L Approche Keynésienne

I.3 Les besoins économiques Section II. Les méthodes et les approches de la science économique 2.1 La méthode inductive/déductive 2.2 L’analyse microéconomique /macroéconomique 3.3 Approche positive /normative Section III. Les différents courants de la pensée économique 1. Les économistes classiques et l’émergence de la science économique 2. Les néoclassiques 3. L’économie chez Marx 4. L’analyse keynésienne Chapitre II : le marché et la formation des prix

différentes conceptions de l'égalité visées par les démocraties. En suite, on verra dans une seconde partie que l'égalité n'est pas toujours juste, et les inégalités ne sont pas toujours injustes, par où on voit apparaitre le débat classique libéraux-keynésiens, qui nous permettra de mieux visualiser les deux réponses à la question : faut il lutter contre les inégalités ? I. Toutes les sociétés démocratiques justifient la lutte contre les inégalités au nom de l'égalité, mais une égalité qui est conçue

essentielles qui font que les agents détiennent de la monnaie ? Dans l’histoire de la pensée économique, il y a deux théories majeures qui ont essayé de donner des réponses à ces deux questions : il s’agit de la théorie classique et de la théorie keynésienne de la demande de monnaie. Toutefois, au-delà de ces deux courants de pensée sur la demande de monnaie, d’autres théories existent comme celles de Milton Friedman, de James Tobin et de Wiliam Baumol.Dans le chapitre précédent, nous avons abordé la

court terme demande globale B/politique structurelle : croissan eco en agissant structure et agent Chap1 : La politique budgétaire et fiscale Section 1 : contenu des approches théorique A/approche libéral : vision minimaliste etat :mercantilisme 18 :liberaux, SMITH,RICARDO,MALTUS,SAY, externalité B/approche keynes intervention efficace :mutiplicateur Section 4 :Les marges de manœuvre. Chapitre 2 :la politique monétaire :objectif final, intermediaire, instrument Section 1 :le

classique C) Keynes et les keynésiens Les auteurs John Maynard Keynes (Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie, 1936) John Hicks (Mr Keynes et les Classiques : une suggestion d'interprétation, 1937) La doctrine La vision du capitalisme : une contingence pragmatique, efficace, mais non éternelle La vision normative : interventionnisme macroéconomique de l'Etat L'analyse Croissance et fluctuations : La macro-économie keynésienne La non neutralitré de la monnaie

usines, travail des femmes & enfants) * Salaires très bas * Législation sociale rare et inapliquée * Conditions ouvrières précaires * Naissance d’organisations illégales (correspondent aux syndicats) * Innovations Nouvelle approche de l’économie politique : Richesse des nations. La Valeur est créée par le travail. DIVISION DU TRAVAIL : Spécialisation des taches, Baisse du temps de changement de postes SMITH est conscient des limites de la Division du travail : LIMITE

récupèrent au terme du processus de création des richesses ; - La classe stérile comprend toutes les autres catégories sociales (artisans, commerçants, magistrats, policiers, militaires...) qui ne font que transformer des produits existants. c) Une approche macro-économique de l'activité économique QUESNAY dans son tableau cherche à mettre en évidence les interrelations économiques existant entre les 3 classes sociales. Il s'agit de la première analyse en termes de circuit économique. d) La

social ou autre. Dans le premier cas, l'exemple du début des années 30, consécutives à la "Grande Crise", vient immédiatement à l'esprit, la théorie néoclassique n'ayant pu trouver les remèdes aux problèmes d'emploi et de reprise. Le paradigme keynésien s'est alors imposé, prenant le précèdent à contre-pied sur un certain nombre de points, mais trouvant lui-même ses limites au début des années 70, l'interpénétration des économies s'étant renforcée, de nouveaux partenaires s'inscrivant sur la scène

limites de la politique budgétaire et, notamment, les effets néfastes des déficits et de la dette publique. (Ensemble des dettes de l’Etat résultant des emprunts que ce dernier a émis ou garantis).. A. Les stabilisateurs budgétaires automatiques : approche libérale classique (fin XVIIIème à la crise de 1929) Les recettes et les dépenses publiques exercent spontanément une action contra-cyclique sur l’activité économique, c’est-à-dire d’atténuation des aléas de la conjoncture économique. C’est le principe

Les implications de la théorie keynésienne en matière de politiques économiques sont-elles vérifiées sur les données américaines? Amélie MAINGAULT et Rodrigo VIVANCO Janvier 2010 SOMMAIRE Introduction La théorie: du modèle IS-LM à la demande globale 1) Rappel des hypothèses de base du modèle IS-LM Déterminants de la courbe (IS) Déterminants de la courbe (LM) Équilibre 2) Explication des fluctuations économiques dans le modèle IS-LM Effet d'une politique budgétaire expansionniste