L Insociabilité

l'Homme sauvage. Les sentiments innés seraient une sorte d'essence bonne présente chez l'Homme, essence qui est ensuite pervertie par la société, par les sentiments et les idées postérieurs et provenant de la vanité. 2) Dualité sociabilité/insociabilité Rousseau aborde ensuite les origines de la société. Il écrit que l'Homme est sociable par nature, mais que cette sociabilité ne provient pas des sentiments innés listés plus haut : la société étant pour Rousseau mauvaise, elle ne peut pas être

  pratiques   déterminés,   et   ainsi   transformer   enfin   un   accord   pathologiquement   arraché   pour   [former]   la   société   en   un   tout   moral.   Sans   cette   insociabilité,   attribut,   il   est   vrai,   en   lui-­‐même   fort   peu   aimable,  d'où  provient  cette  résistance  que  chacun  doit  nécessairement  rencontrer  dans  ses  prétentions

phénomène d’échec proviendrait-il ainsi de la responsabilité des enfants ? On constate en outre que le fort taux de discrimination trouve sa source dans le manque d’apprentissage de normes d’ouverture sociales des parents ou encore une certaine insociabilité des enfants, qui seraient (dans certains cas) eux mêmes renfermés. En bref, le taux d’échec d’enfants d’immigrés serait-il la cause d’un comportement discriminatoire dans le milieu scolaire ? Hypothèses • L’échec scolaire serait du à des

revanche, il exprime l’organisation psychique personnelle qui peut être à l’origine du délire d‘Hanold. A propos de ce personnage, Freud rend compte qu’il semble différent d’un être humain ordinaire: il ne s’intéresse pas aux femmes vivantes. Cet insociabilité ne provient pas de son enfance car nous apprenons qu’il entretenait une forte amitié avec une petite fille. Cette contradiction si nette entre la tendresse de son enfance et l’agression de son présent peut s’exprimer par l’érotisme inachevé de

pour Kant, les hommes sont insociablement sociables : ils veulent vivre en société car ils savent que c’est nécessaire (sociabilité), mais chacun n’est pas disposé à s’imposer à lui-même les exigences entraînées par cette exigence collective (insociabilité). Ainsi, selon Kant, l’homme à l’état de nature ne peut pas vivre en harmonie : leurs rapports passionnels engendreraient conflits et insécurité, débouchant sur une situation contraire à l’objectif poursuivi par l’association, d’où la nécessité

obéir à des règles / lois = Frein retenu aux désirs/ agressivité Morale close Celle d’un ste close donc il (pourrait) existe des ste ouverte Rivalités ds grande sté divisée Egoïsme de la tribu Ste = lieu de morale et injustice ; sociabilité dc insociabilité Trucs à classer(Pas de morale instinctive : discipline = condition pr être libre sinon on est der, la morale exige cd frein) bergson ou probleme ??Propre de la vie = s’associer = création sté (exigeante)Devoir n’a pas besoin de justification =

qu’elle incline à s’en démarquer. DEUXIEME PARTIE - Conséquence : la conjonction des 2 tendances (« insociable sociabilité) conduit à des résistances (et non simplement une fuite des autres : chacun résiste aux autres, car chacun éprouve son insociabilité alors qu’il est de toutes manières déjà en société) - Ces résistances sont la condition 1ère d’un « éveil » des hommes (// avec les germes, les virtualités repérés en 1ère partie) - Cet éveil le conduit à se différencier de sa nature (« surmonter

permanentes logées en lui que l’homme peut voir émerger sa raison, partie non instinctive de sa nature. Cependant ce progrès humain ne peut se réaliser que dans la vie sociale. D’une manière inévitable, l’homme intègre donc la vie sociale malgré son insociabilité. Et c’est ce caractère d’insociabilité de l’homme, qui le pousse à tout faire selon ses désirs individuels, qui donne naissance à des résistances au cœur des rapports entre les hommes. La résistance, c’est le désir de chaque individu à s’affirmer

moi et à en faire un pôle d’insubordination à la loi commune. Il vise son intérêt particulier auquel il n’hésite pas, parfois, à sacrifier l’intérêt général. Il veut vivre avec les autres mais il veut les soumettre à sa loi. C’est sa radicale insociabilité. L’impuissance humaine à se passer des autres n’a donc d’égal que l’impuissance à vivre en harmonie avec ses compagnons. Cette « insociable sociabilité » rend intelligibles deux faits apparemment contradictoires :  D’une part, les hommes ne vivent

permanentes logées en lui que l’homme peut voir émerger sa raison, partie non instinctive de sa nature. Cependant ce progrès humain ne peut se réaliser que dans la vie sociale. D’une manière inévitable, l’homme intègre donc la vie sociale malgré son insociabilité. Et c’est ce caractère d’insociabilité de l’homme, qui le pousse à tout faire selon ses désirs individuels, qui donne naissance à des résistances au cœur des rapports entre les hommes. La résistance, c’est le désir de chaque individu à s’affirmer