L Imagination S Oppose T Elle à La Raison

PHILOSOPHIE I- La démonstration La démonstration : Raisonnement logique, déductif, ordonné dont le résultat est nécessaire. Nécessaire : Qui ne peut pas être ou être autrement que ce qu’il est. Universelle : Désigne ce qui s’applique à tout les cas sans aucune exception possible. Empirique : Acquis pour l’expérience. Expérience : Ce que l’on acquiert par le temps et l’usage. Distinction entre démonstration et argumentation : L’argumentation s’exerce dans les domaines où sont exclues

Descartes, Lettre à Elisabeth, 6 octobre 1645 Je me suis quelquefois proposé un doute : savoir s’il est mieux d’être content et gai, en imaginant les biens qu’on possède être plus grands et plus estimables qu’ils ne sont, et ignorant ou ne s’arrêtant pas à considérer ceux qui manquent, que d’avoir plus de considération et de savoir, pour connaître la juste valeur des uns et des autres, et qu’on devienne plus triste. Si je pensais que le souverain bien fût la joie, je ne douterais point qu’on

avons perdu le goût des plaisirs, notre imagination nous offre des idées agréables, qui nous tiennent lieu de choses sensibles. L’esprit veut remplacer des plaisirs perdus ; et il va chercher ses avantages en l’autre monde, quand les voluptés qui touchoient le corps nous sont échappées. Le dégoût du libertinage nous fait quelquefois naître l’envie de devenir dévots ; mais sommes-nous établis dans un état plus religieux et plus saint, nous passons la vie à vouloir comprendre ce qui ne sauroit être

pensée peut-être raisonné ou non. C'est a dire qu'elle émane d'une chose concrète ou d'une chose illusoire. C'est l’individu qui prend la décision de nourrie son esprit comme il le désire. A partir de la il peut vivre dans un monde ou la connaissance est omniprésente ou dans un monde ou l'imagination serait vital. Mais les deux notions ne sont-elles pas complémentaire ? La connaissance comme atout ? L'imagination est-elle toujours bonne pour l'homme ? Imagination et Connaissance sont

mécaniques, par des bruits. Il répond à un besoin à un instinct il a un rapport immédiat au monde, leur langage adhère immédiatement au monde qui l’entoure par exemple le chien qui aboie signifie la peur. Le langage animal est une expression directe d’une sensation ou d’un objet dans le monde. L’homme a t-il un langage similaire à l’animal ? L’homme a un langage libre, alors que l’animal ne l’est pas il est prisonnier de son instinct. Est-ce-que l’homme exprime à travers son langage son rapport directe

1 Les principales notions liées à l argumentation / les formes de l argumentation LA LOGIQUE D UNE ARGUMENTATION 1) Distinction entre CONVAINCRE, PERSUADER, DÉLIBÉRER Argumenter ce n'est pas seulement soutenir ou contester une thèse, c'est aussi vouloir agir sur le destinataire pour le convaincre ou le persuader. CONVAINCRE : On utilise ce verbe lorsque l émetteur (le locuteur, celui qui s exprime) fait appel à la raison du destinataire auquel il s'adresse, c-a-d à ses capacités d'analyse et de raisonnement

-> approfondir 2) antonyme = sens opposé (réfléchir sur la comparaison (sédentarisation/immobilisation) = comparaison entre ceux qui voyagent et ceux qui restent => effets ? conséquences ? 3) synonyme du mot proposé et du contraire… 4) sens concret -> le voyage dans l’espace (terres, pays, espace univers) géographique=> découvertes – conquête de l’espace. 5) sens abstrait / figuré -> le voyage intérieur => le voyage intérieur (imagination / rêve/ intelligence -> Comment ?

Hume, De la norme du goût, Essais esthétiques Hume cherche à savoir si l’on peut choisir de la légitimité d’une œuvre. But : l.1 à 3 : essayer de déterminer s’il y a des choix légitimes et d’autres qui sont condamnables. 2 évidences qui Hume oppose : · Egalité des goûts : on ne peut pas condamner un sentiment esthétique par rapport à un autre. · Distinction entre un certain type d’œuvre et d’autres ; on estime qu’il y en a certaines qui valent mieux que d’autres. Jugement sensible : égalité

française, Charles Dantzig déclare: «Un de mes étonnements aura été d'étonner des auteurs de théâtre par mon goût de lire le théâtre. Estiment-ils qu'une pièce ne vit vraiment que représentée ? Quelle étrange modestie; quels soupçons sur notre imagination ! Aurions-nous besoin de gestes pour comprendre le sens d'une réplique ?Lire du théâtre nous fait sortir de nous-mêmes et entrer dans les personnages et dans un théâtre : nous les imaginons sur scène. On ne connaitrait pas le théâtre, si on ne faisait

Khôlle de philosophie Introduction : Le texte que nous sommes amenés à étudier constitue un extrait du chapitre «De la matière», tiré de l’ouvrage intitulé «Système des Beaux-Arts» du philosophe Alain. Dans cet extrait, le philosophe se penche sur le domaine de l’art, sur les rapports qui lient l’artiste avec les œuvres d’art. Mais, plus précisément , il cherche à établir à la fois une définition de l’art et de l’artiste. Cependant, définir l’art semble représenter une lourde difficulté dans la mesure