L Espace Du Dedans

à la chair du monde en tant qu'unité « voyant-visble » et qui fait que je sois indissociable de ce monde, et que ce monde soit indissociable de mon être. C'est ce qui fait que mon monde soit en adéquation avec mon être, en d'autres termes que mon dedans reflète mon dehors. Et c'est pourquoi ils « figurent dans un coin de mon paysage ». Ce paysage est interprété comme l'expérience sensible du sujet en échange avec ce qui l'entoure, il correspond ainsi au sentir en ceci que le sujet sentant s'éprouve

de langue française qui nous intéresse ici particulièrement, est, en effet, tension. Tension entre deux univers culturellement différents, tension entre deux histoires pourtant intimement liées, tension entre deux langues, l'une maternelle et du "dedans", l'autre, langue du colonisateur et donc langue du "dehors", pour reprendre les expressions d'Assia Djebar. Cette littérature qui est née, rappelons-le, dans un contexte bien précis, celui de la colonisation et des mouvements de libération nationale

de son mode d’habitation. Le mode d’être de l’habitant et les gestes qui traduisent ce mode dans la maison en deviennent la marque propre et l’empreinte. Organiser le monde à partir d’un centre Habiter signifie donc être actif, agir sur le vaste espace du monde pour le qualifier et constituer son habitation, pour enclore celle-ci et en définir le seuil, l’intérieur et l’extérieur, pour en moduler l’ouverture et réaliser l’hospitalité. L’individu fait sortir du monde environnant les éléments qui

davantage ici ; reprise par les successeurs d'Al-Kindî, elle se déploie en son inscription dans l'horizon du sujet où elle dit sa "double articulation" : présence au monde et présence à soi, double expérience qui engage dans la saisie totale, en dedans et en dehors, de l'être au monde et de l'être à soi. Telles sont les limites extrêmes qu'ouvre Phantasia, dès son titre. Et telle s'annonce l'écriture comme expérience, "expérience extrême, engageant le corps jusqu'à sa consumation, dans ce dépassement

46, entre 23h et 5h du matin, près de Lyon. Les bandits s’en prennent surtout aux voitures étrangères. (L. ) c LA DIVERSITE DES DANGERS DE L’AUTOROUTE (II, B) Les véhicules dessinés semblent impersonnels, on ne voit personne dedans, certains sont identiques. b Gaston, l’un des deux routiers, nourrit une relation chaleureuse avec les préposés du péage, ce que Pierre, son collègue, trouve excentrique. (L. ) c L’autoroute est le « degré

on voit un amoncellement de véhicules qui tombent méthodiquement dans un ravin inattendu. Cela renvoie aux accidents qui s’enchaînent dans les carambolages. aLes véhicules dessinés semblent impersonnels, on ne voit personne dedans, certains sont identiques. b Le tracé de l’autoroute sur le dessin est rectiligne, malgré le fait qu’il soit à flanc de montagne. cLa vitesse des véhicules les empêche de réagir efficacement quand

dans ses commentaires, aborde chronologiquement, de 1893 à 1927, les différentes phases d’une aventure créatrice, de l’idéal de Monet «de se mêler plus intimement à la nature», jusqu’à la réalisation d’une peinture à grande échelle, et à sa mise en espace à l’Orangerie. Les longs préparatifs et les difficultés de réalisation rencontrées par un peintre déjà âgé y sont bien relatés, mais c’est surtout l’analyse des enjeux artistiques et du statut de cette peinture, commencée dans un monde en guerre,

touchent le noir. S6007473 A gauche du crâne, à peine un ou deux centimètres, la première fenêtre. Ses dimensions : un carré d’une trentaine de centimètres de côtés. Au dessus une sorte de cercle irrégulier comme pour rappeler l’auréole du crâne. Dedans deux bandes bleu ciel (un peu éteint-avant-éclipse) à droite et gauche, en bas orange, lumineux (une orange acide), sur le côté droit, une tâche rouge de sang coagulé, sale, bave sur la bande bleu du ciel-avant-éclipse. Au centre un collage. Couleur

frivoles, comme de harpies, satires, oisons bridez, lievres cornuz, canes bastées, boucqs volans, cerfz limonnierset autres telles pinctures contrefaictes à plaisir pour exciter le monde à rire (quel fut Silene, maistre du bon Bacchus); mais au dedans l'on reservait les fines drogues comme baulme, ambre gris, amomon , musc, zivette, pierreries et autres choses precieuses. Tel disait être Socrates, parce que, le voians au dehors et l'estimans par l'exteriore apparence, n'en eussiez donné un

maison de mon grand père maternelle qu’il avait à Mirval. Que de bons moments passés pendant les vacances avec ma famille. Il y avait une fontaine sur la place, juste au-dessus de la fenêtre de la salle à manger. Avec mon frère, nous aimions patauger dedans. La maison, se trouvait pas très long de la plage. Nous pouvions aller pêché percher sur les rochers. Le soir, nous partions promener le chien dans le village. Nous avions nos petites habitudes. Mon grand-père n’étant pas sur place, il fallait faire