L Enfer C Est La Solitude

éclatante. Aragon nous définit le bonheur par la négation parce que le bonheur n’a pas de définition précise Il est différent pour chacun. « Tu m’as pris par la main dans cet enfer moderne » Elsa le prend par la main pourlui montrer le chemin et pour le proteger dans l’enfer moderne qui est pour Aragon un monde de solitude. C’est un monde égoïste et cruel. L’homme vit seul dans le monde moderne, mais lui Aragon n’est pas seul car il a Elsa. Ici Aragon fait une critique de la société moderne. « Ou

« tout ce que j’ai souffert » : phèdre se livre à une instrospection *question de rhétorique « où ma raison va t-elle s’égarer ? » mouvement de réflexivité, elle éprouve un st d’étrangeté à elle même, autoanalyse. *paradoxe « des crimes inconnus en enfer » éprouve un sentiment de honte et de culpabilité.  *hyperbole « spectacle horrible » elle ne supporte pas l’image qu’elle donne d’elle même » B/ L’ESPRESSION DE LA JALOUSIE *exclamation « ah douleur non encore éprouvée » : sentiment nouveau

narrateur. Sa vie présente, chez les Natchez, n’est pas plus heureuse que sa vie passée, tant le drame familial, dont il ne peut oublier le souvenir, exacerbe son penchant à la mélancolie. Seule une mort prématurée et tragique vient l’arracher à son enfer intime. – Amélie : contrairement à son frère, la jeune fille parvient à sublimer ses sentiments interdits en renonçant au monde et en se consacrant à Dieu. Sa mort sera celle d’une « sainte ». – Chactas : père adoptif de René, il n’éprouve

répétitif et monotone. Aucune possibilité pour eux de s'évader. Aussi, l'usine est-elle sous la plume de Victor Hugo comparée à un univers carcéral : c'est ce que suggèrent les champs lexicaux de l'enfermement et de l'obscurité : « prison », « bagne », »enfer » (il s'agit ici d'une gradation), mais aussi « serre », « sombre », et « ombre ». Aucune lumière et donc aucun espoir n'est donné aux enfants. Cet environnement hostile est également évoqué dans le parallélisme du vers 10 : « […] tout est d'airain

cette idée d’un déroulement vers le ciel. Ce message peut également prendre une dimension philosophique, il pourrait connoter la rivalité avec le ciel, «mordent le ciel» exprime le défi que l'homme lance à Dieu. Il s'agit d'une sorte de vision d'un enfer moderne avec tous les instruments nécessaire : les bruits infernaux, les machines, le feu et la chaleur constante, les victimes (les hommes) et un monde clos sans issue. En fait Verhaeren nous fait comprendre que l’humain a réinventé l'enfer terrestre

L’enfer est tout entier dans ce mot : solitude. » Soyez bien entouré dans votre vie et vous serez alors heureux ainsi ! Victor Hugo a probablement remarqué qu’il était difficile de vivre heureux tout en étant seul. Il qualifie même cela d’un enfer dans son oeuvre « La fin de Satan » au XIXe siècle. En effet, dans la société du dramaturge ainsi que dans la société actuelle, vivre en collectivité nous apporte des sources de bonheur. L’auteur pense donc que la solitude est un sentiment qu’il faut éviter

réplique de Garcin jusqu'à la fin de ce passage. Dans la première partie, Inès, qui a compris que, dans cet enfer, le bourreau c'est "chacun de nous pour les deux autres", ne supporte plus la présence de Garcin ou plutôt son absence de présence. Il la gène, car c'est un homme, sa présence l'empêchant de posséder Estelle qu'elle désire séduire car elle semble avoir peur de la solitude. De plus, elle ne semble pas supporter à être la seule à vouloir comprendre et accepter pourquoi ils sont là et

- Descartes : Rien n’existe en dehors de la conscience du sujet, tout se passe ds solitude du moi je suis seul ds ma tête et ne puis entrer ds conscience d’autrui  autrui = un autre semblable à moi par analogie. - Pascal : impossible de communiquer avec autres consciences, même ds amour : “ on n’aime jamais personne, on n’aime que des qualités ”  on ne s’aperçoit du sujet que ds son extériorité : solitude ontologique, autrui est celui que je ne peux pas atteindre, ni rencontrer, dont l’existence

= toujours pareil ) Alexandrin -> vers noble privilégié pour les grands sujets. La méditation du poète est en alexandrin. Le lien entre les 2 parties est évident, il s’agit d’une critique des apparences et d’une éloge de l’authenticité et de la solitude propice à la rêverie et à l’épanouissement personnel au sein de la nature. I) La fabula ou l’efficacité du récit Ca commence comme un récit merveilleux grâce au «  jadis » qui ne permet pas de situer l’histoire dans la temps et qui fait penser

retrouvent à leur mort dans une même pièce. Ils ne se connaissent pas, viennent de milieux très différents. Sartre nous décrit ici son « enfer » dans lequel il n’y a ni bourreau, ni instrument de torture physique : « L’enfer c’est les autres ». Cette pièce de théâtre est en un acte composé de cinq scènes. Nous avons ici la scène 1, dans laquelle Garcin, mort, est en enfer et entre accompagné du garçon d’étage dans un salon style second Empire. Cette scène d’exposition étonne car elle ne répond à aucune