L'Expression des émotions chez l'homme et les animaux

donc de vie. Il y a là un paradoxe manifeste : faut-il désirer le désir ou au contraire le contrôler, voire le fuir ? Propre d’un homme conscient de ses manques et s’efforçant de les combler, faut-il lui laisser libre-cours, ou le brider ? I – L’homme peut-il échapper au désir ? A – La distinction désir/besoin Nous avons coutume d’assimiler le désir au besoin, surtout lorsque le désir que nous éprouvons s’avère intense (j’ai besoin d’une console, d’une wii…). Mais ce faisant, il semble que

sensibilité et la subjectivité possibles à travers l’expression artistique et littéraire. Les romantiques allemands évitent le détournement des sentiments ressentis suite aux terreurs de la guerre et du désir de révolte qui découle de ses résultantes. En effet, l’homme, l’héros du romantisme allemand, ne se cache donc plus derrière la raison qui l’habite, mais dévoile plutôt le spectre de ses émotions qui le traversent. Il y a donc davantage un désir chez les romantiques allemands d’effectuer une découverte

Synthèse des concepts rencontrés dans les textes ou comment se réapproprier ces concepts en reformulant sous forme de questions les problématiques qui en découlent. Les concepts Les questions Les textes Nature ● Culture ● Se cultiver Comment l’homme passe-t-il de la nature à la culture ? Lévi-Strauss 2 p. 15, Freud 4 p. 17. Arendt 6 p. 21. Lacan 11 p. 24. Barbarie ● Est-il juste de qualifier certaines civilisations de barbares ? Kant 10 p. 24. Lévi-Strauss 15 p. 29. Norme Règle Pourquoi

PROGRAMME 13 En Première 13 En Terminale 132 Le Guide du Grand Oral Les ressources numériques pour LLCER : l’exemple de l’anglais DES EXEMPLES DE QUESTIONS EN ANGLAIS Question 1. « Dans Animal

classicisme. Poète et auteur de nombreux contes, pièces de théâtre et livrets d’opéra, il est surtout connu par Les Fables. Écrites entre 1668 et 1678, ce recueil de 243 fables est considéré comme son chef-d’œuvre. Ces récits courts mettent en scène des animaux ou des êtres humains afin de critiquer la société de l’époque de Louis XIV. La fable 4 du tome XI, « Le songe d’un habitant du Mogol » est différente du reste de ses fables, car elle met en scène la parole du poète. Ce texte se construit alors autour

convictions et mes valeurs ne peuvent pas m’être étrangères. Il en va de même pour mes goûts, mes désirs ou mes passions. À moins d'être fou ou amnésique, rien ne saurait échapper à la connaissance que j'ai de moi-même. La conscience, faculté qui distingue l'homme de l'animal joue ici un rôle fondamental. Du latin cum scientia, le terme signifie « accompagné de savoir ». Être conscient, c'est en effet agir, sentir ou penser et savoir qu'on agit, qu’on sent et qu’on pense. La conscience de soi implique donc

temps, le texte exprime de manière évidente une déclaration amoureuse du poète pour sa nouvelle épouse Dominique. Cette révélation enflammée est discernable en différents points et est exprimé à travers plusieurs idées telles que le lyrisme et l'expression des sentiments, les sens exaltés menant à une ivresse de la passion ou encore la notion de liberté et d'amour infini. La stylistique employée dans le jeu d'écriture tout d'abord témoigne dors et déjà d'une déclaration d'amour explicite avec tout

éventuellement de signe graphique (écriture) qui constitue une langue. Il se distingue des moyens de communication dont dispose certains animaux par sa constitution (signe, signifiant et signifié) et par le phénomène de la double articulation ; c'est-à-dire d’abord conçu avant d’être parlé. Cette faculté d’inventer intentionnellement des symboles, des signes est l’apanage de l’homme. Confortons cette position avec la pensée de René Descartes dans Le Discours de la Méthode quand il nous défend « de penser comme

ressent les choses. Les épreuves projectives chez l’enfant impliquent une double sollicitation du sujet à la fois perceptive et projective : ces tests font appel d’une part à des mécanismes d’adaptation à la réalité objective, qui permettent de mettre en évidence l’utilisation adéquate des perceptions dans une intégration socialisante des donnés du monde réel ; d’autre part, y sont interpellés des mécanismes projectifs qui ouvrent le champ de l’expression subjective à l’individualité, voire à l’originalité

signifie donc que vivre en désirant sans cesse quelque chose nous permet d’avoir un but à notre vie, et dès lors que nous sommes en possession de la chose désirée, nous n’avons plus aucun plaisir à l’avoir. Nous pouvons donc nous demander si l’homme aimerait vivre sans passion ? D’abord, vivre sans passion semble difficile, puisque chaque être vivant est différent et aime donc des choses différentes. Elles peuvent être la musique, l’amour, le théâtre,… Bien que le plaisir qu’elles procurent