L'Isle-d'Abeau

Le corpus proposé à l'étude est composé de trois textes : Le Misanthrope de Molière, Axël de Auguste de Villiers de l'Isle-Adam et Rhinocéros de Eugène Ionesco parmis ces extraits qui offrent aux lecteurs des situations théâtral complexes. Nous verrons en quoi ces pièces de théâtre se ressemble et s'oppose en même temps ? En effet, nous verrons premièrement que l'attitude des personnes centraux s'assimilent, puis qu'il y a des différences d'écritures entre ces trois textes. Nous pouvons voir que

Villiers de L'Isle-Adam Il est le fils unique du marquis et appartenait à l’une des vieilles familles de France et comptait parmi ses ancêtres le Villiers de l’Isle-Adam, qui fut grand-maître de l’ordre de Malte. Ses débuts à Paris furent ceux de tous les jeunes de son temps : cafés, théâtres, coulisses, arrières-scènes et bohème parisienne n’eurent rapidement plus de secrets pour lui. Dandy, il posa dans les endroits à la mode, avant de se lancer, enfin, en 1858. Il publia d’abord quelques

Ténèbres appartient à la série des Contes Cruels de Villiers de l'Isle Adam, publiés en 1883. Il s'agit d'un très court récit, néanmoins complexe et abouti, donnant lieu à une véritable réflexion sur les thèmes de l'amour et de la mort. Ce conte est également très critique envers la figure du bourgeois, mais très agile dans sa façon de l'être. C'est pourquoi je proposerai, à travers cette étude, d'expliquer en quoi l'habileté de Villiers de l'Isle-Adam réside dans sa capacité à mener le récit de telle sorte

texte de 1884 écrit par Verlaine. Dans ce texte, il écrit à propos de 6 auteurs qu'il estime talentueux, mais qui n'ont pas été reconnus à leur juste valeur (Tristan Corbière, Arthur Rimbaud, Stéphane Mallarmé, Marceline Desbordes-Valmore, Villiers de l’Isle-Adam et Pauvre Lelian). Ensuite, par extension, le terme de "poète maudit" a été appliqué à tous les poètes non reconnus de leur vivant et/ou ayant eu des vies chahutées (maladie, prison, addiction, deuil, etc), et Verlaine ayant eu une vie difficile

récits fantastiques de Guy de Maupassant La Cafetière et autres nouvelles fantastiques de Théophile Gautier Le Horla et autres contes fantastiques de Guy de Maupassant Le Chat noir et autres nouvelles d’Edgar Allan Poe Contes cruels de Villiers de L’Isle-Adam La Photo qui tue, neuf histoires à vous glacer le sang d’Anthony Horowitz La rivière à l’envers – 1. Tomek de Jean-Claude Mourlevat Murkmere de Patricia Elliot Le K de Dino Buzzati Consignes : A l’écrit, dans le carnet de lectures personnelles :

Le texte étudié ici correspond à un extrait des Contes Cruels, recueil paru en 1883 par le romancier et critique littéraire Villiers de L’Isle-Adam (1838-1889). Ce recueil, l’un des plus célèbres de l’auteur, regroupe différents contes, ici celui des « Deux Augures ». Tout le recueil a pour dénominateur commun, selon l’auteur, la cruauté. Villiers de L’Isle-Adam montre à travers ses textes les travers de ses contemporains. Certains contes relèvent pour leur part du genre fantastique. L’extrait

contre un ordre social jugé inique, contre une morale hypocrite, contre une religion qui dégrade le sens du sacré, ou encore contre une esthétique qui a besoin de traitements de choc pour sortir du prosaïsme dans lequel elle s'enlise. Villiers de l'Isle-Adam et Léon Bloy, à mon sens encore trop peu étudiés, font partie de cette génération 'fin de siècle', comme il est convenu de l'appeler, c'est-à-dire d: cette génération désabusée, rêvant d'Idéal et ne trouvant sur terre que matérialisme et positivisme

d'abord aux naturalistes, la cristallographie va prendre son envol en France essentiellement au cours des xixe et xxe siècles et sera marquée principalement par trois figures : Jean-Baptiste Romé de l'Isle, René Just Haüy et Auguste Bravais. [modifier] La science classique des cristaux Romé de l'Isle, en reprenant les travaux de Stenon, remarque en 1772 que, bien que les faces des cristaux soient en général de tailles différentes du fait même de leur croissance, deux faces adjacentes forment toujours

Sainte-Pélagie, Ricard ouvre un nouveau salon, politique et littéraire, dans les appartements de sa mère, où fréquentent, outre Verlaine et son ami (et futur biographe) Edmond Lepelletier, Catulle Mendès, José-Maria de Heredia, François Coppée, Villiers de l'Isle-Adam, ou encore Anatole France-Thibault2. Les frères de Goncourt donneront dans leur Journal une description peu amène de ce cénacle : « C'est dans une maison des Batignolles, chez un M. de Ricard, que s'est abattue toute la bande de l'art

"supérieur" pour tourner en dérision : Dans le corpus, on nous a présenté quatre textes que nous avons étudié, comparés et analysés. Nous avons travaillé avec un poème de Verlaine, nommé Monsieur Prudhomme, avec Tribulat Bonhomet de Villiers de L’Isle-Adam, une pièce de théâtre, Ubu roi d’Alfred Jarry et enfin, un texte de Léon Bloy intitulé "Les affaires sont des affaires". Dans un premier temps, je vous expliquerai quel moyen m’a le plus touché et pourquoi, ensuite je vous dirai ce qu’il permet