L Element Perturbateur

perturbe sa vie heureuse. Cette phase occupe une place importante dans le récit (Ch. I jusqu'au Ch. VIII). L'ampleur de cette étape traduit le bonheur dans lequel baigne le petit enfant. D'ailleurs, il est plongé dans un monde merveilleux. Élément perturbateur : Ce qui trouble ce bien-être c'est la ruine du père qui a perdu son capital : l'argent qu'il portait sur lui est tombé quelque part dans un souk. Péripéties : Le voyage du père à la campagne, où il exerce un travail pénible afin de pouvoir

pers. princ. → rimes : ville/agile → musicalité, entrain - Impression de simplification pour en faire en texte facile d’accès : → Schéma narratif complet : • situation initiale : vers 1 à 3 • élément perturbateur : « elle allait grands pas » (v 4) • péripéties : les rêves de Perrette • élément de résolution : « Perrette là-dessus saute aussi, transportée. Le lait tombe » •situation finale : la fin → Simplicité de la présentation du personnage : • prénom innocent, enfantin → familiarité

qui répond aux principales question du conte, soit "Qui ?" et "Où ?". On a alors un incipit qui pose les bases principales d'un conte, avec une situation initiale utopique (et qui sera par la suite bouleversée par un élément perturbateur). Cet incipit rassemble donc tous les éléments principaux d'un conte et annonce la suite de l'ouvrage dans la même perspective. Quel est le registre littéraire dominant dans cet extrait ? Le registre dominant est le registre satirique. En effet, l'allusion

évoluent-ils ? Y a-t-il un événement perturbateur ? Quel est-il ? Les problématiques de l’écriture : en sait-on autant que le narrateur ? L’auteur paraît-il du côté des personnages ? Le cas échéant : peut-on déceler une intention d’auteur ? S’il s’agit d’un extrait : Au début d’une nouvelle : à quoi certains éléments placés au début de la nouvelle servent-ils pour la suite du texte ? À la fin d’une nouvelle : y a-t-il résolution des tensions ? Peut-on observer un élément qui paraît extérieur à la nouvelle

Rosette, ni du rôle qu’ils lui ont fait jouer. Il parle d’abord à « je », puis à « tu » puis à « nous ». Ce changement de personne, provoque une fusion inconsciente des deux personnages, donc une fois de plus, un lien pur, le mariage. Malgré tout ces éléments, les deux personnages jouent un jeu depuis bien longtemps. Ils se comparent même a des enfants, et réalisent finalement que le jeu a assez duré comme ca et qu’il est peut être temps de passer aux choses sérieuses. Les paroles de Perdican se dégradent

Chapitre 1, CANDIDE Le texte étudié ici est l’incipit de Candide de Voltaire. L’incipit a pour fonction de présenter le contexte et les personnages et de mettre en place l’histoire et l’élément perturbateur. Voltaire fait partis des grands hommes de l’esprit des lumières qui dénonce les injustices, les inégalités et l’intolérance. Il écrit des contes philosophiques comme Candide et Micromégas et des articles dans l’encyclopédie. Candide est donc un conte philosophique qui se doit d’être divertissant

de La Fontaine, est un apologue sous forme de fable. Elle met en scène un Bûcheron et la Mort personnifié, qui au fil d’une histoire nous amène a une morale. Ce texte a une structure narrative simple avec une situation initial (Vers 1-6), un élément perturbateur (L’introspection du bûcheron Vers 7-12), les péripéties (la rencontre avec la mort Vers 13-16) et enfin la conclusion qui dans le cas de cette fable est la moral (Vers 17-20). 2. Pourquoi ce récit est-il plaisant? Proposez des analyses

Dans un premier temps on peut penser qu'il n'y a pas vraiment d'état initial car le récit commence directement avec l'élément perturbateur qui est la mort de la mère du personnage principal : Meursault. Les péripéties qui s'en suivent sont les formalités, la veillée puis l'enterrement avec la lourde chaleur, les retrouvailles avec Marie et le début de leur relation. Il y a aussi la rencontre dans l'escalier de son immeuble avec le vieux Salamano, son voisin de palier, accompagné de son chien, et

farfadets, les gnomes, les lutins, les elfes, les djinns, les nains, les ogres, les sorcières, les démons… • Les manifestations de leur pouvoir : Un enchantement, un envoutement, un charme, un sortilège, un maléfice, un don… • Les objets et les éléments magiques : Une baguette, un anneau, un miroir, un tapis, un manche à balai, un talisman, une amulette, un philtre, un grimoire, une incantation, une formule… 1. Les objets ou les détails ci-dessous sont empruntés à des contes célèbres

la dame ». C'est l'exaspération d'un pédagogue qui se met en colère devant un enfant qui refuse. Cette scène permet de comprendre le titre du roman. L'autre caractéristique de Mlle Giraud est la répétition. Celle-ci et l'enseignement sont les deux éléments dominants. Elle se révolte, c'est un personnage schématique, simple, caractérisé par le schéma et l'action. L'enfant Il n'a pas de portrait physique ni moral, il est impassible, immobile. Il est absent, totalement en aller où. Il est en rejet par