L Art Dans Lorenzaccio

comme son lieu particulier." Par contre, il reste fidèle au vers mais lui donne une souplesse qui lui permet plus de naturel. En ce qui concerne la poésie, le romantisme a fait aussi naitre des nouveautés dans ce genre. Elle n’est plus seulement un art mais devient un moyen de connaissance. Rien que le titre du recueil de vingt quatre poèmes de Lamartine, Les Méditations poétiques exprime une nouvelle conception de la poésie. La « méditation » renvoie au sacré, au divin. Le poète se substitue au théologien

littéraire et culturel du XIX° siècle : Le Romantisme 1. Qu’est ce qu’un mouvement artistique et culturel ? Un mouvement artistique et culturel rassemble des artistes unis autour d’une recherche commune ou qui ont la même conception de leur art. Le groupe trouve son unité dans l’administration pour un auteur qui en devient le symbole et le chef de file. Un mouvement s’inscrit toujours dans une période déterminée de l’Histoire ; sa naissance est généralement liée à des circonstances particulières

dictionnaire » (ES/S |Question : Quelle est la conception de la poésie qui s’exprime dans chacun de ces| |– juin 2005) |textes ? | |- Boileau, Art poétique, Chant I |Commentaire : Hugo, « Réponse à un acte d’accusation », Les Contemplations, livre| |- Hugo, « Réponse à un acte d’accusation », Les |premier, VII.

les condamnations des jansénistes, il écrit La Thébaïde (1664) et Alexandre le Grand (1665), mais son talent éclate avec Andromaque (1667), qui triomphe à l'Hôtel de Bourgogne. Son succès lui attire des inimitiés qui le contraignent à justifier son art face aux partisans de Corneille: à l'héroïsme cornélien, Racine oppose les faiblesses humaines, dans un langage poétique nouveau. Devenu le symbole de la tragédie classique et du respect des unités, son œuvre se poursuit avec Britannicus (1669), Bérénice (1670)

dans Amphitryon (1668) et dans L'Avare (1668) s'inspire de Plaute (vers 254-184 av. J.-C.). Jean Anouilh s'inspire de la tragédie de Sophocle (vers 495- vers 405 av. J.-C.) pour son Antigone représentée en 1944. Le Moyen Âge : La Courtoisie : un art de vivre et d'aimer : Le Moyen Âge s'étend du 5éme siècle au 15éme siècle. Le mot « courtoisie » vient de « cour » qui désigne la résidence d'un souverain. Entre le 12éme et le 13éme siècle, la courtoisie représente une politesse de conduite, une élégance

reste comme le «voleur de feu’, l’aventurier de lumière et éphémère avec des éclairs de poésie et de la rébellion, Paul Verlaine, avec un plus travailler, est associée à la musicalité, la mélancolie lyrique et un sorte de l’impressionnisme avec son art de la nuance, «Sans lui, pendaison ou l’installation.’ (Poèmes saturniens – Les Galantes – Sagesse …). Ils peuvent ajouter Lautréamont (1846 – 1870) laissant inachevée Les Chants de Maldoror, prose flamboyante de la rébellion contre Dieu et contre la

retrouvera le sens originel. On a donné le nom de « romantisme » au grand courant littéraire qui a commencé aux environs de 1820 et s'est poursuivi jusqu'aux alentours de 1850, pendant la Restauration et la Monarchie de Juillet. Ce nom désigne un art où l'imagination et la sensibilité prédominent sur toute autre faculté de l'esprit. Plus généralement, il évoque des formules diamétralement opposées à celle de l'art classique des 17ème et 18ème siècle. La définition du romantisme , c'est d'être «

France à partir des années 1660, alors que Louis XIV est le monarque absolu du royaume. S'adressant d'abord à l'intelligence, figurant l'ordre, la raison et l'équilibre, le classicisme illustre parfaitement l'autorité du roi qui en fait la base d'un art officiel. Mouvement de la mesure et de l'harmonie, le Classicisme cherche l'accord de l'écrivain avec son milieu, de la pensée avec l'expression. Il prône donc l'ordre, la discipline et la régularité. Le respect des règles héritées des Grecs et des

En 1642, sous l’influence croissante des puritains qui considèrent le théâtre comme un lieu de péché et de vice, tous les théâtres sont fermés : il faudra attendre 2 siècles pour que des irlandais (George Bernard Shaw, Oscar Wilde) ressuscitent cet art en Grande Bretagne. [pic] [pic] [pic] signature de Shakespeare Elisabeth I Shakespeare Le géant du théâtre élisabéthain est Shakespeare : auteur d’une oeuvre unique et intemporelle, il s’attache à décrire les jeux du pouvoir et les passions

du dialogue didactique platonicien et des dialogues philosophiques écrits sur ce modèle, ceux de Cicéron, de Voltaire ou de Diderot. Chaque épisode des aventures des Atrides et des Labdacides est un matériau d’une telle richesse qu’il réclame un art plus profond que celui du conteur pour livrer tous ses secrets. D’où la nécessaire invention du théâtre. Mais il s’agit alors de passer de la « diégésis » (imitation par le récit raconté) à la « mimésis » (imitation par la représentation de personnages