L Approche Keynésienne

pouvoir explicatif est relativement important, il n’avait pas de courant « concurrent » jusqu'à la révolution Keynésienne. En s’appuyant sur l’analyse des cause de la crise de 1929, l’économiste anglais John Maynard Keynes va être à l’origine de l’émergence d’un courant théorique dont les hypothèses vont permettrent de justifier l’intervention de l’état. C’est le Keynésianisme. A.Les approches libérales : Des classiques aux néoclassiques Dans le cadre de la théorie libérale, la métaphore de la

Revoir impérativement pour les khôlles: - Les grands courants de la pensée économique (paradigme); Paradigmes: Libéral "conservateur" Marxiste « Révolutionnaire ». Keynésien " Réformateur" Prémices de la pensée éco: Mercantilistes et Physiocrates Exemples : Mercantilisme: S'affirme avec le 15e et 16e siècle, avec les grandes découvertes. BRAUDEL: "la dynamique capitaliste". La rupture se produit entre le 15e et le 16e avec trois révolutions majeurs: intellectuelle et

Après des décennies de croissance économique “miraculeuse” suite à la deuxième guerre mondiale, l’économie japonaise a brusquement vacillé en 1990 et stagne depuis. Pourquoi? Ni les hypothèses monétaristes et keynésiennes ne peuvent l’expliquer. Seule la théorie autrichienne du cycle économique peut le faire. Une vue d’ensemble de l’économie du Japon pour la période 1985-2000 Après les accords du Plaza en septembre 1985, l’appréciation du yen frappe durement le secteur des exportations et la croissance

DOMAINES D’INTERVENTION PUBLIQUE L’EMPLOI ET LA REPARTITION. THEME 1 : EMPLOI, PLEIN EMPLOI ET CHOMAGE 1. Le niveau d’emploi se détermine sur le marché du travail. Cette approche correspond à l’approche néo-classique (pour les keynésiens il n’y a pas de marché du travail) qui se situe dans le courant libéral de l’économie. Dans cette approche, le travail est une marchandise comme les autres qui s’échange sur un marché. Dans l’optique néo-classique c’est la flexibilité du salaire qui permet l’ajustement

désirent travailler à un salaire inférieur ne trouvent pas à être embauchés car les employeurs craignent de perdre les salariés en place dont la productivité est élevé. (Joseph E. Stiglitz) Le raisonnement keynésien |Analyse |Néoclassique |Keynésienne |Théorie du déséquilibre | |Nature du déséquilibre |Excès d’offre |Excès d’offre |Les deux types de | |– sur

fondements de idéologie socialiste repose sur l’abolition des moyens privés de production, source d’exploitation du prolétariat, il faut lui substituer des moyens collectifs de production). III. LE COURANT KEYNESIEN : A. Les postulats keynésiens : La pensée keynésienne s’ordonne autour de 6 points : - La Théorie Générale s'attaque à la Loi de Say "L'offre crée sa demande", qui suppose implicitement que le système économique fonctionne à pleine capacité, et au rôle stabilisateur

prix, hypothèse d’absence « d’illusion monétaire ». En d’autres termes, les classiques privilégient uniquement la fonction moyen d’échange de la monnaie : le seul motif de détention de la monnaie est le motif de transaction. ! L’analyse keynésienne et néo-keynésienne KEYNES prend en compte les deux fonctions d’« intermédiaire des échanges » et de « réserve de valeur » de la monnaie, il les juxtapose en distinguant deux motifs de détention de la monnaie : • Le motif de transaction KEYNES élargit cette

ou croissance déséquilibrée keynésienne ? Après la 2nd guerre mondiale, la croissance va rapidement effectuer son retour. Si bien que le débat des années 1930 sur la possibilité d’atteindre un équilibre de plein emploi va être remplacé par la question de savoir si le sentier de croissance de l’économie converge vers le point d’équilibre ou non, au niveau maximal de production autorisé par le plein emploi des facteurs. L’opposition théorique entre économistes keynésiens et orthodoxes se déplace de

existerait une relation stable entre la liquidité et la masse monétaire et cette relation stable c'est le multiplicateur monétaire. A. Principes et mécanismes du multiplicateur : une double approche. a) Approche en termes de flux successifs (flux). Le raisonnement à issu de la logique du multiplicateur keynésien (idée qu'il y a au départ une injection au départ par l'état en terme de dépense monétaire/d'investissement et que celle ci va engendrer des dépenses successives et permettent à l'économie

Introduction Présentation du cours En continuité du cours du 1er semestre Approche plus formalisée : Modèles, Équations, courbes 3 questions de la macro-économie: Croissance ? Chômage ? Inflation ? Les grands auteurs Keynes 1936 1950 : Friedman (consommation, monnaie, anticipations), Modigliani (épargne), Solow (croissance) 1970 : anticipations rationnelles (Lucas) 1990 : rigidités (nouvelle économie keynésienne), cycles réels Considérés comme acquis PIB : définitions, 3 optiques (revenu