L'Imitation de Jésus-Christ

philosophique et politique  : · Le Voyage en Orient : Lamartine entreprend un voyage aux Lieux Saints pour raffermir sa foi et enrichir son inspiration épique. Il visite la Grèce, le Liban et le Saint Sépulcre à Jérusalem (tombeau du Christ). La mort de sa fille lui fait perdre sa foi. Il relate sa nouvelle pensée religieuse dans « Le Voyage en Orient », qui se précisera dans ses œuvres suivantes.· Lamartine député : il devient l’un des plus grands orateurs politiques de son temps. Il

lorsqu’un artiste produit, il ignore toutes les règles qui lui permettent à la création. Seul le philosophe, sait les différentes-techniques pour toute création artistique. C’est la raison pour laquelle, le monde sensible est une imitation de l’imitation et celle- ci, est loin de la réalité intelligible. Dans cette mesure, l’artiste imite uniquement le monde sensible. Se fier à un aveugle c’est tomber dans l’erreur. C’est pourquoi, à l’endroit des peintes, les sculpteurs et les poètes il s’en méfie

religieuse est totale, immuable, échappe au temps ; sinon elle ne serait pas vérité. - La Chute et la concupiscence : Chute d’Adam a déterminé en lui-même et en sa postérité ce penchant au mal qui a nom la concupiscence. > la Rédemption de Jésus Christ mérite la grâce, qui rend le pouvoir à l’h de faire le bien. La nature présente de l’h reflète l’histoire de ses rapports avec Dieu. => Messie est désigné com porteur, non de la grâce, mais de la vérité éternelle. Conception pascalienne de

avec Le Cid en janvier 1637. Il est élu à l’Académie française en 1647. Corneille connaît son premier échec avec la tragédie Pertharite (1651) et s’éloigne de sa passion du théâtre. Il se consacre alors à la traduction en vers français de L’Imitation de Jésus-Christ. À l’instigation de Nicolas Fouquet (surintendant des finances), Corneille reprend la plume et connaît un dernier succès avec Œdipe en janvier 1659. Les pièces qui suivent sont globalement mal reçues et poussent Corneille à se retirer du

plaisir à causes amis qui meurent… alors que en tableau on pourra trouver ça beau => il ramène toujours son sujet à l’art). - Diderot affirme que même si un tableau a le prestige de l’imitation, le sujet est tout de même important car si le sujet en nature nous répugne, le tableau n’aura rien de plus que le prestige de l’imitation et perdra donc un avantage. - Réflexion sur la vertu et le problème de l’Ø de convergence entre les lois civiles, religieuses et naturelles => on n’en respecte aucune => on n’est

de la communion dans le Christ qui seul rend la personne véritablement libre. I.3 - LA DIMENSION THEOLOGIQUE DE LA MORALE (par Réal Tremblay, C.Ss.R.) 1- Une morale de relation avec Dieu et avec les hommes : - Les traits essentiels de l’appel à la suite du Christ et du service dans le Nouveau Testament : C’est d’abord une invitation à une communion de vie personnelle avec Jésus et une vocation de disciple ; se caractérisant par la participation à la voie tracée par Jésus dans sa mort / résurrection

pierres de Rome, il retrouve par exemple des lettres de Cicéron. Et aussi à l’aide de Boccase (1313-1375) qui est un écrivain italien. Mais nous pouvons considérer que le tout premier humaniste de ce monde est Protagoras, un sophiste du Ve siècle av Jésus Christ, pour lui « l’Homme est la mesure de toute chose. » Ce mouvement humaniste évolue de façon importante au XIVe siècle dans un contexte historique, social et culturel bien précis. Tout d’abord ont lieu les guerres de religion opposant les

philosophique et scientifique. Aux Pays-Bas, en Rhénanie, en Angleterre, s’élève aussi un souci de renouveau de la piété et du christianisme : l’admiration des penseurs de l’Antiquité ne va pas sans un retour à la pureté du message évangélique et à l’Imitation du Christ. Les évangélistes, puis les réformés se tourneront bientôt vers une critique plus radicale des habitudes religieuses. Voyageur infatigable, l’humaniste se promène dans les livres comme dans les pays ; qu’il reste dans sa bibliothèque ou qu’il

.................................................... 360 CHAPITRE XV: RÉSURRECTION .................................................................................................................. 364 I Corinthiens XV, 1-11: La résurrection de Jésus ............................................................................................... 364 I Corinthiens XV, 12-19: Sans résurrection, vaine est notre foi .......................................................................... 374 I Corinthiens

 Rodogune, Héraclius et Nicomède. Déçu par l'accueil rencontré par Pertharite (1652, pendant les troubles de la Fronde), au moment où le début de sa traduction de L'Imitation de Jésus-Christ connaissait un extraordinaire succès de librairie, il décida de renoncer à l'écriture théâtrale et acheva progressivement la traduction de L'Imitation. Plusieurs de ses confrères, constatant à leur tour que la Fronde avait occasionné un rejet de la tragédie historique et politique, renoncèrent de même à écrire