L Enfer C Est La Solitude

que la chevelure de flamme se transforme en leitmotiv qui exprime le feu de la passion chez Day et aussi celui de l’enfer dont il a peur. Les autres personnages servent à mettre l’accent sur divers aspects de la souffrance intérieure de Day, de sa solitude et de ses obsessions. Ces autres personnages sont presque toujours seuls avec Day. Mrs. Dare est insatisfaite dans ses aspirations sensuelles. Simon est un jeune homme timide et doux qui est attiré par Day. Mac Allister est préoccupé par l’amour

secrète splendeur et la beauté fatale Dont la nature lui fit don ; 2 Un bas rosâtre, orné de coins d’or, à la jambe, Comme un souvenir est resté ; La jarretière, ainsi qu’un il secret qui flambe, Darde un regard diamanté. Le singulier aspect de cette solitude Et d’un grand portrait langoureux, Aux yeux provocateurs comme son attitude, Révèle un amour ténébreux, Une coupable joie et des fêtes étranges Pleines de baisers infernaux, Dont se réjouissait l’essaim des mauvais anges Nageant dans les plis des

sous des meules ; Ils vont de l’aube au soir faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d’une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d’airain, tout est de fer. Jamais on ne s’arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! La cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas !

antinaturalistes. Pour Munch, c'est une libération. "La photographie ne peut faire concurrence à la palette et au pinceau, écrit-il, tant qu'elle ne peut servir au ciel et en enfer". C'est à Paris que Munch apprend la mort de son père. La Nuit à Saint-Cloud représente l'expression de ce deuil. On retrouve dans ce tableau la solitude et la mélancolie. Dans une teinte exclusivement bleue, la toile esquisse la silhouette d'un personnage solitaire assis à la fenêtre d'une pièce, caché dans l'obscurité

qu’elle puisse sans remettre. La vision pathétique est elle aussi présente car le lecteur suscite de la compassion pour la jeune fille qui perd la raison. Le lecteur a pitié de cette jeune fille qui perd la raison à cause de la tristesse et de la solitude. Dans ce récit l’incohérence l’Ophélia attire l’attention du lecteur et a pour but d’accentué la folie de celle-ci. Ces paroles ne sont pas organisées et ne veulent rien dire. Ophélia dit des choses qui n’ont pas de sens « Et sur son

de Clov. Le refuge n’est pas en effet fondamentalement antithétique de l’extérieur (le refuge n’est pas totalement en opposition avec l’extérieur) dont il est censé protéger. Si comme le dit Hamm « dehors c’est  l’autre enfer », on peut voir que l’intérieur est aussi un enfer, ces deux enfers se valent. De plus on voit que Hamm a peur que son refuge soit envahi par des procréateur comme le rat, la puce ou encore l’enfant. Hamm a cette peur car les murs qui délimitent la frontière entre extérieur

chap 2, section 7 : L’illumination de Suter « Mais ce qui intéresse surtout Suter dans ce trafic (...) à peine dans la solitude, obliquent brusquement à l’ouest ? »Introduction : Suter vient de s’établir fermier ds le Missouri. S’arrête à la jonction symbolique des 2 fleuves de l’Histoire. Temps du repos ? Non : rassemble ses forces, s’informe toujours plus, dans le but de trouver une terre à la mesure de ses grands desseins. Texte qui décrit une révélation : le héros sent naître en lui la hantise[1]

justifie Un général dans la bibliothèque *emprunte les traits du conte : un jour, un beau matin Lieu : La Pandurie (imaginaire) Personnages stéréotypés Eloge de la littérature et de l’apologie Proust : « miracle fécond d’une communication au sein de la solitude » Général Fedina, bibliothécaire Crispino, soldat Barabasso (le plus instruit) Lieutenants comparés à des échalas (bâton pour éduquer) La pancarte est un expédient Un mulet a mangé un codex rare de Cicéron Les livres denonçant les romains (guerres

ainsi qu’un il secret qui flambe, Darde un regard diamanté. Au milieu des flacons, des étoffes lamées Et des meubles voluptueux, Des marbres, des tableaux, des robes parfumées Qui traînent à plis somptueux, Le singulier aspect de cette solitude Et d’un grand portrait langoureux, Aux yeux provocateurs comme son attitude, Révèle un amour ténébreux, Dans une chambre tiède où, comme en une serre, L’air est dangereux et fatal, Où des bouquets mourants dans leurs cercueils de verre Exhalent

clarté » dans la première strophe. On a également l’association entre le noir et le froid, ce qui signifie une double absence de vie avec « les froides ténèbres » où l’antéposition renforce cette union entre le froid et le noir. De même, l’oxymore « enfer polaire » avec cette association entre le chaud et le froid extrême. 2) La métaphore de la noyade au vers 1 sans prononcer le mot « mort ». 3) Le « nous » constitue une généralisation de la mort d’autant plus remarquable qu’à la fin du poème Baudelaire