L Enfer C Est La Solitude

enfants. Afin de ne pas aborder des questions trop profondes et existentielles, les personnages entretiennent des conversations triviales voire inutiles. Non seulement ils ne parviennent pas à s’écouter, chacun préférant s’enfermer dans sa propre solitude, mais encore les échanges sont uniquement des propos du quotidien, sans réel intérêt, remplis d’ironie, de moquerie et de comédie. En effet, le registre comique est souvent utilisé à des fins cyniques. Les sujets des conversations sont gamins, primaires :

alors victime d’une épuration, le commandant veut des noms. Brodeck se fait dénoncé, avec un autre jeune du village. Il apprendra par la suite que Limat faisait parti des hommes du village l’ayant dénoncé. Commence pour Brodeck la longue descente en enfer de la vie de camp, ce camp où les prisonniers deviennent des fantômes, des jouets, des numéros. Dans le wagon l’emmenant vers les camps de concentration, il fait la connaissance de Kelmar, avec qui il se liera d’amitié. Ils voleront tous les deux

a des monstres cachés sous le lit. Quand on est plus vieux, les monstres sont différents : Doute de soi, solitude, regret... Et bien qu'on soit plus âgés et plus sages, on a toujours peur du noir. » Episode 9, Saison 5. « Je crois au Paradis. Je crois aussi à l'Enfer. Je n'ai jamais vu ni l'un ni l'autre, Mais je crois qu'ils existent. Ils doivent exister. Parce que sans Paradis, sans Enfer... On se dirige tous vers les limbes. » Episode 13, Saison 5. « Dans le dictionnaire, le chagrin est

angoisse qu’il ne peut pas exprimer. Cela débouche sur la méditation de la mort universelle. La souffrance renvoie à une défaite, face à face avec la mort, c’est elle qui gagne, l’homme perd moralement et physiquement. On trouve un sentiment de solitude, d’enfermement des deux protagonistes, aucun des deux ne parvient à communiquer avec l’autre. Claude veut rétablir la fraternité avec Perken, mais n’y parvient pas. Claude ne peut exprimer ses sentiments par la parole, pour lui Perken n’est plus

essayiste, poète ➢ I. La foule symbole de joie et de vie : a) Une foule anonyme b) Une impression de vitalité Auteur de : ➢ ➢ ➢ Les Fleurs du Mal A une Madone A une Malabaraise II. Le vieux saltimbanque, triste, seul a) Éloignement géographique b) Solitude III. Le regard du vieux saltimbanque a) Le regard du saltimbanque b) Le regard du poète Biographie : Charles Baudelaire n’a que six ans lorsque son père meurt. Baudelaire se fait remarquer par son caractère rebelle. Sa famille n’apprécie guère la

l’horreur en tuant de son balcon deux ouvrières choisies au hasard. Celui-ci va par la suite multiplier ses exactions, mais certains en réchapperont. Cette issue imprévue permet au spectateur de ressentir une certaine forme de soulagement au cœur cet enfer destructeur. Cependant, la sélection dans le camp où seront éliminés ceux qui ne sont plus "aptes" au travail illustre une nouvelle fois dans quelle réalité effroyable nous nous situons. Les victimes de cette épreuve resteront pourtant anonymes et

l’effort créateur." Dans les Fleurs du mal, qui rassemble plus de cent vingts poèmes, Baudelaire évoque son expérience de la dualité entre divinité et enfer, le Spleen et l’Idéal, ses amours maudits (Jeanne Duval la mulâtresse) ou platoniques (Madame Sabatier, sa muse et protectrice), l’expérience douloureuse ou spirituelle de la solitude, les paradis artificiels (vin, opium, haschich), la débauche et les voluptés interdites (homosexualité, plaisirs sadiques). Baudelaire parle encore de ses rapports

l'autorité donc perte de protection création d'un nouveau père = Dieu Pourquoi ? Protéger mieux contre les pulsions Il est - OMNISCIENT - OMNIPRESENT - OMNIPOTENT ( car invisible ) Comment ? Avec les dogmes ( interdits religieux) Enfer motivations négatives pour obéir aux dogmes Paradis motivation positive pour obéir aux dogmes LA PRIERE DE DEMANDE SELON FREUD : aide pour refouler les pulsions demande de pardon ,car cédé a des pulsions, dans l'espoir qu'il soit + indulgent

Pyrrhus, Andromaque exprime sa tristesse en se plaignant que« Le seul bien « qu’il lui reste d’Hector et de Troie » est son fils ,elle ne veut donc en aucun cas le perdre. Elle protège son fils et argumente que sans son fils elle est victime de solitude et de tristesse « Captive, toujours triste, importune .. » . Nous pouvons donc relever le champ lexical du malheur et de la tristesse « pleurer » ; « les larmes de sa mère » « mais il me faut tout perdre » « toujours triste » et « Qu’a des pleurs

le jugement Dans le premier sens, l'inégalité peut être comprise comme le produit de différences de capital économique, éducatif ou symbolique, permettant de tirer profit du droit. Nous discuterons des inégalités sociales devant les tribunaux car avant l’enfermement ils y’a aussi des inégalités lors du jugement les caractéristiques sociales de la famille sont des variables qui expliquent les différences d'accès aux lois, au langage juridique et aux procédures complexes. les familles pauvres sont