L Effet De La Fable Chez La Fontaine

La Fontaine, Fables, « Le héron et la fille » I. Deux contes largement parallèles La moralité sert d'articulation entre les deux récits. 4 formulations de la morales qui sont 4 maximes frappantes (parallélisme v28, antithèse v29) Histoire de la fille + longue, enjeu + grand mais structures parallèles : un personnage est en mesure d'obtenir ce qu'il désire, mais minimise cette recherche (« qu'il eût un peu plus d'appétit » v10, « solitude » sans « chagrin » v60). Puis le besoin presse et les

efficace pour éduquer, divertir et dénoncer ? Support : groupement de textes Objets d'étude : convaincre et persuader ; les formes et les fonctions de l'apologue (fables, contes, romans) Perspectives d'étude : - étude de l'argumentation et des effets sur le destinataire - genres et registres - intertextualité Méthodo et devoirs : - questions de corpus - commentaire littéraire Devoir maison : commentaire littéraire Lectures cursives / exposés : au choix : - Le meilleur des

principes, comme celui de l'amour-propre chez La Rochefoucauld , ou de l'hypocrisie: Maxime 218 : « L'hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu » . L'auteur se veut un guide pour le lecteur. De même, l'apologue est un genre didactique moral, qui aide le lecteur, également, à se repérer dans les les faux-semblants de la société, où, par exemple, sous couvert de flatteries, le méchant vise son profit (« Le Corbeau et le Renard » de La Fontaine..Le récit, de sens énigmatique, demande au

relation.     II - LES QUESTIONS SUR LE THÈME « L'ANIMAL ET L'HOMME » ABORDÉES DANS CHACUNE DES TROIS ŒUVRES DU PROGRAMME   1-    La Fontaine, dans ses Fables et tout particulièrement dans le second recueil métamorphose la fable d'ésope en poeme ; ce qui sert au mieux sa quadruple mise en œuvre du thème « l'animal et l'homme »   1.1- Conformément au genre de la fable, l'animal sert à peindre et instruire l'homme : l'allégorie animalière. 1.1.1-     « il faut travailler à rendre les habitudes bonnes…

Cette fable est tirée du recueil ‘’fables’’,écrite par Jean de La Fontaine en 1668. La scène se déroule à la fin de l’été chez la Fourmi, où la Cigale s’est rendue pour demandé quelque chose à manger. En effet, pendant l’été, occupée à chanter, elle n’a pas fait de réserves de nourriture pour l’hiver qu’il va approcher. Bien que la Cigale s’engage à rembourser au plus tôt le prêt ’’Je vous paierai’’, la Fourmi apparait avare et avec son refus

: tout d’abord, il dresse tout d’abord un constat de la ligne 1 à 5 : les enfants, après avoir lu la fable, feront le contraire de la morale voulue par l’auteur. « Ils en font presque toujours une contraire à l’intention de l’auteur » (l.2-3). Puis, il raisonne du général aux particularités : des lignes 1 à 5, il a établit son constat qu’il vérifie grâce aux exemples de fables : « Dans la fable précédente (sous-entendu le corbeau et le renard), les enfants se moquent du corbeau mais ils s’affectionnent

: FABLES : Résumé des Fables des livres VII à XII: Introduction pour n'importe quelle fable : Après la publication du premier recueil des fables livres 1 à 6 en 1668, La Fontaine fait paraître en 1678 & 1679, deuxième recueil comprenant le livre 7 au 11. L'achèvement des fables s'accomplit avec le troisième recueil c'est à dire le livre 12, publié en fin 1963. Les derniers vers de l'ultime fable, point d'aboutissement de toute une vie créative& dont l'écriture s'est étalée sur plus d'un quart

«  Le Savetier et le Financier » de La Fontaine INTRODUCTION Il s’agit ici d’une fable déjà tardive (fable 2 du livre VIII), qui ressemble plutôt à un conte : il n’y a pas d’animaux, les deux personnages sont des humains, et leurs noms de métier portent des initiales majuscules (« le Savetier » et « le Financier »), comme pour en faire des symboles. Une fois de plus, La F. va défendre une morale du contentement et de la sagesse, en nous montrant que non seulement

revenir sur le genre de la fable, que les élèves connaissent généralement par le biais de La Fontaine. Ils auront ainsi la surprise de découvrir, dans un langage plus accessible – Florian est plus proche de nous dans le temps et n’a pas recours, comme son illustre modèle, à ces archaïsmes, certes truculents, mais déroutants pour de jeunes lecteurs – l’univers pittoresque et extravagant de la fable. Cette séquence s’attachera donc, dans un premier temps, à redéfinir la fable en tant que genre littéraire

judiciaire. Les deuxpremiers textes sont des fables : la première est écrite par un auteur anonyme, elle est intitulée « Le Prud’homme qui sauva son compère » et fut publiée au XIII° s ; la seconde, « L’Huître et lesplaideurs », fut publiée par La Fontaine dans son recueil Fables en 1678. Le dernier texte est un extrait du chapitre 6 du conte philosophique* Zadig, publié par Voltaire en 1747. (problématique) Nous allons voir comment ces trois textes dressent une satire de la justice. Tout d’abord