L Art Sait Il Montrer Ce Que Le Langage Ne Peut Pas Dire

théâtre et les mêmes décorations, ce ne seront plus les mêmes acteurs » La Bruyère observe donc les moeurs de son époque et comme pour le théâtre, il est nécessaire « de plaire et de s’instruire » selon la doctrine classique. La volonté est de montrer aux hommes comment se conduire. C’est ainsi que l’homme est perçu comme un comédien qui joue la comédie social car il essaie de paraitre ce qu’il n’est pas. L’hypocrisie semble pour La Bruyère se généraliser et les hommes paraissent en représentations

| |2 L'œuvre | |2.1 Exaltation de l'expérience amoureuse | |2.2 Libérer le langage pour changer la vie | |2.3 Une poésie engagée | |3 Hommage

pouvoir marcher qu’en travaillant. Sans cesse, en tous lieux, sous la lumière du soleil, dans les flots de la foule, dans les sanctuaires de l’art, le long des bibliothèques poudreuses exposées au vent, Victor Hugo, pensif et calme, avait l’air de dire à la nature extérieure : « Entre bien dans mes yeux pour que je me souvienne de toi. » À l’époque dont je parle, époque où il exerçait une vraie dictature dans les choses littéraires, je le rencontrai quelquefois dans la compagnie d’Édouard Ourliac

péripéties) qui se noue au fil des scènes (dans la tragédie classique, le point culminant de l’action se trouve à l’Acte III), opposant des forces en conflit ; * Le dénouement qui apporte la résolution du « nœud » de l’action. * On peut citer deux cas particulier s de situations dramatiques : * Le coup de théâtre est une péripétie qui vient inopinément bouleverser la situation ou le dénouement * Le quiproquo est un malentendu, une méprise qui fait du dialogue

(ANTONIN ARTAUD) Le substantif « cruor », en latin, désigne le sang rouge, le sang qui coule. L’adjectif « crudelis » s’emploie pour caractériser celui qui aime à faire couler le sang. Quand on lit une telle expression « théâtre de la cruauté », on peut penser qu’il y sera question de théâtre sanglant, à l’image de certains films de cinéma ; ou si l’on préfère rester dans le domaine de la scène, du « grand guignol » - ce théâtre populaire qu’affectionnait A. Breton (il en parle dans Nadja), et qui

Dans la Grèce antique, le théâtre était un art destiné à être regardé par un public. D’ailleurs le mot "théâtre" vient du verbe grec theatron (en passant par le latintheatrum) qui désigne l'action de voir. D'autres mots faisant partie du lexique dramatique renvoie directement à cette même étymologie : "spectacle" (qui se donne à voir), "représentation" (à la vue), et tout ce qui ressort du vocabulaire de l'illusion comme le trompe-l’œil. L'époque classique visait l'illusion mimétique du théâtre,

générique. A l'intérieur certes des genres théâtraux, définis par des poétiques, mais le Théâtre en tant que tel n'est pas forcément un genre, il serait davantage un mode de représentation particulier que l'on pourrait qualifier de direct que l'on peut appeler aussi mimétique, ce qui l'opposerait avant tout au mode diégétique de représentation, le mode indirect, reposant sur le récit. Opposition presque frontale donc. Question de la frontière entre récit et drame (drama) semble tranchée depuis

souhaite voir Dorante pouser Marton, qui est elle-mme fille de procureur. Scne 4 M. Remy prsente Marton Dorante. Scne 5 Marton stonne de la promptitude de M. Remy la fiancer Dorante, qui accepte le quiproquo. Scne 6 Seule avec Marton, Araminte montre son intrt pour Dorante quelle accepte pour intendant. Scne 7 Araminte, qui, au premier regard, a t sduite, accueille Dorante, qui est charm de la servir. Scne 8 Araminte fait dArlequin le valet de Dorante. Scne 9 Arlequin, qui sera pay par Araminte

par l’éducation ou par la dévotion. I. Le procès de trois éducations. A. Cécile Education reçue par Cécile chez les Ursulines = caricature d’éducation → éducation négligente (// Marianne chez Marivaux ou la « religieuse » de Diderot) : elle ne sait rien du monde, on n’a fait que lui imposer des interdits sans lui donner une réelle formation morale. A l’entrée dans le monde, les choses ne changent guère → négligence et aveuglement de Mme de Volanges, qui ne dit rien à sa fille, ne lui dispense

réalisation | | |cinématographique ? Comment dire l'image en son absence ? Telles sont quelques-unes des | | |questions que l'auteur aborde dans ce livre, en parcourant sous le regard du comparatisme le| | |territoire de la littérature confrontée au Septième Art. L'analyse s'appuie sur de très | | |nombreux exemples