L'Arlequin

l’exception du couple d’amoureux et des servantes, portaient le masque. -Au xviie siècle où la commedia dell’arte était plus brillante que jamais en Italie. -En France le Recueil de Gherardi  témoignage sur ce que fut ce théâtre. Gherardi était l’Arlequin de la troupe autorisée et privilégiée par Louis XIV. -La commedia dell’arte inspira les plus grands dramaturges français, que ce soit Molière, qui partagea une salle pendant un temps avec les « Comédiens Italiens du Roi » de la Comédie-Italienne

altitude (courage, détermination, aveuglement, etc.). De plus, le public doit pouvoir rapidement identifier le personnage et son caractère. Les auteurs recourent donc à des types, qui existent depuis longtemps. Ex : il s'établit une parenté entre l'Arlequin de la commedia dell'arte et le Scapin des pièces de Molière. Il n'y a pas de profondeur psychologique, mais un trait caractéristique dominant. Une distance nécessaire au plaisir du théâtre Il n'y a donc pas identification complète, mais c'est

en 1968 à Grenoble, qui impulse la création de dizaines d'œuvres dans la ville, dont celles de Mizui, Vasarely, Calder... En 1972, à Villeneuve de Grenoble, des plasticiens sont contactés pour participer à la conception du volume de la galerie de l'Arlequin. Des contacts sont pris avec Jean Dewasne mais la tentative tourne courte. La décoration est finalement confiée à Henri Ciriani et Borja Huidobro. Une fresque est réalisée sur la nouvelle bourse du travail par Ernest Pignon-Ernest, considéré comme

[11] D. Cooper, Picasso Théâtre. [12] J. Cocteau, "Parade", Comœdia. [13] R. Radiguet, "Parade", Le Gaulois. [14] J. Cocteau, Le Coq et l'Arlequin. [15] H. Bidou, "A propos de ballets", Journal des Débats. [16] J. Cocteau, "La collaboration de Parade", Nord-Sud. [17] J. Cocteau, "La reprise de Parade", Paris-Midi. [18] J. Cocteau, Le Coq et l'Arlequin. [19] J. Cocteau, "Parade", Comœdia. [20] Lettre du 23 décembre 1920, citée par F. Steegmuller, Cocteau. [21] J. Cocteau, Le Foyer des artistes

43). D’autre part, les évocations de l’ombre liées à une évidente atmosphère funèbre abondent et disséminent au point de former comme un réseau symbolique dense et cohérent. L’amour est ainsi mis en scène dans l’étroit voisinage de la mort. L’arlequine dénudée de « Crépuscule » (p. 48) est « Frôlée par les ombres des morts » (v. 1), le jardin mélancolique évoqué dans « Clotilde » (p. 58) est hanté par des silhouettes passagères, traces d’un amour perdu : « Il y vient aussi nos ombres / Que la

théâtre est parfois caricatural ce qui renforce l’idée d’absence de réalité au théâtre. Par exemple, la commedia dell’Arte, cette comédie italienne qui est basée sur la caricature met en scène de nombreux personnages plus ou moins exagérés tels que l’Arlequin ou le Polichinelle. Même si la commedia est l’art de l’improvisation, preuve que les acteurs jouent quasiment comme dans la vie courante, la mise en scène reste néanmoins extrêmement caricaturale avec des façons grossières de se déplacer ou de s’exprimer

présents=> personnages hétéroclites (ne vont pas bien ensemble) => les gens du voyages + personnages issus du merveilleux et du fantastique + personnages issus de nul part (aveugles, faons...). Personnage qui mêlent à la fois le spectacle et le sacré. L'arlequin trismégiste (a vécu trois fois) renvoie au Dieu Hermès => oxymore . Personnages du monde du spectacle=> frappées par une forme d'altération 3)La tonalité élégiaque L'élégie est une forme de poème a tonalité plaintive et mélancolique dont

Acteur de l'événement réel. Le travelling sur un personnage masculin assis (de haut en bas) donne une impression de nudité, poutant le personnage est vêtu d'un juste corps neutre et contrairement aux autres portraits celui-ci n'a pas le symbole de l'arlequin ; des éléments qui évoque la tristesse ainsi que la fragilité du corps. Personnage nous fait penser au polichinel Maigreur / Sobriété / tête béssé = symbole du personnage contorssionné. Personnage ayant la mais vers la droite appel

permet de faire avancer l'intrigue et finalement un moyen pour l'auteur de transmettre ses idées au public. Le valet a effectivement un rôle en général comique, divertissant aux yeux du public. Le valet est d'abord drôle par son physique : l'Arlequin de la Comedia dell'Arte est bossu et porte un vêtement coloré. Par la suite les valets de Molière reprendront souvent ces apparences grotesques tel que Sganarelle habillé en docteur, dans Dom Juan. Le valet fait aussi rire par son langage quand

de Zone - Apollinaire, Alcools (1912) Crépuscule À Mademoiselle Marie Laurencin. Frôlée par les ombres des morts Sur l’herbe où le jour s’exténue L’arlequine s’est mise nue Et dans l’étang mire son corps Un charlatan crépusculaire Vante les tours que l’on va faire Le ciel sans teinte est constellé D’astres pâles comme du lait Sur les tréteaux l’arlequin blême Salue d’abord les spectateurs Des sorciers venus de Bohême Quelques fées et les enchanteurs Ayant décroché une étoile Il la manie à bras tendu