L Illusion Naturaliste

: décrit « l’histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second empire » et souligne le déterminisme de la physiologie, des milieux et des circonstances. D’où l’on retrouve la description scientifique de la société typique du mouvement naturaliste. De même que pour Maupassant, en évitant l’extraordinaire et le fabuleux, ses romans nous forcent à penser pour comprendre. Le roman réaliste provoque une réflexion sur la société en montrant les affrontements des passions et intérêts et l’évolution

marché en ouvrant les premières galeries indépendantes, et en organisant des expositions d'artistes impressionnistes. A la même période en 1870 apparait un autre courant, le naturalisme, intermédiaire entre le réalisme et l'académisme. Les peintres naturalistes dont Jules Bastien Lepage est considéré comme le chef de file, privilégient les thèmes proches de la nature , souvent d'inspiration paysanne, tout en pratiquant un style découlant de l'enseignement académique. Outre Lepage on retient aussi les

Hedda Gabler (1890) fait partie des dernières œuvres d’Henrik Ibsen, dramaturge norvégien à la fois symboliste et naturaliste. Elle s’inscrit dans une tendance de l’auteur de plus en plus pessimiste et symboliste. En effet, il met en scène une femme, Hedda, mariée à un universitaire ordinaire, Jörgen Tesman. Hedda rencontre Théa Elvsted, une ancienne camarade de pension mal mariée elle-aussi, qui vient de quitter son mari pour partir à la rechercher d’Ejlert Lövborg, un ancien proche d’Hedda et précepteur

par la société, un homme qui a 30 ans et donc Balzac dit qu’à partir de 30 ans, on commence à réfléchir dans le sens. Les 30 ans s’est le début de l’égoïsme. On oublie les rêves, à partir de 30 ans c’est la déception, la réalité, fin des illusions. « Les Illusions Perdues » c’est un bon livre de Balzac. Plein moment où la bourgeoisie est très forte. On sorte du Romantisme où Balzac interprète que le mal de siècle → erreur dans laque la jeunesse s’est trompé. Il exprime une idée bourgeoisie

d’antihéros (apparue bien auparavant) permet d'approcher la labilité du personnage de roman. Question à se poser : Comment se traduit la lutte du personnage entre un idéal (toujours romantique), des ambitions, des realia sociales. C : Le héros naturaliste : A rédiger vous-même avec vos cours de l'année dernière. IV : Des notions pour appréhender le héros moderne et contemporain. A : La notion d’antihéros : L'antihéros existe depuis toujours. Mais la notion est moderne, en tant qu'outil de

affirme sa force avec des architectes comme Bernin ou Borromini et des peintres comme Caravage. Les uns et les autres font éclater les structures et créent une instabilité permanente dans leur art ; apparences mouvantes et trompe-l'oeil créent une illusion dans laquelle le spectateur a désormais une place essentielle. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si la plupart de ces créateurs interviennent dans des registres différents. On ne peut plus séparer l'architecture, la sculpture et la peinture, mais

vrai théâtre n’est-il pas celui du monde où l’homme est contraint de jouer un rôle, et où le jeu et les faux semblants sont les règles qui mènent à la réussite sociale? L’inspiration Balzac a été partisan des idées de Geoffroy-Saint-Hilaire, naturaliste qui trouve un point commun entre animaux et hommes. Ses recherches sur l’anatomie l’avait amené à penser qu’il existe un plan unique d’organisation des êtres vivants. Cette idée avait séduit Balzac. La Comédie Humaine essaie donc de classifier,

ainsi au goût et à la tradition classique. | Les écrivains réalistes veulent peindre la réalité de leur temps. Ilsreprésentent l’ensemble des milieux sociaux, même les plusdéfavorisés. | S’appuyant sur les découvertes dela science, les écrivains naturalistes transposent dans le roman les loisde l’hérédité et du milieu surl’individu. Ils s’inscrivent dans lacontinuité des réalistes. | L’écrivain symboliste se donne pourmission de suggérer l’existence d’ununivers supérieur et invisible dont lemonde

Le terme « à l’eau de rose » est clairement péjoratif et les détracteurs du genre l’emploient pour souligner l’inintérêt de ces romans, justement à cause de leur manque de relief et de potentiel subversif. Quant aux mouvements réalistes et naturalistes, incarnés par des écrivains tels que Guy de Maupassant ou Emile Zola, ils ont pour objectif de décrire la réalité de la vie comme « un miroir que l’on promène le long d’une route » (Stendhal). Les héros de ces romans sont décrits tels qu’ils sont

contraire sur l'observation minutieuse de la réalité et sur la volonté de la reproduire fidèlement sans chercher à l'épurer ou à l'idéaliser. L'œuvre réaliste se veut miroir fidèle du réel, elle refuse l'imaginaire ou le romanesque. Le mouvement naturaliste, lui, ajoute à ses principes, une prétention scientifique. Il étudie les espèces humaines, l'interaction entre l'individu et son milieu, la part de l'hérédité dans le comportement. Une vie rend compte au profond déclin d'une classe social : l'aristocratie