L Instinct De Survie

posant un ensemble de normes et d’interdits, la morale prétend en effet définir des critères absolus du bien et du mal. Elle suppose que l’homme, parce qu’il est raisonnable et doté d’une volonté, est capable de ne pas céder comme l’animal à ses instincts naturels. Or, est-ce possible ? Le bien n’est-il pas qu’une manière pour l’homme de définir ce qui est utile à sa propre conservation ? Peut-on donc établir une réelle différence entre l’homme et la nature, entre la morale et l’instinct ? La réponse

nous vous expliquerons ce qu’elles sont. Au commencement, L’Homme ainsi que tous les animaux étaient faits de terre et de feu. Petit à petit, Épiméthée avait comme mission d’accorder à toutes les espèces des moyens de défense et des capacités de survie. Malheureusement, Épiméthée avait omis l’Homme. Celui-ci se retrouva sans aucune habileté. Il était faible, vulnérable, nu et sans défense. Alors, nous pouvions déjà voir qu’il était différent des autres animaux. En voyant ce malheur, Prométhée alla

quelques mois sera le même qu’il sera pour tout le reste de sa vie et de même pour ce qui est de sa race, elle sera ainsi pour des milliers d’années. Donc, il n’y a pas vraiment de perfectionnement dans sa race. Pour l’homme, il reste toujours avec son instinct, ce qui fait que pour lui un jour il sera reperdant de vieillesse ou d’autres accidents et tout ce qui croyais être parfait lui retombera plus bas que lui-même car il a la faculté de se perfectionné de jour en jour. La deuxième différence entre l’homme

posant un ensemble de normes et d’interdits, la morale prétend en effet définir des critères absolus du bien et du mal. Elle suppose que l’homme, parce qu’il est raisonnable et doté d’une volonté, est capable de ne pas céder comme l’animal à ses instincts naturels. Or, est-ce possible ? Le bien n’est-il pas qu’une manière pour l’homme de définir ce qui est utile à sa propre conservation ? Peut-on donc établir une réelle différence entre l’homme et la nature, entre la morale et l’instinct ? La réponse

consciences, par exemple le somnambulisme ou les maladies mentales. La réaction de quelqu’un qui riposte à un coup de poing immédiatement après que celui-ci lui soit destiné est un acte instinctif. C’est l’instinct de survie de l’homme, dans ce cas là, qui lui dicte son acte. Cet instinct est gravé dans les gènes de l’espèce humaine. Il en résulte des actions impulsives et spontanées, lors d’un acte instinctif on agit rapidement, sans avoir le temps de réfléchir aux conséquences. La personne qui riposte

ne devons pas tout attendre de l'État ; faut-il admettre que l’essentiel est ailleurs ? Alors l’homme tel qu’il pourrait exister hors de l'État, n’est-il pas un simple animal, obéissant à ses instincts ? D’une part il semblerait donc qu’il faille tout attendre de l'État, étant une nécessité pour la survie des hommes. Cependant d’autre part, en tant que citoyen, l’homme doit-il se contenter de rester passif ? Et enfin tout attendre de l'État, n’est-ce pas solliciter une forme de despotisme ? D’après

ces devoirs qui le pousse à accomplir primordialement des actes simples et nécessaires à son bien-être et à sa survie, personnelle, familiale ou collective ? Malgré cette prise de conscience de son existence où l’homme pense, mais surtout qu’il sait qu’il pense s’oppose une matérialité constituée d’actes primitifs et basiques et une capacité à accomplir des taches simples pour sa survie que l’homme répète de générations en générations. On est en droit de se poser la question l’homme est-t-il un être

question: Selon Rousseau, l’humain se différencie dans sa capacité à décider de son propre sort, de ne pas dépendre entièrement de ce que son instinct lui suggère de faire pour faire ses choix. Ce fait important permet à l’être humain de progresser et de se dépasser sous plusieurs aspects de sa vie, contrairement aux autres animaux qui sont limités par leur instinct et dont l’évolution est stagnante. (66 mots) 4ème question: L’auteur croit que l’humain est le seul être capable de causer consciemment

également la comparaison péjorative de l’homme avec le loup. Pour persuader son compagnon loup de redevenir homme, Ulysse met en avant le fait que le loup est un animal cruel, sanguinaire, qui tue les moutons dans les prairies et ne connaît que son instinct sauvage. Son compagnon lui répond en lui disant que l’homme aurait mangé les moutons de toute façon, tout en n’étant pas moins cruel. D’un point de vue philosophique, le compagnon d’Ulysse veut dire que derrière son image de bienfaiteur, l’homme

animaux, eux, dispose d’un instinct, ils possèdent des dispositifs utiles à leur survie. Dans cet extrait des Deux sources de la morale et de la religion, Henri Bergson nous apprend que l’intelligence n’est peut-être pas une bonne chose pour l’Homme, en effet il est dit qu’« une double imperfection est la rançon de l’intelligence ». On peut se demander si l’intelligence de l’Homme est vraiment un outil permettant de l’adapter dans le monde, ou si l’animal, grâce à son instinct, l’est mieux que l’Homme