L Instinct De Survie

1. Le sens le plus concret : culture = agriculture. L'agriculture est une technique par laquelle l'homme travaille la terre (quelque chose de naturelle) dans le but de produire plus que ce que donne la nature. Il produit ce qui est nécessaire à sa survie. L'agriculture n'a pas toujours existé, elle a été mise au point par l'homme au cours de la révolution néolithique (autour de 8000/9000 avant JC en Mésopotamie). 2. La culture désigne aussi la culture d'un peuple (sens collectif : civilisation)

différences, c’est-à-dire que l’Homme selon Kant est sans instinct et il a besoin de sa raison et besoin d’aide pour se soigner, toujours être soutenue. L’Animal lui détient un instinct qui lui permet de répondre à ses besoins par lui-même et il a une raison non nécessaire contraire à l’Homme. B – L’Homme et L’Animal ce différencie clairement, car L’Animal selon Kant est autonome, ce qui est naturel chez lui donc nécessaire à sa survie et alors n’a pas besoin d’une aide extérieur. En opposition

quelconque. L’homme n’est pas doté d’un savoir ni de connaissances dès le début mais doit au contraire les acquérir seul. Il n’est pas guidé par un instinct naturel, c'est-à-dire qu’il n’est pas guidé par sa nature, mais il doit plutôt tout découvrir lui-même en se forgeant un mode de penser et une intelligence. En dotant l’homme d’un raison à défaut d’un instinct, la nature a voulu que l’homme invente lui-même les moyens pour arriver à ses fins. La nature a volontairement fait preuve d’une certaine économie

qui différencie, selon moi, l’être humain des autres espèces est toutefois fondamental. Je pense que notre “supériorité” tient au fait que nous sommes les seuls animaux à posséder une conscience aiguë de l’effet à long terme de nos actions sur la survie de l’espèce (une sorte de sur-moi de l’espèce), conscience qui s’est développée au cours de notre histoire et se développe encore aujourd’hui. QUELLE DÉFINITION DONNER À UNE ESPÈCE ? Afin de clarifier notre discours, et sortant de la taxinomie biologique

d’un groupe ou d’une communauté. C’est pourquoi l’homme se distingue des autres espèces animales en transformant la nature que l’on lui a donnée en un élément artificielle. 2. Sachant, que l’homme écrit sa propre histoire, non dictée par son instinct peut-on alors se demander en quoi la culture travaille t-elle à nous rendre plus humain ? 3. Le terme culture est associé à la civilisation et à la société donc à l’homme et l’homme quant à lui est opposé à l’animal et à l’état sauvage, on

par l’instinct vital, qu’il partage avec l’animal. Aussi développe-t-il, de la même manière que ce dernier, différent comportement destiné à satisfaire ses besoins, de même qu’un animal il va chercher à se nourrir, se reproduire, se protéger et son instinct grégaire va le pousser à vivre en groupe comme c’est le cas pour l’éléphant par exemple. En définitive, sur le plan corporel, l’homme peut être considéré comme un être vivant semblable aux autres, par sa composition et son comportement vis-à-vis

de la mémoire, repérage et navigation dans l’espace, mémoire de survie de l’espèce- Amygdale : centre de la peur- Lobe préfrontale ( existe seulement chez l’homme) : réguler nos émotions, savoir choisir, avoir un sens critique et éthique, éprouver de l’empathie, pouvoir aimer.Le cerveau de l’être humain est constitué de 3 parties : Cerveau reptilien (dit aussi « archaïque »), centre de nos comportements primaires (instincts de survie…) et de notre contrôle moteur (respiration, digestion…) Cerveau

de gênes en commun avec le chimpanzé, il y a ce pourcentage mystérieux qui lui est propre et qui fait toute la différence. L’être humain, bien sûr a des instincts comme les bêtes (instinct de survie, instinct sexuel, instinct de reproduction, instinct grégaire), mais il a un instinct qui lui est propre, celui de connaissance. Cet instinct de connaissance est propre uniquement à l’homme comme le remarquait déjà le philosophe Aristote dans son traité De Anima (De l’âme) au IVème siècle avant J-C

arguments que je vais) présent énumérer et défendre, que nous ne pouvons considéré mon client, Monsieur Jacque Randel, comme coupable de vol à effraction et viol !Nous plaiderons donc coupable pour le vol à effraction avec circonstance atténuantes : la survie, et non coupable pour le viol.La défense :Messieurs les juges, passons maintenant au sujet du vol à effraction. Mon client Jacque Randel a très faim, marchant depuis 40 jours, il sent une odeur délicieuse venant d’une maison, rien de plus normal que

99% de gênes en commun avec le chimpanzé, il y a ce pourcentage mystérieux qui lui est propre et qui fait toute la différence. L’être humain, bien sûr a des instincts comme les bêtes (instinct de survie, instinct sexuel, instinct de reproduction, instinct grégaire), mais il a un instinct qui lui est propre, celui de connaissance. Cet instinct de connaissance est propre uniquement à l’homme comme le remarquait déjà le philosophe Aristote dans son traité De Anima (De l’âme) au IVème siècle avant J-C