L Homme Rationnel Selon Descartes

aux anciens qui définissaient l’humain par sa place et sa fonction au sein d’une société. Selon Piotte, la modernité se caractérise par l’égalité des individus, la raison et la liberté des individus. Ces trois clés de la modernité se retrouvent également dans la théorie moderne de l’être humain que fait Descartes. Tout d’abord, pour les modernes il existe une égalité fondamentale entre un homme et une femme ou encore entre un croyant et un pratiquant. En effet, l’être humain est doté

Descartes 1A) Pour Descartes, l'être humain est rationnel et pense, mais, ce ne n'est pas tous les Humains qui en font bon usage. IL dit aussi que l'humain à la capacité de douter ce qui l'apporte a pensé et a existé « Je pense donc je suis ». La capacité intellectuelle de l'humain l'apporte à avoir des idées et à pouvoir douter de tout, ce qui illustre que l'humain existe avec une conscience de soie. Si l'être fait bon usage de la raison méthodique. Il arrivera toujours à la bonne réponde d'apprêt

principe intellectuel· pratique = ce qui s’applique concrètement dans le réeldéfinition de la raison?faculté de penser selon des principes logiques et cohérentsdéfinition de l’imagination?faculté de pensée par images sans suivre de règles logiquesdéfinition philosophique des passions?désirs, impulsions, émotions que l’on ne maîtrise pasDifférence entre rationnel et raisonnable?· rationnel : ce qui relève d’un exercice théorique de notre raison· raisonnable : ce qui relève d’un exercice pratique de notre

Camenae n° 8 - décembre 2010 Christophe BOURIAU DIGNITÉ HUMAINE ET IMAGINATION SELON MONTAIGNE La présente étude ne traitera pas de l’imagination pour elle-même, mais en la rattachant au thème de l’humanisme, c’est-à-dire à la question du critère de la dignité humaine. Je souhaite manifester que l’imagination reçoit une fonction spécifique et particulièrement positive dans un certain courant de l’humanisme, celui développé exemplairement par Montaigne. Je me propose : 1) de présenter ce

c’est à dire de distinguer ce qui est vrai d’avec ce qui est faux, ce qui est bien d’avec ce qui est mal, de qui est beau d’avec ce qui laid. Cette seconde acceptation prend donc une valeur normative que n’a pas la première. C’est en ce sens que Descartes parle de la raison synonyme de « bon sens » ; c’est toujours en ce sens que nous disons qu’il faut « faire ce que nous dicte la Raison », que quelque chose n’est pas « raisonnable », que nous « avons raison », etc. 3. Enfin, la raison peut désigner

certaine rigueur, une position rationnelle, un souci de clarté, un refus des croyances et des préjugés. Mais, à l’inverse, l’esprit cartésien est critiqué pour son analyse uniquement rationnelle, manquant de fantaisie et de créativité. Quelle image est la bonne ? Qu’est-ce qu’on s’ennuie à l’école ! Au collège de la Flèche, Descartes était un élève brillant, mais il s’ennuyait en cours. La pensée d’Aristote, la physique antique y faisait alors autorité. Descartes ne voit pas grand intérêt dans

et dernière partie, nous prouverons que ni moi, ni autrui ne peut prétendre me connaître, savoir ce que je suis. (Bonne annonce) Le sens commun aurait tendance à affirmer que je ne suis pas n'importe qui (A chacun sa manière d'être banal. "Un homme fait de tous les hommes et qui les vaut tous et que vaut n'importe qui", Sartre à la fin de Les Mots). Je suis le seul à connaître ma singularité, mes sens et mes secrets. Mon caractère, comportement puisque je le contrôle, je le connais plus que quiconque

QUELLE EST LA VALEUR DU « PENSER PAR SOI-MEME » ? « L'homme est un animal doué de raison », selon Aristote. Cela signifie en ce sens que l'espèce humaine est à même de pouvoir juger, appréhender, élaborer des langages et surtout, a la particularité que chaque représentant de l'espèce a conscience de lui-même et possède la capacité de penser par lui-même. Mais qu'implique exactement le fait de « penser par soi-même » ? Il pourrait en effet paraître curieux de se dire que l'on pense par quelqu'un

témoignage, et les connaissances rationnelles. Selon Kant, face aux deux premières matières qui ne dépendent pas de moi, je me trouve dans l’obligation de faire confiance à autrui, de me soumettre à lui et accepter de prendre pour fondement de mes jugements ses connaissances. A l’inverse, les connaissances rationnelles, qui par définition sont des vérités de raison, ne peuvent être le fondement de notre jugement sans être admises pour préjugés. A titre d’exemple, selon Kant, le théorème de Pythagore

un nouveau départ avec le Cogito ergo sum de Descartes. J'ai dû aussi énoncer moi-même cette leçon initiale. Dans l'ordre des pensées, c'est une devise si claire! Mais n'en dérangerait-on pas le dogmatisme si l'on demandait au rêveur s'il est bien sûr d'être l'être qui rêve son rêve ? Une telle question ne troublait guère un Descartes. Pour lui, penser, vouloir, aimer, rêver, c'est toujours une activité de son esprit. Il était sûr, l'heureux homme, que c'était lui, bien lui, lui seul qui avait