L'Aveu

tragique. On s’attachera donc à étudier d’abord le discours de la passion violente pour mettre ensuite en évidence les caractères de la passion racinienne : la culpabilité et la fatalité. Face à la réaction D’Hyppolite qui refuse ce qu’il pressent, l’aveu de Phèdre devient inéluctable. On notera la violence du cri qui empêche ce dernier de partir. Elle qualifie Hyppolite de « cruel » et utilise le tutoiement. Cette déclaration est crue, marquée par la brutalité saccadée de l’allitération en « t » du

Texte 1 : Oral français PHÈDRE : Mon mal vient de plus loin. À peine au fils d’Égée Sous les lois de l’hymen je m’étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s’éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient

comprends le ressenti de chaque personnage et ca permet de nous identifier à eux/d’éprouver les mêmes sentiments qu’eux (ou de la compassion et de l’empathie) et ainsi lors des rebondissements tel que la scène de l’aveu on prend pleinement conscience de la profondeur de la peine de M. de Clève [] mais aussi de la situation de Mme de Clève qui est déchirée entre vertu et passion → on se rend compte en lisant l’ensemble

des rois et de Clytemnestre, et descendante de la lignée des Atrides. La scène 8 de l'acte II témoigne d'un revirement psychologique : la mère d'Électre, qui jusqu'ici clamait son innocence et la folie de sa fille, décide avec jubilation de faire l'aveu de sa haine pour Agamemnon. Par l'étude de cette tirade, nous étudierons tout d'abord le plaidoyer de Clytemnestre, puis dans un second temps le réquisitoire d'Agamemnon. En premier lieu, dans son aveu, Clytemnestre tente de montrer à

Intégralité du roman. La visite de la Lorraine (chapitre IX, p. 198-199). Aborder le roman comme une forme littéraire privilégiée de représentation de l’homme et du monde. Parcours de l’œuvre et synthèses. Lecture analytique. Séance 7 L’aveu de Mme Roland à Jean (chapitre VII, p. 172-175). Le monologue intérieur de Jean (chapitre VIII, p. 176-180). Variantes correspondantes (variante h, p. 217, et variante b, p. 219). Comprendre, dans les réécritures et les corrections qu’il

l’homme. Autre distinction : présomption simple et présomption irréfragable Présomption légale et présomption du fait de l’homme Def 1 : indiqué dans le code civil, précisé par la loi Ex. article 312 sur la paternité, L’autorité de la chose jugée , l’aveu (reine des preuves = instant de vérité) devant le juge est le seul valable C’est un mode de preuve redoutable Def 2 : elles ne sont pas le fait de la loi, la loi n’en dit rien. C’est la conviction du juge qui lui permet de déterminer l’existence ou

propos duquel il convient d’énoncer quelques précisions. L'aveu est une déclaration par laquelle une personne reconnaît pour vrai un fait de nature à produire des conséquences juridiques à son encontre. On dit que l'aveu est judiciaire lorsque la déclaration est faite en justice par une partie. L'aveu extrajudiciaire, lui, désigne l'aveu fait hors la présence du juge ou en justice, mais dans une autre instance. Dans tous les cas, l'aveu ne peut porter que sur des points de fait et non de droit

technologies. Les nouvelles techniques nées de ces avancées, ont en effet modifié les différents modes de preuve ainsi que leur admissibilité. L’écrit étant l’un des cinq modes de preuve définies par la loi, (avec le témoignage, les présomptions de fait, l’aveu et le serment) se trouve donc aujourd’hui en pleine mutation. Une question évidente s’ouvre alors à nous, quelle est la place de l’écrit dans la preuve ? En effet, la place de l’écrit dans la preuve a toujours été prépondérante, notamment en matière

croit être adressée à M. de Nemours, elle découvre les tourments de la jalousie. Persuadée des dangers de l’amour, la princesse de Clèves choisit de quitter la cour. Son mari pourtant ne comprend pas les raisons de sa fuite et elle lui fait alors l'aveu de sa passion tandis que le duc de Nemours, caché, écoute. Le duc, convaincu du fait d’être aimé, révèle imprudemment en public le secret de cette aventure et soudain c’est la cour entière qui en parle. Le mari, l’épouse et l’amant sont torturés par

la fidélité conjugale. Elle implore la compréhension de son mari. D’abord bouleversé par une telle preuve de fidélité, M. de Clèves insiste pour apprendre de sa femme le nom de celui qu’elle aime. Comme elle refuse, il laisse éclater sa jalousie. L’aveu, incomplet, a creusé un fossé entre les époux. Restée seule, Mme de Clèves regrette son aveu ; elle a bien du mal à retrouver sa sérénité. M. de Nemours, tout à la joie de ce qu’il vient d’entendre, rentre à Paris et, sous des noms imaginaires