L Eloge Des Tahitiens

ce qui est (…) possédons ", " lorsque nous avons faim (…) vêtir " (l.38). Ils revendiquent un minimum qui rend la vie facile : le bien être et le repos sont mis en éloge : " laisse nous nous reposer ". III. La force oratoire du texte : Le discours est divisé en deux paragraphes : Dans le premier, le discours s'adresse aux Tahitiens et dans le second, il s'adresse directement au navigateur Bougainville. Dans la première partie de ce discours on remarque qu'il y a un jeu d'opposition entre "

chapitre voir rubrique thèmes ) type de texte : argumentatif L'auteur à travers le personnage fictif du vieillard cherche à convaincre le lecteur que l'esclavagisme est une absurdité en faisant appel a la raison de ce dernier : exemple : «  Si un tahitien débarquait un jour sur vos côtes, et qu'il gravât sur une de vos pierre ou sur l'écorce de vos arbres ''ce pays appartient aux habitant de Tahiti'', qu'en penserais-tu ? » il cherche aussi a attirer la compassion du lecteur en le persuadant : exemple

auteur notamment de l’Encyclopédie Il s’oppose vivement à la politique coloniale de l’Europe, et livre ses réflexions en réponse au récit de Bougainville dans un conte philosophique: Supplément au Voyage de Bougainville. Œuvre: Il y présente un éloge de la vie naturelle reposant sur le mythe du Bon Sauvage. Diderot utilise ce mythe pour développer sa critique et dénoncer l’attitude des colonisateurs européens. Par ailleurs, c’est également une réflexion sur l’altérité (reconnaissance de l’autre

raisonnable et peine à comprendre les querelles engendrés par les superstitions humaines. De même, Candide découvre à ses dépends que la folie mène le Monde. Mais en quoi ce texte est-il un réquisitoire contre les maux de la civilisation et un éloge du retour au naturel ? 2 : Lecture Analytique. I : Un réquisitoire contre les maux de la civilisation. 1 : Le vieillard, personnage du « sage ». 2 : Un discours véhément qui exprime la révolte. 3 : Un discours prophétique qui annonce

“sauvage” et civilisation. À l’issue de son périple autour du monde, le navigateur Bougainville emmène un Tahitien, Aoutourou, à Paris, et publie son récit de voyage (1771). Ému par la rencontre d’Aoutourou, Diderot écrit un supplément fictif au récit de voyage. Il prend la défense des sociétés naturelles et donne la parole à un vieil homme, qui représente le point de vue des Tahitiens, opposé à celui de l’explorateur européen. 5 10 15 20 25 30 […] Au départ de Bougainville, lorsque

s’attardent sur des évènements particuliers, tels que l’expulsion des Jésuites en Uruguay, que Bougainville a vécue sur place. Ensuite, ils évoquent les Patagons, des indiens « géants », puis discutent des « sauvages » en général. L’un d’eux, un Tahitien nommé Aotourou, avait suivi Bougainville à Paris mais, incapable de s’adapter, il était reparti chez lui. Sur ce, B conseille à A de lire le supplément, et les deux amis se plongent de suite dans le texte. B découvre l’univers de Tahiti au moment

civilisés de " méchants " (l.8). Il utilise un champ lexical fort pour souligner cette cruauté avec des verbes comme " enchaîner ", " égorger ", " assujettir ", " se haïr ", " asservir "… Ce champ lexical renforce l'attitude des Européens envers les Tahitiens et Diderot développe le champ lexical de la violence : " funeste avenir ", " fureurs inconnues ", " folles ", " féroces ", " esclaves " et " teintes de sang ". Les mots sont appuyés grâce à des énumérations et répétitions (l.20). L'auteur utilise

ethnique et l’hypocrisie religieuse. I. Combattre par les mots. 1) Une situation de communication atypique : Discours tenu par un vieillard tahitien (symbole de la sagesse), avec un destinataire précis qui est Bougainville. Le discours est divisé en deux paragraphes : Dans le premier, le discours s'adresse aux Tahitiens et dans le second, il s'adresse directement au navigateur Bougainville. 2) L’éloquence oratoire du vieillard : Ton véhément : nombreux point

civilisés de " méchants " (l.8). Il utilise un champ lexical fort pour souligner cette cruauté avec des verbes comme " enchaîner ", " égorger ", " assujettir ", " se haïr ", " asservir "… Ce champ lexical renforce l'attitude des Européens envers les Tahitiens et Diderot développe le champ lexical de la violence : " funeste avenir ", " fureurs inconnues ", " folles ", " féroces ", " esclaves " et " teintes de sang ". Les mots sont appuyés grâce à des énumérations et répétitions (l.20). L'auteur utilise

montre raisonnable et peine à comprendre les querelles engendrés par les superstitions humaines. De même, Candide découvre à ses dépends que la folie mène le Monde. Mais en quoi ce texte est-il un réquisitoire contre les maux de la civilisation et un éloge du retour au naturel ? 2 : Lecture Analytique. I : Un réquisitoire contre les maux de la civilisation. 1 : Le vieillard, personnage du « sage ». 2 : Un discours véhément qui exprime la révolte. 3 : Un discours prophétique qui annonce un avenir