L Art Rend T Il L Homme Meilleur

citoyens, magistrats annuels, administrent l’état. Nul privilège à la fortune: car le pauvre et le riche ont des droits égaux dans le pays.[...] [...]Pour un peuple, il n'est rien de pire qu'un tyran. Sous ce régime, pas de lois faites pour tous. Un seul homme gouverne, et la loi, c'est sa chose. Donc, plus d’égalité, tandis que sous l'empire des lois écrites, pauvres et riches ont vail  droits. Le faible peut répondre à l'insulte du fort, et le petit, s'il a raison, vaincra le grand. Quant à la liberté

Travail conceptuel sur la notion : ART Le terme art (ars en latin traduit le mot grec technê) désigne aussi bien la technique, le savoir-faire, que la création artistique; la recherche du beau*. S'ajoutant ou se substituant à la nature, l'art peut aussi s'entendre dans le sens quelquefois péjoratif d'artifice. En tant que pratique, il est le fait de l'artisan, celui qui maîtrise un art dans le premier sens, ou de l'artiste, qu'un talent ou un génie particulier rend apte à créer la beauté. Comme le

sans être sûr qu’on prend le meilleur parti, et que, si l’on se trompe, la rhétorique n’en est pas responsable. Voilà, entre autres choses, ce que Gorgias aurait pu répliquer à Socrate. Mais le jeune Polos ne lui en laisse pas le temps. Indigné que Socrate ose PLATON — GORGIAS — traduction d’Émile CHAMBRY 5 mettre en doute la valeur de la rhétorique, il le somme, puisqu’il a embarrassé Gorgias, de dire lui-même ce qu’il pense de cet art. — Ce n’est pas un art, répond Socrate, ce n’est

de Sal, en Inde. On fait la découverte du jeune Siddharta et de son meilleur ami Govinda, fils de brahmanes. Siddharta est un enfant gracieux, fier et élancé, qui fait la fierté de tous et entraîne des passions chez les jeunes filles du village. Son père imagine déjà son fils grand Sage, « prince parmi les brahmanes ». Cependant, celui dont l'admiration et l'amour pour Siddharta n'a d'égal est Govinda. Il sait que son meilleur ami ne se contentera pas de la tiédeur d'une vie paresseuse et vulgaire

particulièrement la poésie grâce à quelque sous entendus, crée par les figures de style permettait de dénoncer la monarchie, par exemple, sans compromettre la liberté du poète. Tout Homme, doit prendre opinion, avoir une position sociale, être impliqué, savoir discuter ou défendre ses idées. En somme être un bon citoyen. Tout Homme doit exprimer ses idées pour faire évoluer la société donc l’Humain. La société est animée par des échanges, entre les hommes dont les opinions diffèrent. Ces échanges conduisent

écrivains de première classe, désigne les auteurs anciens grecs et latins dignes d'être étudiés comme des modèles. Les écrivains du règne de Louix XIV se considéraient eux-mêmes comme des Modernes. Mais dès la fin du siècle, on considérait que les meilleurs d'entre eux pouvaient égaler les Anciens. Au début du XIXème siècle, les jeunes romantiques ont utilisé le mot «classique» dans leurs polémiques pour dénoncer une tradition qui leur semblait devenue stérile. La naissance d'un idéal L'idéal classique

Candide Intrduction: Dans le chapitre 1, après une enfance heureuses dans le meilleur des châteaux possibles, Candide est chassé du paradis 'à grands coups de pied dans le derrière' pour avoir embrasé Cunégonde. Le début du chapitre 2 raconte l'enrôlement et l'instruction militaire de Candide par les Bulgares. Candide, comme parcours du roman d'apprentissage, va commencer par des initiations en se frottant à réalité. C'est l'occasion aussi pour Voltaire de débuter la critique principal

régime démocratique de la cité provoque l’apparition d’une nouvelle nécessité, celle de savoir parler, de tenir son bout dans un débat. Encore aujourd’hui, vous devez posséder cette base pour devenir un bon politicien et à l’époque, n’importe qu’elle homme avait le droit de prendre parole lors des sessions de l’Assemblée. Pour gravir les échelons politiques, il ne nous fallait qu’une bonne éloquence. Rapidement, les gens se rendent compte que ce talent n’ait pas à la portée de tous. D’où l’apparition

des talents (pièces d'or) à garder à trois esclaves ; les deux premiers investissent la somme et la font fructifier ; le troisième, pris de peur, enterre le talent puis, le moment venu, le rend, à l'identique, à son maître. Ce dernier chasse l'esclave donne le talent au premier des trois. La leçon ?« À tout homme qui a, on donnera et il aura en surabondance, mais celui qui n'a pas, même ce qu'il a lui sera enlevé. » utopie -explication :

, et d'un soldat subalterne inconnu. Devenu très tôt orphelin , il continu à vivre dans la demeure familial, une maison richement décorée , entouré de valets et d'une gouvernante. Au début du récit Dorian Gray est représenté comme un jeune homme candide, presque enfantin, spontané et rempli de vitalité joyeuse.''Adonis qui semble fait d'ivoire et de pétales de rose''(page 43), ''Quelque chose dans son visage inspirait une confiance immédiate.Toute la candeur de la jeunesse était la , aussi