L'Expression des émotions chez l'homme et les animaux

langage est-elle d’exprimer la pensée de l’homme et ainsi de représenter la réalité que ce dernier pense ? De plus, en quoi le langage donne-t-il du pouvoir à l’homme et lui permet ainsi de convaincre les autres ? Enfin, quelles sont les limites du pouvoir du langage ? Dans un premier temps, nous allons donc nous demander dans quelle mesure le pouvoir, ici défini comme une capacité ou possibilité d’agir sur quelque chose, du langage est d’exprimer la pensée de l’homme et ainsi de représenter la réalité

dans leur cœur. Beaucoup d’écrivains se sont alors interrogé sur la condition humaine et ont montré leur engagement sur ce bouillon d’idéologie telle que Malraux, Eluard, Aragon, Saint-Exupéry. Chez d’autres, le sentiment que l’homme est une bête qui erre sempiternellement dans l’absurdité s’est développée, chez Sartre, Camus et notamment Céline. Dans Voyage au bout de la nuit, récit désenchanté des tribulations de Ferdinand Bardamu dans les débuts d’un vingtième siècle obscure et asphyxiant, le héros

règles , Parvenir à un but Exemple : Art de la cuisine , art de la boxe , art de séduire Les arts : * La littérature , la musique , arts visuelles = Activité esthétique , tout ce qui est en rapport avec la beauté Jugement esthétique : Une émotion ressenti « comme c’est beau » B) L’esprit humain ne se contente pas d’imiter la nature * Le point de vue traditionnel Depuis l’antiquité les beautés naturelles sont le modèle de l’art Aristote ( 384 – 332 avant Jésus-Christ ) :

extase, communion avec la nature.. Ce registre est présent dans ce poème, car certaines émotions comme la nostagie sont évoqués ainsi que le bonheur Oui Mots-clés Paradoxe Passions Souffrance Destin Notions | Problématique : Comment Baudelaire essaie-t-il d'expliquer le paradoxe de l'existence humaine ? Axes du plan : I L'évocation des aspects sordides de la lâcheté humaine a) L'expression de la souffrance et de la mort b) La représentation négative du corps et de l'esprit

comportement ferme avec un rapport aimable et chaleureux avec les soldats ; et inversement les officiers médiocre sont autoritaires, tyranniques et réprobateurs. 2. Intelligence émotionnel C’est la capacité à reconnaitre et réguler ses propres émotions et ceux des autres. II. Bases biologique de l’empathie Phylogenèse : histoire de l’évolution des espèces. Ontogenèse : histoire de l’évolution des êtres vivants. 1. Bases phylogénétiques MASSERMAN 1964 DARWIN : relations sociales basés

La conscience comme présence. La définition de la conscience semble s'imposer d'elle-même : en effet, la conscience semble être ce qui est présent à moi-même, ce qui coexiste à moi-même, ce qui m'accompagne et qui réfléchit mes expériences, mes émotions, mes états affectifs. La conscience se saisit dans une expérience du sujet : elle renvoie à un état vécu, à quelque chose de senti, à une intériorité. Il semble même qu’elle ne puisse se saisir que dans cette expérience du sujet : l’expérience de

phéromones ne sont pas captées par la muqueuse olfactive mais par un second système de l'odorat, l'organe voméronasal. On a longtemps pensé que cet organe, très actif chez les animaux, ne fonctionnait pas chez l'homme. Plusieurs études ont prouvé le contraire. L'androsténol, un des composés de la sueur « fraîche » de l'homme et la copuline que l'on retrouve dans les sécrétions vaginales de la femme sont les principales phéromones sexuelles. L'odeur d'une personne Si elle nous est agréable

un sentiment pour une personnalité (pour le corps et l’esprit) Ex : les qualités (psychologiques / morales / intellectuelles) 2 cas limites : - La Pure Antiquité - L’Amour Platonique Héloïse et Abélard (12ème siècle). L’homme consacrait sa vie à al religion, ils n’eurent jamais de rapports charnels. Ils ont vécu séparés de corps, se voyant très peu. Il ne reste que des traces de leurs lettres amoureuses. Amour exclusif. 3) Enfin l’amour au sens philosophique : c’est

le cerveau. Le lecteur peur se demander pourquoi cette carte est restreinte à l’hémisphère droit au lieu d’être distribuée sur les deux hémisphères ; le corps n’est-il pas constitué de deux moitiés symétriques ? La réponse est que chez l’homme, de même que chez les animaux, les fonctions semblent être distribuées de façon asymétriques sur les hémisphères cérébraux, la raison étant probablement qu’il vaut mieux qu’il n’y ait qu’un centre de décision final lorsqu’il faut choisir une pensée ou une action

insérés. C'est enfin renouer avec la philosophie du cogito (« je pense donc je suis ») de DESCARTES, revenir à la philosophie réflexive française qui fait de ce retour interrogatif du sujet sur lui-même l'acte inaugural de la philosophie. Par là, l'homme prend conscience de lui-même. La construction d'un sujet autonome se fait cependant de manière progressive, à partir de la présence d'autrui, qui est toujours première dans mon existence. Je rencontre toujours l'autre avant de savoir qui je suis.