L Inflation Et Le Chomage

les entreprises ont tendance à augmenter les salaires chômage. Interprétation suggérée par Phelps (1970) : Il n’existe jamais un taux de salaire équilibrant parfaitement offre et demande de travail. Ce constat résulte de l’existence d’imperfections de l’information (On y reviendra ! balaise…) existence d’un chômage de recherche. [Lien logique ???] Lorsque la demande de travail augmente, les entreprises accroissent leurs salaires chômage. Interprétation suggérée par Lipsey (1961) : imperfections

agents économiques sont en relations : ce que produisent les uns, les autres vont le consommer, et ce que dépensent les autres, d'autres le gagnent. Les ménagent dépensent moins car peur de l'avenir donc moins conso, moins demande, moins production, chômage et cercle vicieux continu. Production DépensesRevenus Exemple ci-dessus du circuit économique. Les agents économiques On identifie les acteurs et grands groupes par leur rôle (c'est quoi leur rôle dans le système économique) et les

CHAPITRE 2 : ETUDE DE DEUX GRANDS DOMAINES D’INTERVENTION PUBLIQUE L’EMPLOI ET LA REPARTITION. THEME 1 : EMPLOI, PLEIN EMPLOI ET CHOMAGE 1. Le niveau d’emploi se détermine sur le marché du travail. Cette approche correspond à l’approche néo-classique (pour les keynésiens il n’y a pas de marché du travail) qui se situe dans le courant libéral de l’économie. Dans cette approche, le travail est une marchandise comme les autres qui s’échange sur un marché. Dans l’optique néo-classique c’est la flexibilité

d’inflation et de récession, on note l’existence de phases dites de « staglaflation » : l’existence de cette phase est la conséquence de chocs économiques (choc financier, choc pétrolier, choc climatique, guerre…) On a alors une stagnation et une inflation. En cas de non confiance, les banques vont augmenter leurs taux d’intérêt pour couvrir les risques de faillite potentiels. Nous sommes en ce moment dans une situation atypique puisqu’en moins de 3ans, le baril de pétrole est passé de 20 à 150$

Définitions et mesure o Inflation : hausse continue et auto-entretenue du niveau général des prix. o Désinflation : l'inflation persiste mais avec un taux en diminution. o Déflation : Phénomène inverse; baisse généralisée des prix sur une assez longue période. o Hyperinflation (ou inflation galopante) : lorsque l'inflation dépasse les 2 chiffres. o Stagflation : l'inflation est accompagnée du chômage et d'un ralentissement économique.

l’Etat ? L’Etat intervient pour compenser les déséquilibres du marché. Il sert d’amortisseur aux crises économiques (c’est la théorie keynésienne : c’est à dire que l’Etat fait en sorte à ce qu’il y ait plein emploi, il régule le marché pour réduire le chômage). Il intervient aussi pour corriger la répartition des richesses. On entend par "intervention" une régulation concernant: * l’affectation des ressources (il oriente l'activité économique). * la redistribution des revenus par les cotisations

des conséquences dans LM et le taux d’intérêt augmente. L’investissement qui dépend de IS va baisser… Chaque fois que l’on touche en quelque chose en économie il y a des conséquences sur tout le reste. Exemple : Voir feuille Titre 1 : inflation, chômage et la courbe de Phillips S’il y a un progrès technique important  baisse des prix Le prix est la conséquence de l’offre et la demande, donc il faut analyser l’aspect offre et l’aspect demande : concurrence. Chapitre 1 : l’inflation

entre mars et juin... » 5 Inquiétudes pour 2010 «Il n'existe pas de soutiens durables à la croissance», renchérit Véronique Riches‐Flores. Il faut dire que la chef économiste a de sombres prévisions pour l'emploi : elle prévoit que le taux de chômage culminera à 11,1 % fin 2010. Le tout alors que les ménages ne pourront plus compter, comme aujourd'hui, sur d b i j d'h i des baisses d prix pour de i doper leur pouvoir d'achat. «L'inflation va repartir à la hausse dans le sillage des matières premières

ces déséquilibres sont importantes : les revenus augmentent moins (ou baisse) et des entreprises disparaissent faute de clients (=effet négatifs de la phase B). 2) Déflation et inflation Déflation : baisse générale des prix (un tx d'inflation négatif), plutôt caractéristique du XIX°s et plus rare au XX°s. Inflation : hausse du niveau générale des prix. Le tx d'inflation désigne le tx de variation générale des prix. C'est un phénomène monétaire qui en théorie devrait se constater en phase A mais

les années 60, la situation va changer. La monnaie va subir une dévaluation qui va amener à une réduction des salaires, augmentation des prix et une diminution de l’état. L’instabilité économique de ces dernières années va être accompagnée d’une inflation qui s’accroit de 25% par an jusqu’à 1973. En 1975, l’inflation atteint 500% du PIB. L’argentine se trouve dans un chaos économique et social. [4] A partir de 1978, l’Argentine va essayer d’instaurer différents plans économiques pour