L Insociabilité

surtout très Élitiste ( préservé à une population populaire ) Les gymnastiques fréquentées par les milieux plus populaires On a une opposition de fond, notamment sur les mentalités et les manières d'être ensemble : les sociabilités et les insociabilités. Définitions données par les dictionnaires. Le Bescherelle, 1870. « Un mot anglais qui signifie jeu, plaisir, badinage et particulièrement le plaisir de la chasse, de la pêche. C'est un mot fort à la mode aujourd'hui parmi nous ».

la compagnie de ses semblables mais il cherche tout autant à les fuir. Si l’homme n’était que sociabilité, il serait heureux mais pas vraiment homme, à l’image des bergers d’Arcadie, guère plus intelligents que les moutons qu’ils gardent. Son insociabilité fait qu’il a tout autant besoin d’affirmer son individualité face au groupe, de ne « tout régler qu’à sa guise ». Cela se traduit à l’extérieur par d’intenses conflits interpersonnels, qui sont en fait vecteur d’humanisation, qui vont faire passer

Aristote: l’homme est un animal politique). Pour Hobbes, au contraire, l’homme est un loup pour l’homme, l’état de nature se caractérise par un état de guerre de tous contre tous; l’Etat a alors pour fonction de réduire par tous les moyens cette insociabilité afin de faire régner la sécurité, bien suprême. Le fondement de l’Etat est donc à chercher dans la nécessité de limiter la violence que les hommes s’infligent et qui relève de leur propre nature. - L’originalité de Kant, au regard de

animal politique, un être qui a besoin des autres, qui s’associe. Mais il ajoute que c’est un être sociable paradoxal dans la mesure où la sociabilité, trouve son négatif dans une insociabilité au moins équivalente « l’homme est une insociable sociabilité ». Et cela car c’est un individu libre. C’est de cette insociabilité que procède un conflit sans fin entre les libertés. Un conflit qui fini par trouver son dépassement temporaire dans l’accord des hommes en vue de réduire la violence et l’insécurité

Volonté qui initie le Politqiue. On s'interroge sur le fondement des soct, soct régies par le rpincipe de concurence et de mimiétisme -> luttes permanenentes. Est ce que il y aune auto-régulation de ces luttes ? Kant. _ Dialectique de l'insociable insociabilité : concurence donc déplacement, positionnement par rapport aux autre individus -> Effet régulateur de mon jugement sur les autres. Ce n'est donc pas uen autoréguation toatale, il ya une dialectique: on intègre le négatif dans le corus de l'HItoire

comédie22 ou du mélodrame. Thénardier ne pense qu'à l'argent. Cette idée l'obsède et se traduit dans tous ses gestes et ses moindres paroles. Le bavard volubile est frappé de cette «raideur mécanique» dont parle Bergson,23 et souvent aussi d'une insociabilité et d'une inattention qui ont pour conséquence qu'il ignore l'habileté de son interlocuteur, qu'il dit tout ce qu'il ne veut pas dire et fait tout ce qu'il ne veut pas faire. Il y a souvent un contraste entre le but et l'effet obtenu. Dans la

dit Kant, les hommes sont insociablement sociables : ils veulent vivre en société, car ils savent que c’est nécessaire (sociabilité), mais chacun n’est pas disposé à s’imposer à lui-même les exigences entraînées par cette existence collective (insociabilité). Livrés à eux-mêmes, les rapports humains seraient donc passionnels, engendreraient conflits et insécurité, débouchant sur une situation contraire à l’objectif poursuivi par l’association. D’où la nécessité d’instituer un arbitrage impartial s’appliquant

semblables et l’insociabilité qui l’amène à faire la guerre aux autres. Cette insociabilité résulte des inclinations sensibles de l’homme et des passions égoïstes. Si elle est moralement condamnable, elle est toutefois à l’origine du développement des dispositions de la société humaine. Elle constitue, paradoxalement, pour une société des germes du progrès. Ainsi, tout se passe comme si la nature se servait de cette insociabilité pour pousser les hommes à réaliser un état où seule la sociabilité régnerait

l’idéal social et l’idéal moral ne diffèrent pas essentiellement. Nous pouvons donc admettre qu’en règle générale ce sont bien les défauts d’autrui qui nous font rire — quitte à ajouter, il est vrai, que ces défauts nous font rire en raison de leur insociabilité plutôt que de leur immoralité. Resterait alors à savoir quels sont les défauts qui peuvent devenir comiques, et dans quels cas nous les jugeons trop sérieux pour en rire. Mais à cette question nous avons déjà répondu implicitement. Le comique,

l’idéal social et l’idéal moral ne diffèrent pas essentiellement. Nous pouvons donc admettre qu’en règle générale ce sont bien les défauts d’autrui qui nous font rire — quitte à ajouter, il est vrai, que ces défauts nous font rire en raison de leur insociabilité plutôt que de leur immoralité. Resterait alors à savoir quels sont les défauts qui peuvent devenir comiques, et dans quels cas nous les jugeons trop sérieux pour en rire. Mais à cette question nous avons déjà répondu implicitement. Le comique,