L Enfer C Est La Solitude

la scène connaître des détails nécessaires à sa compréhension mais cachés au lecteur. A la fin de la scène le garçon d'étage quitte la pièce. Dans la scène 2 Garcin appelle vainement le garçon; il fait alors l'expérience de l'enfermement et de la solitude. La scène 3 est marquée par l'apparition d'un nouveau personnage: Inès. D'abord confuse elle demande à Garcin ou est Florence. Celui-ci lui répond qu'il ne connait pas de Florence et qu'ils se trouvent tous deux dans la même situation. Inès adopte

distincts, soit l'hiver et le mort. En effet, les 2 poèmes ont beaucoup de références à l'hiver pour montrer l'angoisse qu'éprouve le personnage de leur poème. Le poème de Baudelaire est rempli de ces références hivernales : «Et, comme le soleil dans son enfer polaire, / Mon cœur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé. / J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe; » (v. 7-9) Dans le poème Maison fermée, l'angoisse est représentée à travers l'hiver: «Je songe à la désolation de l'hiver»(v.8-9) L'antithèse

C’est ton souffle de vie, cela t’es nécessaire. Tu aimerais un immense trou noir dans lequel tu pourrais te perdre et où personne ne pourra te retrouver. Et le néant : plus aucun bruit ni aucun mouvement. RIEN. Seulement le silence et la solitude. Rien, pour ne plus avoir peur, ni honte, ni culpabiliser. Tu luttes contre toi-même en permanence, contre tes pensées, faits et gestes que tu ne parviens plus à contrôler. Tu voudrais vivre mais la peur dévore ce qu’il reste de toi et une partie

Toute la vie supportant un enfer conjugal Sa bouche sent le gin et son corps sent le mal. Tu continues à passer les jours en t'évadant de la réalité La peur brille dans tes yeux, il va bientôt te refrapper. Il n'en vaut pas la peine, femme, ta passivité Il n'en vaut pas la peine, femme, tu dois agir Il n'en vaut pas la peine, femme, ta passivité Il n'en vaut pas la peine, femme, arme-toi VIOLENCE MASCHISTE, VIOLENCE FACISTE. Comme chaque jour, une nouvelle humiliation Comme chaque

suffisants « seules » et « meules » renforcent l’idée de solitude dans l’usine, qui revoie à une sorte de cellule de prison. Victor Hugo emploie un lexique de l’enfer et du prison : « prison », « bagne », « enfer », « servitude infâme ». De plus, le lexique du métal (« airain », « fer ») est un allusion à Vulcan ou Héphaïstos et la forge, ce qui renvoie aussi à l’enfer. On voit encore plus vivement cette comparaison puisque « fer » et enfer » sont tous les deux en fin de vers et qu’ils sont des rimes

Un homme peut-il être heureux sans amis? Thèse: Selon moi, non, personne ne peut être heureux sans amis. Personne ne peut vivre en solitude en même temps d'être heureux. Toutes personnes ont besoin d'autrui pour pouvoir accéder à son bonheur, car nous avons besoin de pouvoir partager notre bonheur avec d'autres personnes. Comment voulez-vous être heureux si vous ne pouvez pas partager cela avec quelqu'un d'autre? Si l'être humain était heureux, il n'aurait besoin de rien et de personne, donc

lointain ; aspect culturel de Minos, dieu mythologique antique ; opposition des statues si diff. du Vizir et de l'Ermite ; sagesse de l'interprète. - Récit pittoresque -> image qu'il nous offre (paradis rendu + merveilleux par renchérissement V. 3 ; Enfer présenté par métonymie des feux V. 5. Ces hypotyposes avec mélange d'imagerie oriental et mythologie donne a cette fable un caractère bien particulier et bien diff. du bestiaire traditionnel. C) Résolution d'une énigme - V. 1 à 11, mystère total

Je suis le Christ Et toi tu es ma croix Et ça fait rire tout Rome ! Je suis le Christ Juste un con planté là D'avoir trop aimé les autres Je marche au milieu des foules qui me jettent des pierres Triste radeau sur la houle, bienvenue en enfer ! Et si l'amour a planté, oui, des clous dans mon coeur C'est qu'une seconde à t'aimer vaut des siècles dans la douleur L'ange aux allures de la mort m'a dit "L'heure est venue, Mon enfant, ne regrette rien, l'amour, tu l'as perdu" Alors moi

Un « monstre hideux » (l.8) remplace la machine - L’usine est assimilée à un bagne et à un enfer (l.9) On note les notions d’enfermement et de souffrance. Ces métaphores soulignent l’horreur de la condition réservée aux enfants. Elles transforment l’usine en lieu fantastique peuplé de créatures terrifiantes. Il y a une double antithèse au vers 9 : « Innocents dans un bagne » et « Anges dans un enfer ». 3°) Victor Hugo emploie ici le registre pathétique ; il s’agit d’inspirer au lecteur la

transforme les machines en monstre ce qui évoque bien l’angoisse et la peur que peuvent ressentir ces enfant devant de tels outils. Les champs lexicaux de ce poème « prison ; bagne ; enfer » nous plonge dans cet univers infernal que subissent les « innocents » comme le dit Victor Hugo. Ces enfants vivent un enfer quotidien, ils possèdent des conditions de travail misérables mais aussi des tâche très dure à effectuer «  jamais on ne s’arrêtent » A LA LIGNE ( état ) Enfin Victor Hugo dénonce la