L'Être et le Néant

sentiment d'insécurité et d'appartenance. Les excès de honte proviennent des humiliations, du mépris, des moqueries, de la régression sociale, de la rivalité. La honte passe parfois d'abord par les comportements pour ensuite fragiliser et endommager l'Être. La honte s'enracine dans le sentiment d'être indigne. La honte excessive mine l'ego. Dans le film de David Lynch "Elephant Man", le personnage principal (Elephant Man, enfant né avec une malformation physique, symbole du monstre), ne fait rien de

influencé par d’autres facteurs comme la prise de drogue, d’alcool, de médicaments, les maladies mentales et l’hypnose : c’est inconscience. Freud évoque l’hypothèse de l’inconscient , il remet en cause l’idée que l’être humain soit toujours maître de ses pensées, ses paroles et ses actes en état d’inconscience. Il oppose la conscience (le jour) et l’inconscience (la nuit, lorsque nous rêvons, sous hypnose). III. Devenir « soi-même »Notre

d'avenir, et si rien n'existait il n'y aurait pas de temps présent. , ne devient tel qu'en passant au passé , quel mode d'être lui reconnaitre puisque sa raison d'être est de cesser d'etre si bien que nous pouvons dire que le temps a l'etre seulement parce qu'il tend au néant. Enfin si l'avenir et le passé sont, je veux savoir ou ils sont.Si je ne le puis, je sais du moins que ou qu'ils soient ils n'y sont pas en tant que choses futures ou passées mais sont choses présentes En va t il de meme quand on

philosophiques que l'on regroupe sous le nom d'existentialisme, que pour son engagement politique, de gauche radicale. L'œuvre de Jean-Paul Sartre, qui a marqué le milieu du XXe siècle, est riche d'essais et de textes philosophiques majeurs comme L'Être et le Néant (1943) ou L'existentialisme est un humanisme (1945), mais aussi de textes littéraires avec son recueil de nouvelles publié en 1939 Le Mur ou ses romans : La Nausée (1938) et Les Chemins de la liberté (1945). Son théâtre avec des pièces – par

nous sommes des êtres doués de mouvement, de parole, de pensée, etc. L'inconscient, cette part d'entités refoulées en nous et expliquée par Freud n'est pas selon moi digne d'être approfondie. En effet, Sartre explique que l'homme est libre (L'être et le Néant) C'est à dire qu'il a le choix de ses possibilités: c'est lui et lui seul qui a le pouvoir d'orienter sa vie, son existence. Il ne serait donc pas soumit à cette instance psychique qu'est l'inconscient. De plus, se connaitre totalement impliquerait

œuvre, notamment ses paradigmes philosophiques que l'on regroupe sous le nom d'existentialisme, que pour son engagement politique, de gauche radicale. L'œuvre de Jean-Paul Sartre, à côté d'essais et de textes philosophiques majeurs comme L'Être et le Néant (1943) ou L'existentialisme est un humanisme (1945), est riche de textes littéraires avec son recueil de nouvelles publié en 1939 Le Mur ou ses romans : La Nausée (1938) - Les chemins de la liberté (1945). Son théâtre avec des pièces – par exemple

dans son aspect positif, quand l’être humain sent que la pression exigée par cet extérieur ne lui convient pas, et même lui est nuisible pour son équilibre psycho-physiologique et mental. Il est alors bon pour lui à s’en détacher, puisque ressenti intérieurement comme une contrainte à lui-même. De façon générale, celui qui recherche la liberté la désire toujours égoïstement, c’est-à-dire de permettre à son ego de faire ce qu’il veut, et se satisfaire.; en cela, l’être humain marche toujours sur le

Sartre. Extrait de L'Etre et le Neant. Cet extrait traite de la liberté et du travail, ce travail qui est une forme de liberté. Pour Sartre, le moyen d'obtenir une forme de libération, c'est le Travail. C'est par l'intermédiaire du travail que nous pouvons nous libérer. Ainsi, comment le travail qui rend la personne assujetti pourrait-il offrir à ces travailleurs acharnés une liberté méritée ? D'abord, Sartre expose quelles sont les contraintes que rencontre l'homme qui travaille, ensuite, il

relation sociale serait impossible à envisager. C’est en observant les employés dans un hôtel des îles Shetland que E. Goffman a découvert ce phénomène. De ce fait, on peut dire, en reprenant l’analyse que fait Sartre du garçon de café dans L’Être et le Néant, que le garçon de café «joue à être» garçon de café. Toute sa conduite, telle qu’elle est décrite dans l’ouvrage, nous semble être un jeu. Il s’applique à enchaîner ses mouvements comme s’ils étaient des mécanismes. Donc, on pourrait dire que

s’engage entre les deux femmes met en lumière l’angoisse grandissante de l’adolescente. Au final, elle va organiser l’humiliation de sa rivale par peur de perdre sa liberté et parce que sa belle mère la met en face de sa médiocrité et de son néant.   C’est ce néant qui s’exprime dans le titre et dans les premières lignes du roman, à travers le motif de la TRISTESSE : Cécile la décrit comme un ennui obsédant qui provoque l’enfermement du sujet sur lui-même, une forclusion coupable, conséquence évidente