L Eunomia

aux gérontes et aux archegètes (aux rois) de dissoudre l’assemblée du peuple si celui-ci décidait « de travers ». Plutarque attribue à Lycurgue le partage égalitaire de la chora. Apparemment, c’est au cours de la seconde moitié du VIIè que cette eunomia (bonne législation) se mit en place. Mais Lycurgue semble être un personnage légendaire. Sparte fut la première puissance militaire du monde grec jusqu’au IVè et incarne la liberté et l’indépendance grecque face aux tyrans. La crise de la fin

1 1 Documents pour exposés et TD Rappel du programme des exposés TD 4. Exposés 17.02.22 Le polyandrion de Paros (Doc.) Paros, vues et restitution du premier polyandreion. 2 2 Paros. Amphores cinéraires 3 3 - La tombe du guerrier d’Argos (Doc.) 4 4 Séance 5. 24.02.22. TD 5. Compte rendu d’ouvrage. Lectures critiques de Construire la cité - Essai de sociologie historique sur les communautés de l'archaïsme grec, Paris, PUF, 2020 d' A. Duplouy. Séance 6. (10.03

elles personnifient les saisons et symbolisent dans le même temps les vertus civiques. Elles ont pris le nom de Thallô, Auxô et Carpô quand il s’agissait d’évoquer les idées de Pousser, Croître et Fortifier. Dans un sens politique, on les dénommait Eunomia, Dikè et Eirénè, c’est-à-dire la Discipline, la Justice et la Paix. Dans cette légende, ces deux dénominations historiques des Heures démontrent qu’elles symbolisent la mise en relation du rythme des saisons avec la concorde, c’est-à-dire l’harmonie

un aigle lui rongeait le foie. Héraclès mit fin au supplice en tuant l'aigle). THÉMIS ET ZEUS Déesse de la Justice, Thémis est la fille d’Ouranos et de Gaïa. De son union avec Zeus, sont nés les "Saisons" ou "Heures", Eiréné (ou Irène) (la Paix), Eunomia (la discipline), Diké (la Justice) et les Moires (les Destinées) : trois sœurs (Clotho, « la Fileuse », Lachésis, « la Réparatrice » qui enroule le fil et Atropos, « l’implacable » qui coupe le fil) qui pour chaque mortel, accordent une mesure de

la liberté, et l’eunomia fait disparaitre cette liberté. Benjamin Constant père du libéralisme dira « la liberté des anciens est une liberté publique celle de participer au gouvernement de la cité alors que la liberté moderne est privée ». *L eunomia (les bonne lois) le poète Solon comme le tyran Périandre comme Thalès sont mis au rang des sept sages étant père de la démocratie Athénienne. L’égalité est un fondement de la cité. Solon ne redistribue pas les terre, la magistrature est aux

l'ecclesia au temps homerique va être reduit à néant par la prise de pouvoir des eupatrydes. Et cet accaparrement du pouvoir polititique par l'oligarchie devient insupportable quands ils deviennent un moyen de dommination économique. Leçon 2 : Eunomia : L'âge des législateurs à Sparte & à Athènes Le VIII e siècle fut marqué par la formation des cités en Grèce & par un déclin progressif de la royauté qui a était suplenté par une oligarchie compoosé des eupatrides. Dans le même temps,on assiste

participer aux affaires publiques. La réforme s’étend à d’autres cités. Dans la Grèce péninsulaire, les principaux réformateurs furent à Sparte Lycurgue, qui appartient peut-être plus à la légende qu’à l’histoire, mais aurait institué l’égalité absolue eunomia (de fortune, de droit et politique) entre les citoyens, à Corinthe, Périandre (627-585 ou 590-550), à Athènes, Dracon (vers 621) et Solon (594-593). Clisthène fait parti de la deuxième génération de ces réformateurs. Après la chute des Pisistratides

Lacédémoniens) : le régime spartiate est attribué au fondateur mythique Lycurgue. Il se définit comme un régime de semblable ou d’égaux (ce sont des égaux). D’autre part ils revendiquent un état de bonnes lois. D’une part les égaux d’autre part « eunomia » cad un état de bonnes lois. Un régime d’égaux mais à côté de ces égaux il y a aussi 2 rois qui dirigent la cité et d’autres magistrats et il y a une sorte d’idéalisation du modèle spartiate qui en fait une égalité parfaite. L’égalité est assurée

Thémélia qui signifie le fond, la base, le socle. Themesta veut dire conforme à l'ordre, convenable. Thémis par son mari divin représente une justice divine. Elle représente le droit des dieux. Pour le transmettre aux homme elle engendre 3 filles, Eunomia (la discipline) Dikê (la justice) et Eréné ( la paix). Le droit engendre la discipline, la justice et la paix. 2) Dikê ou la justice. Mot = jugement, Dikê c'est l'exercice du jugement droit, c'est la justice. Le droit Thémis a besoin de Dikê

sociale entre l'élite et la masse rurale , dc une période d'inégalité et de frustration qui vont conduire a des chgt pol. Il y a des lutte sociale et pol autour de l'égalité. Du côté de l'aristocratie on défent une égalité proportionnelle, en grec eunomia , valorise l'idée de juste mesure c'est-à-dire que ce qui est juste est ce qui proportionné, le juste miliey par ex est valorisé. Cette esprit de juste mesure exige de mettre en place un ordre équilibré . C'est ce qu'on pourrait appellé un système