L Approche Keynésienne

correspond pas à une nouvelle forme de monnaie, mais juste un moyen de faire circuler la monnaie scripturale. B) Une approche classique de la monnaie : 1) Définition fonctionnaliste de la monnaie, les fonctions aristotéliciennes de la monnaie : Les classiques puis plus tard les néoclassiques, pour définir ce qu’est la monnaie, utilisent, pour commencer, une approche fonctionnaliste de la monnaie. Autrement dit, la monnaie peut être pensée par ses fonctions. Pour ce faire, les classiques

conceptualisation keynésienne (ensemble, information pas forcément parfaite contrairement au 1er cas) la conceptualisation marxiste (classes sociales : capitalistes/prolétaires) III- La phase de modélisation Voir polycop IV- La phase post-analytique Cette phase est la phase de la vérification empirique. Leçon 2 : Le concept de modèle I- Généralités sur les modèles Voir polycop. Il repose sur des hypothèses et des postulats. Modèle keynésien : Il est constitué

de biens | La demande de biens | Théoriciens | Smith, Ricardo, Marx | Jevons, Menger, Walras | L’école keynésien: Le keynésianisme est une école de pensée économique fondée par l'économiste britannique John Maynard Keynes. Pour les keynésiens, les marchés laissés à eux-mêmes ne conduisent pas forcément à l'optimum économique. Différence entre le courant libérale et le courant keynésien : Le courant libérale : . Cette école de pensée, dont la dénomination est associée au siècle des Lumières

pensée keynésienne innove tout particulièrement, en ce qui concerne la la méthode de l'analyse économique, par son caractère général (opposé aux facilités des équilibres partiels), son emploi des quantités globales (opposé au point de vue micro-économique), son insistance sur certaines variables privilégiées (investissement, taux de l'intérêt). Enfin, c'est surtout dans le domaine de la politique économique que l'on peut parler de «révolution keynésienne ».

donnée, n’est pas consommée : elle n’est pas détruite immédiatement par une dépense de consommation et peut être conservée sous forme liquide, ou être réinvestie dans le circuit économique sous la forme d’un placement ou d’un investissement. Approche néoclassique des déterminants de l’épargne : Pour les économistes néoclassiques, l'épargne -censée être investie- est une consommation différée dans le temps. L'épargne désigne donc tout comportement de renoncement à une consommation immédiate

échange marchand (rôle du marché et du prix).L’économie se perçoit alors comme la science des échanges, la science des prix, c’est une conception que l’on retrouve principalement chez les économistes néo-classiques. On exclut toutefois dans cette approche tout ce qui n’est pas lié aux marchés (ex les dépenses liées à la protection sociale échappent aux principes des marchés, certains pays ont développé des économies où le marché occupe une place marginale voire inexistante). Une troisième conception

l’interférence des phénomènes monétaires sur la sphère réelle ? Face aux théories keynésiennes, les idées classiques défendant une approche dichotomique de l’économie ont, semble-t-il échoué. Cependant, si l’on ne peut aujourd’hui plus penser l’économie en termes de dichotomie forte, les économistes actuels ne peuvent que se heurter au constat d’une non neutralité transitoire de la monnaie. I- Si l’analyse keynésienne a participé à faire oublier le caractère dichotomique de l’économie ...

entre micro et macro apparaît comme une tentative artificielle soit d’intégrer la macro au corpus théorique de la micro soit au contraire d’intégrer la micro à la macro. Neamoins et malgré toutes ces difficultés, on peut établir un lien entre les 2 approches. En effet, la macro ne diffère pas de la micro du point de vue de son objet d’étude mais seulement de la méthode employée. La macroéconomie analyse des faits qui concerne la collectivité nationale à travers des relations causales également globale

et les keynésiens Quelques considérations de principe du point de vue classico-keynésien Heinrich Bortis, Université de Fribourg / Suisse Introduction et problème Le traitement des relations entre secteur réel et secteur financier d’un point de vue classico-keynésien implique nécessairement une mise en opposition avec la théorie néoclassique, actuellement dominante. Afin de mieux mettre en relief nos propositions classico-keynésiens, qui impliquent naturellement la vision keynésienne des faits

dans le mauvais sens.)Entre Tinbergen et Samuelson, on ne peut trancher d’emblée. Nous partirons donc d’un examen problème par problème, avec à chaque fois a priori un seul instrument et nous essaierons de voir ce que cela permet de conclure. Keynésiens et classiques. – Pour choisir l’instrument, les économistes ont de nouveau un choix entre deux théories très affirmées. Longtemps, l’économie s’est construite dans une vision linéaire de sa progression vers une meilleure compréhension de la société