L Homme Est Il Esclave De Ses Désirs

- il faut être un homme Les femmes et les esclaves en Grèce n’ont pas de capacité juridique, de place dans la cité, ils ne peuvent être citoyens mais peuvent en revanche transmettre la citoyenneté (pour la femme). On peut aussi perdre la citoyenneté, il y a alors 2 peines, soit la suspension provisoire des droits civiques, soit l’atimie qui est la peine la plus lourde et qui consiste au renvoi à l’exil de l’individu + sa famille + tous leurs biens. o Les esclaves sont la face sombre de

« nul n'est méchant volontairement », et que pourtant la méchanceté est la chose au monde la mieux partagée, c'est que le méchant a une conception illusoire du bien. Pour lui le bien, c'est son bien, « narcissique » n langage freudien. Ce sont les désirs vains, inutiles, des faux biens, qui engendrent le mal que l'homme fait aux autres et à lui-même. Gloire, luxe, richesse, pour lesquels se battent et s'inquiètent les hommes sont des faux biens parce qu'ils résultent d'une représentation fausse du

LA THESE : qu’est-ce qui rend nécessaire et juste la sortie de l’état de nature, le contrat social ? DEVELOPPEMENT « L’homme est né libre, et partout il est dans les fers. » La liberté : du latin « liber » qui signifie : celui qui n’est pas esclave. Effectivement, l'homme naît libre de tout préjugé, de tout vice, de toute avarice ect. Mais cette liberté naturelle n’est pas liberté absolue. En effet la liberté n’est pas naturel chez l’homme, ce sont ses forces qui sont de dimension naturel,

t libre l'homme qui ne rencontre pas d'obstacles et qui a tout à sa disposition comme il veut. L'homme qui peut être arrêté, contraint, entravé ou jeté malgré lui dans quelque entreprise est un esclave. Mais quel est celui qui ne rencontre pas d'obstacles ? C'est celui qui ne désire rien qui lui soit étranger. Et qu'est-ce qui nous est étranger ? C'est ce qu'il ne dépend pas de nous d'avoir ou de ne pas avoir, ni d'avoir avec telle qualité dans telles conditions. Ainsi le corps nous est-il étranger

multiplication des désirs, mais peu importe qu'on les satisfasse pourvu que chemin pour y parvenir soit intense, pourvu que vie soit réellement vécue, bonheur = vie dont l'intensité ne diminue jamais. Dialogue entre Socrate (bonheur a.) et Calliclès (bonheur d.) dans Gorgias de Paton. Chacun défend vision bonheur : Socrate = tonneau plein qui équivaut à satisfaction de ts les désirs, s'il est vide c'est le manque et Calliclès = tonneau percé, bonheur de toujours remplir tonneau cultiver désirs. S'adressent

l’inconscient comme son refoulement, nécessité par une vie en société, comme un refus de l’inconscient autrement dit des pulsions, voulu par l’existence d’une société. En effet, l’individu libre, soumis à aucune volonté autre que la sienne, est avant tout un Homme responsable, d’où le besoin pour la société de lui donner un maîtrise de ses pulsions, qui compromettrait son équilibre en étant assouvies. Il nous faut cette fois considérer comme Freud l’inconscient rattaché à la conscience , et reprendre le fonctionnement

modernité, révolution scientifique (l’héliocentrisme). Homme très cartésien, mathématicien, philosophe. Doute méthodique, garder le vrai : le cogito. Écrit le Discours de la méthode : le bon sens est la chose du monde la mieux partagée. Dualisme chez l’homme, corps (responsable des passions) et âme qui maîtrise les passions. NIETSZCHE : renverser les anciennes tables de valeurs établies, se dépasser dans l’affirmation de ses instincts, désirs, passions. Le corps définit l’homme. Je suis corps tout

l'instance du commandement : qui écoute celui qui prétend n'écouter que lui-même ? « Je fais ce que je veux ! » : fort bien ; mais est-ce moi, qui veux ce que je veux ? Suis-je libre, autrement dit, de décider de mes envies, de mes appétits, de mes désirs ? Est-ce moi qui les choisis, ou ne faut-il pas bien plutôt dire qu'ils s'imposent à moi au point parfois de me mener là où je ne voudrais pas aller, et même là où je n'irais pas si ma volonté était moins affaiblie, si j'étais davantage maître de

signifierait donc que nous en avons la possession, qu'il nous appartient. Mais comment en être sûr ? Cela voudrait dire que nous disposons aussi bien de notre corps que de notre esprit... Mais disposons-nous seulement intégralement de notre corps ? Chaque homme recherche d'une manière ou d'une autre le bonheur. Chacun désire que l'instant heureux puisse se poursuivre et tout bonheur cherche à se prolonger lui-même. Mais si le bonheur est l'objet d'une recherche, c'est qu'il ne va pas de soi. Selon Alain,

et la délibération. Liberté, contrainte, volonté: On peut définir la liberté comme l’absence de contrainte dans l’action. En ce sens, tout être pouvant agir de lui-même peut agir librement. Néanmoins, l’animal ne fait que suivre ses tendances, ses désirs, tandis que l’homme, par la volonté, est capable de les réfréner et d’agir en fonction d’autres motifs. En ce sens, seule l’action humaine peut être dite libre. On peut néanmoins contester cette différence, c’est-à-dire refuser l’idée d’une liberté