L Epee Dans Le Cid

INTRODUCTION • Sujet amené :  Nom de l’auteur : Pierre Corneille  Titre de l’œuvre : Le Cid  Titre de l’extrait : « Un débat intérieur »  Lieu et date de création ou de publication : Paris; composé fin 1636, joué pour la 1re fois au théâtre Maurais en janvier 1937, publié en mars  Courant littéraire : préclassicisme  Genre et forme littéraires : Genre dramatique, tragédie (5 actes)  Propos ou mise en situation : valorisation de la morale héroïque, valorisation des liens de sang

Pierre Corneille, né à Rouen le 6 juin 1606 et mort à Paris le 1er octobre 1684,dramaturge français. Ses pièces célèbres : Le Cid), Cinna), Polyeucte et Horace). La richesse et la diversité de son œuvre reflètent les valeurs et les grandes interrogations de son époque. Aîné des six enfants d’une famille aisée de magistrats rouennais, Pierre Corneille entame en 1624 une carrière d’avocat à Rouen. 1628 son père lui achète deux offices d'avocat du roi au siège des Eaux et Forêts et à l'amirauté de

Corneille (1606-1684), Le Cid, 1637 1. Cette infamie : pour recevoir cette flétrissure. 2. Ne suis-je blanchi : n’ai-je vieilli. 3. Trahit ma querelle : m’abandonne, me fait défaut, manque à ma défense. 4. Fatale : qui cause la perte de. Cette nouvelle dignité est sa nomination comme gouverneur de l’Infant. 5. Votre éclat : l’éclat de sa gloire, de toute sa vie passée. 6. Tout de glace : refroidi par l’âge. 7. Fer : Don Diègue apostrophe son épée ; fer est le terme noble, qui

Résumé : Le Cid de Corneille (1637)   Don Rodrigue et don Sanche, jeunes seigneurs de la cour de Fernand ou Ferdinand Ier, roi de Castille en 1033, sont épris tous deux de Dona Chimène, fille de D. Gomès, seigneur de la même cour. Rodrigue est préféré par Chimène ; D. Diègue, homme âgé et père de Rodrigue, doit demander à D. Gomès la main de sa fille pour son fils. Mais le jour même le roi vient de choisir D. Diègue pour gouverneur de l’infant de Castille. D. Gomès prétendait à ce poste. Il est

pièces où vous pourrez en apprendre un peu plus sur la magie, vous pourrez visiter d'autres salles de ce château (vous rencontrerez Rosa), mais il s'agira de vous rendre à l'extérieur et en haut à gauche pour entrer dans la tour après avoir parlé à Cid. Dirigez-vous vers la droite une fois à l'intérieur de la tour, pour bientôt rejoindre votre chambre. Approchez-vous de votre lit pour déclencher une cinématique, puis Rosa vous rejoindra dans votre chambre. Suite à la séquence, vous vous retrouvez

remarque par la métaphore « Mais je suis dans un désert ! »(l.25). C’est en effet un beau passage tragique, une famille massacrée, un seul survivant et l’auteur utilise aussi la personnification d’une épée pour montrer qu’une vengeance se doit d’avoir lieu au nom de toute la famille (« Et que cette épée que je te donne n’ait de repos que quand elle aura frappé de mort l’usurpateur. »). En quoi cette scène est-elle parodique ? L’auteur exagère certains traits de la tragédie dans une intention parodique

Venge-moi, venge-toi ; Montre-toi digne fils d’un père tel que moi. Accablé des malheurs où le destin me range3, Je vais les déplorer. Va, cours, vole, et nous venge. P. Corneille, Le Cid, 1660. 1 Mais [...] jour : mais celui qui peut vivre sans honneur est indigne de vivre. 2 Tu tiens la vengeance : tu tiens avec mon épée le moyen de nous venger. 3 Où le destin me range : auxquels le destin me soumet. Ex. 2 JE CONJUGUE AU MODE IMPÉRATIF Récrivez le texte suivant en conjuguant les verbes au mode

la corrida. La bravoure du Cid Campeador face au taureau est célébrée non seulement par Paquiro dans la Tauromaquia completa et dans son « discours historico-apologétique des fêtes taurines », mais aussi par d'autres chroniqueurs de l'époque qui s'en font l'écho et dont Paquiro affirme : « Tous conviennent que le célèbre chevalier Rodrigo Díaz de Vivar, dit Le Cid Campeador fut le premier à avoir combattu les taureaux à coup de lance du haut de son cheval. » El Cid Campeador combattant un taureau

disant toujours un peu plus que le précédent), soit descendante (mot disant toujours un peu moins que le précédent). La gradation est habituellement constituée d’au moins trois termes. Exemples : «  Va, cours, vole et nous venge ! » – Corneille, le Cid « Un souffle, une ombre, un rien, tout lui donnait la fièvre. » – La Fontaine Hyperbole Il s’agit d’exagération des faits, d’une idée, afin de frapper le lecteur. Exemples : « Les Français ont frappé avec cœur et force. / Les païens sont morts

son amour incestueux, Phèdre engendre la colère de Thésée qui tue son fils Hippolyte. II – Les ressources du texte théâtral. A – Le monologue. Occasion pour le personnage d’exprimer ses doutes, les dilemmes qu’il doit résoudre. Ex. Le Cid de Corneille. Fameux monologue de Rodrigue, qui se voit déchirer entre son amour pour Chimène et l’honneur de son père qu’il doit venger en tuant le père de sa bien-aimée : « Réduit au triste choix ou de trahir ma flamme ou de vivre en infâme ». .