L Approche Keynésienne

d’intégration ou d’ouverture des marchés financiers pose des problèmes de mesures théorique et empirique. Si l’ampleur des flux de capitaux privés fournit certes un indicateur fondamental du degré d’ouverture financière des économies émergentes, d’autres approches « proxies » sont souvent avancées bien que parfois contradictoires. [->2] Les taux de change Le taux de change nominal[->3] Le taux de change réel [->4] Le taux de change nominal Le taux de change, défini comme le prix ou cours

démographie. A - Les mercantilistes et le rôle de l'État Pour eux, la richesse dépend de la détention de métaux précieux, l'État doit donc intervenir pour favoriser l'accumulation nationale de lingot. Pour augmenter ce stock il y a différentes approches : En Esp. : Rapatriement des richesses du nouveau monde En Fra. : Découvrir comment le rapatrier en échange il faut développer l'échange/les export. Notamment avec les manufactures et l'importation de nouveaux artisans En UK. : notion du commerce

théories. 1. Les Théories traditionnelles Nous allons exposer les trois principales théories explicatives du fonctionnement du marché de travail, qui portent cette appellation, en l’occurrence les théories néoclassique, marxiste et keynésienne. Avant tout il y a lieu de définir la notion de marché du travail. Selon la théorie néoclassique, l’utilisation de la main-d’œuvre a été abordé en termes d’offre et de demande de travail est un lieu –éventuellement abstrait- où s’effectue

pervers des politiques interventionnistes tout en prônant un ultralibéralisme. Friedman va devenir la principale figure du courant monétariste et le chef de file de l'université de Chicago dont il fera un « bastion anti-keynésien ». Une première opposition à la pensée keynésienne portera sur l'interprétation de la crise de 1929. Là où Keynes voyait l'insuffisance de la demande effective et un capitalisme incapable de s'autoréguler, Friedman ne voyait qu'un concours de circonstances et une erreur

fondamentale de la science économique: rechercher les tenants et les aboutissants du phénomène de croissance. Rompant avec le pessimisme classique de l'état stationnaire, que l'on trouve chez Smith ou Ricardo, une reformulation fondée sur l'analyse keynésienne (modèle Harrod Domar) puis néo-classique (avec le modèle de Solow) relance, dans les années 1950, le débat sur le phénomène de croissance qui reste, par de nombreux aspects, assez mystérieux. Parallèlement à ces développements théoriques, des travaux

Salaire d’équilibre entre 2 fonctions : offre (() et demande Plein emploi ( demande = offre. * ≠ approches du chômage : ⇨ chômage frictionnel : information imparfaite ⇨ chômage structurel : inadaptation des formations ⇨ chômage classique/néo-classique : autorégulation du marché du L => chômage volontaire (solution : supprimer les obstacles aux marchés : Etat) ⇨ chômage keynésien : insuffisance de la demande anticipée (solution : stimuler la Dde : grds travaux, redistribution)

en œuvre, il se lance dans une approche plus historique et sociologique des problèmes de la démocratie. Ainsi il va s’intéresser à l’histoire des idées libérales pour comprendre en quoi elles constitueront une sorte de « dénégation de la politique [5]». Il consacre également une importante partie de sa réflexion concernant le processus historique de constitution de l’Etat français, son modèle politique et l’analyse du fonctionnement de sa démocratie dans une approche comparative notamment avec les

aujourd'hui. 3) Lutte contre le chômage - a - Approches doctrinaires Pour les libéraux comme les keynésiens, il faut relancer l'activité économique pour juguler le chômage. Cependant les moyens à mettre en œuvre divergent selon les analyses. Pour les libéraux, la clé de la croissance est la compétitivité des entreprises. Il faut donc : Réduire l'intervention de l'État Rendre le travail plus flexible Réduire les coûts de production Pour les Keynésiens, c'est à l'État de relancer l'économie, en

transactions par le marché (formation des prix ds différentes situations) L'analyse macroéconomique se situe au niveau de tous les agents (le circuit) et s'intéresse aux relations entre les différents flux générés par l'activité eco. Ces deux approches ne sont pas toujours pertinente , on définit donc une échelle intermédiaire : la mesoeconomie( du grec mesos qui signifie milieu) qui étudie les secteurs ou les branches de l'économie ou encore les groupes qui détienne suffisamment de pouvoir sur

L’équilibre macroéconomique keynésien : le modèle IS/LM L’équilibre macroéconomique keynésien : le modèle IS/LM *Modèle IS/LMLe modèle IS/LM, conçu par John Hicks en 1937, est généralement considéré comme la formalisation de la théorie keynésienne.Le modèle IS/LM est une approche de l’équilibre macroéconomique de court terme.Ce modèle insiste sur le rôle de la demande agrégée et son impact sur l’équilibre macroéconomique de court terme.Par rapport à