L Impact Des Ntic Sur Les Activités Bancaires

d’intégration du projet de fusion Attijariwafa bank. M. CHARKANI a joué un rôle de tout premier plan dans la réalisation de ce travail non seulement par ses précieux conseils, mais aussi dans notre introduction et notre socialisation dans le milieu bancaire qui nous a servi de terrain d’expérience. 3 LA VARIABLE HUMAINE DANS LA CONDUITE DU CHANGEMENT DANS LES OPERATIONS DE FUSION-ACQUISITION : CAS D’ATTIJARIWAFA BANK Nos sincères remerciements s’adressent également à M.

boursier marocain et la fragilité de certains établissements financiers dont la restructuration est en cours. De plus, les marchés financiers n’apportent pas suffisamment de soutien à l’investissement productif à risque et le fonctionnement du système bancaire n’est pas encore véritablement concurrentiel. En plus des risques d’érosion qui pèsent sur sa compétitivité salariale du fait du contexte de libéralisation générale des échanges dans le cadre de l’OMC (amorcée avec l’accord multifibres), le Maroc

mondiale) L’intégration économique croissante d’un monde divisé (de 1945 aux années 90) Village global ou semi-global ? (des années 90 à nos jours) La mondialisation favorise-t-elle le développement ? La mondialisation est-elle bénéfique à l’emploi ? Quel impact la mondialisation a-t-elle sur l’environnement ? La crise financière de 2008, une crise de la mondialisation ? 10 20 3. 36 54 76 98 122 142 165 4. 5. 6. 7. 8. Références Note sur les monnaies Sauf indication contraire, il est fait référence

phénomènes majeurs qui expliquent la crise : * Bipolarisation industrielle des économies développées : les pays dits développés (du Nord, OCDE) ont connu une croissance axée sur le développement d’une part des industries à forte VA, symboliquement les NTIC et d’autre part, sur des services à faible VA (services à la personne). La production industrielle aujourd’hui aux EU est la même qu’en 95, donc ya eu aucune augmentation. Maintenant, la production industrielle se fait au Sud. Et la Chine est la plus

......20 Chapitre II : la communication en milieu bancaire Introduction du chapitre...................................................................................21 Section I : Le marketing bancaire I.1 Généralités sur le marketing bancaire………………………………..22 I.2 le marketing bancaire : définition et démarche.................................23 I.3 Les spécificités du marketing bancaire………………………………25 Section II : le mix marketing bancaire A. politique du produit………………………………………………………27 B. politique

croissante d’un monde divisé (de 1945 aux années 90) 36 4. Village global ou semi-global ? (des années 90 à nos jours) 54 5. La mondialisation favorise-t-elle le développement ? 76 6. La mondialisation est-elle bénéfique à l’emploi ? 98 7. Quel impact la mondialisation a-t-elle sur l’environnement ? 122 8. La crise financière de 2008, une crise de la mondialisation ? 142 3. Références 165 Note sur les monnaies Sauf indication contraire, il est fait référence au dollar américain. Ce livre

donc plus compétitive.  L’objectif complémentaire est de répondre aux nouveaux besoins des différents services. La difficulté principale réside dans le fait que chaque département fonctionne avec un système d’information spécialement adapté à son activité. Le progiciel devra cependant collecter des informations venant de différentes sources, donc sous différents formats. Il lui faut totalement paramétrer toutes les applications, définir les variables essentielles, personnaliser ces mêmes variables

d’information logistique Environnement logistique Système de traitement des commandes Système de recherche et de renseignement Fonction de gestion logistique ● Stratégie du groupe et de ● Planning ● Mise en oeuvre l’entreprise ● Gestion Logistique ● Activités Logistique Système d’aide à la décision Système de rapports et de tableaux de bord ● Contrôle La notion de SICL - Les applications du SICL sont interfacées entre elles et avec les autres applications non logistiques dans le but de partager et

Pour un cadre RH, le champ des employeurs est donc large et recouvre l’ensemble de l’économie d’un pays : industrie, BTP, services, commerce… Cependant, selon la taille de l’entreprise, la culture de son dirigeant et, dans une moindre mesure, son activité, le contenu de la fonction ressources humaines est plus ou moins diversifié et son organisation diffère. Dans les grandes entreprises (de deux cents à deux mille salariés), il existe toujours une direction des ressources humaines (éventuellement

boursier marocain et la fragilité de certains établissements financiers dont la restructuration est en cours. De plus, les marchés financiers n’apportent pas suffisamment de soutien à l’investissement productif à risque et le fonctionnement du système bancaire n’est pas encore véritablement concurrentiel. En plus des risques d’érosion qui pèsent sur sa compétitivité salariale du fait du contexte de libéralisation générale des échanges dans le cadre de l’OMC (amorcée avec l’accord multifibres), le Maroc