L Historien Peut Il être Objectif

/ considération politique : volonté d'associer les socialistes au geste de Jacques Chirac Sujet /1 Politique de l'Etat à l'égard de la mémoire de la Shoah et des crimes de Vichy : encourager les commémorations mais aussi faciliter le travail des historiens. Nature / 0,5 Annonce officielle dans le cadre d'une commémoration publique en présence des enfants de déportés mais aussi de journalistes. Large diffusion 2) Etude précise du texte /16 Citation explication interprétation points 1 « 16-17 juillet

des dernières décennies. En revanche, l’histoire de l’immigration s’est développée sur un terrain vierge, pour combler un manque, pour exhumer une dimension refoulée de notre histoire nationale. Avant que naisse ce nouveau champ de recherche, les historiens s’étaient surtout intéressés à la question de l’émigration (voir les travaux sur les huguenots fuyant les persécutions sous l’Ancien Régime, ou sur les nobles ayant émigré dans les pays voisins pour échapper à la Terreur pendant la Révolution française)

l'historien par rapport aux mémoires de ce conflit peut-il être réel et total ? I/ L'Historien peut participer à l'établissement des mémoires 1- L'historien semble pouvoir être un témoin plus objectif par sa démarche 2- La participation des historiens aux grands procès des collaborateurs et responsables nazis 3- En ayant lui-même un vécu, l'historien peut apporter un regard particulier sur le passé II/ L'Historien peut surtout se servir des mémoires comme objet

L'Histoire ne nous apprend que les historiens Ricoeur écrivait dans son oeuvre Histoire et Vérité que l'Histoire doit faire « accéder le passé des sociétés humaines à cette dignité de l’objectivité ». On attend de l'histoire qu'elle soit objective en procédant à une méthode rigoureuse. Cependant ce même auteur souligne que l'Histoire implique nécessairement une certaine subjectivité de la part de l'historien, qui est obligatoire pour pouvoir comprendre correctement et interpréter justement les

guerre d'Algérie (Amérique du Nord 2015, Centres étrangers Afrique 2015, Polynésie 2015) Analyse de documents - un texte d'un historien (Henry Rousso, Robert Paxton) (Pondichéry 2015) - un discours d'une femme ou d'un homme politique français (discours de Jacques Chirac du 16 juillet 1995 au Vel d'Hiv) PLAN DU COURS Introduction Problématique : Quels ont joué les historiens dans l'évolution des mémoires de la Seconde Guerre mondiale en France depuis 1945 ? I- « Tous résistants ? » : le mythe du résistancialisme

mémoire est un souvenir affectif qui peut évoluer et n'a pas d'autre support que la parole et le souvenir, elle peut donc être partielle ou erronée. Comment ne pas l’oublier ? Lieux, dates et monuments de commémoration -> traces dans les valeurs contemporaines et le patrimoine national. La mémoire officielle est véhiculée par l’Etat et est utilisée par les professeurs par exemple (qui doivent rester neutres) mais aussi par les historiens. -> Comment l’historien peut-il mettre en histoire les mémoires

important en France (ex : monuments). Elle permet de ne pas répéter les mêmes erreurs et guide dont des décisions culturelles ou politiques. Pourquoi les historiens travaillent-ils sur les mémoires ? La mémoire d’un évènement se modifie avec le temps ce qui lui permet d’être un objet d’intérêt pour les historiens. Quelles visions les historiens portent-ils sur la Seconde Guerre mondiale ? Enjeux et définition 1) L’histoire, ce n’est pas la mémoire Qu’est-ce-que l’histoire ? Hérodote

d'historien, c'est le décrire et expliquer son fonctionnement à un public qui n'en a pas une connaissance directe. Par l'intermédiaire d'un compte rendu de lecture, on peut « se faire une idée » de l'intérêt d'un texte - c'est-à-dire en comprendre l'essentiel, forme et fond - sans avoir à le lire soi-même en entier. Compte tenu des objectifs limités de ce cours, le compte rendu est défini ici de la façon la plus simple possible et est réduit à trois éléments : une analyse, une synthèse et un bilan rapide

Sujet : « En vous appuyant sur la Guerre d’Algérie, vous vous demanderez si le travail de l’historien doit être indépendant des mémoires ? » La Guerre d’Algérie se décrit comme une révolution Algérienne. Celle-ci opposa donc l’Algérie à la France, de 1954 à 1962. Elle se termine par le cessez-le-feu de Mars 1962 avec les accords d’Evian, et se concrétise par la reconnaissance officielle de l’indépendance de l’Algérie, le 5 juillet 1962. Ce qui n’a pas mit fin aux massacres de cette Guerre

passé faisant l'objet d'un travail critique et objectif. La mémoire est plus subjective et relève d'un rapport affectif aux événements passés. Les mémoires sont donc multiples , évoluent dans le temps et peuvent entrer en complémentarité ou en concurrence avec le travail de l'historien. Ces deux termes vont s'entrecroiser au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale ( 1939 -1945) et vont faire objets de différents enjeux. Or le travail le d'historien peut-il et doit-il se protéger des dimensions affectives