées économiques contemporaines :l’ approche libérale et keynésienne . 1. L’approche libérale, L’« État gendarme » Au début du XIXe siècle, les économistes libéraux, comme par exemple Adam Smith, ne prêtaient à l’État, que des fonctions régaliennes (diplomatie, sécurité extérieure et intérieure

CONSOMMATION : Comment utiliser les revenus distribués ? Quels types de biens ou de services acheter ? = Les 3 temps de la valse économique Production = produire et recevoir des rémunérations/ rémunération pousse à la consommation 2- Diversité des approches en économie L’économie n’est pas une science exacte. Preuve en est les différents courants de pensées totalement divergent qui existe jusque dans la définition de la science économique. A) La définition dominante Une grande partie des économistes

l’origine du capitalisme, c’est la différence entre la valeur d’usage (nombre d’hommes pour produire) et la valeur d’échange (valeur de la force de travail). Pour lui le communisme doit supprimer cette exploitation. Troisième courant : le courant keynésien ------------------------------------------------- J.M Keynes (1883-1946) L’œuvre de Keynes peut être analysée comme une volonté de réformer le système capitaliste libéral. En effet les chefs du « laisser faire » lors de la grande crise des années

l'offre globale (somme des offres de chaque marché particulier). • L'équilibre partiel : Si pour Walras le réalisme passe par la prise en compte de l'interdépendance des marchés, Marshall privilégie l'étude de l'équilibre partiel, qui est une approche consistant à étudier un marché en laissant de côté les influences des autres marchés. Pour lui, lorsqu'un marché est équilibré, on n'a pas forcément l'équilibre dans tous les marchés. III. L’école marxiste : • Karl Marx : Le matérialisme

revenu et la courbe d'indifférence la plus haute que l'on peut atteindre avec ce revenu qui constituera l'optimum du consommateur. La théorie keynésienne A l'inverse de la théorie néoclassique qui cherche à expliquer le comportement d'un agent économique (approche micro-économique), Keynes s'intéresse à la consommation en tant qu'agrégat économique (approche macro-économique). Son point de vue peut être résumé par la formule suivante: C = c.Y + Co où C est la consommation totale, c est la propension

favoriser le libre-échange. THEME 2 : Les grands courants de la pensée économique contemporaine L’économie contemporaine trouve ses origines dans trois courants de pensée: * La pensée néoclassique (nouveaux classiques). * La pensée keynésienne. * La pensé marxiste. I) L’économie néoclassique Trois grands auteurs : Jevons, Walras et Menger A la fin du XIXème siècle, ces auteurs découvrent un nouveau mode de raisonnement : le raisonnement à la marge qui est à l’origine de la Révolution