L Objectivité De Zola

Le Naturalisme de Zola : réalités, symboles et critique sociale Séquence réalisée par M. Carlos Guerreiro, professeur certifié de Lettres Modernes, pour ses élèves de seconde du lycée de l'Arc à Orange. Objet d'étude : « Le roman et la nouvelle au XIXe siècle : réalisme et naturalisme » Problématique et objectifs : Cette courte séquence succède à l'étude du Colonel Chabert qui aura permis de formaliser les principes essentiels du réalisme balzacien. En prolongement, on propose un travail autour

II. L’EXPRESSIONISME DS LES ARTS L’expressionisme est un mvt artistique qui nait en Allemagne fin du 19ème s. * Mvt en réaction à l’impressionnisme pictural (comment la nature rejaillit de l’individu) & au naturalisme littéraire (Zola) * St devenus ds courants dominants * 1. Expressionisme va combattre une société étouffante, très stricte, sans âme (Allemagne gouvernée par Guillaume II) * 2. Exprimer une émotion, défendre la subjectivité des artistes. Côté personnel

auteurs comme Emile Zola, Gustave Flaubert ou encore Guy de Maupassant. Tous se consacreront au roman, genre jusqu'alors négligé et mineur car il autorise toutes les libertés formelles. Il deviendra le genre parfait pour essayer de rapprocher le plus possible leur personnage de fiction à la réalité. Les histoires réelles sont privilégiées, les personnages ont des sentiments vraisemblables et le milieu ainsi que le physique des personnages sont évoqués avec minutie et objectivité. L’univers romanesque

des sentiments vraisemblables et le milieu ainsi que le physique des personnages sont évoqués avec minutie et objectivité. Guy de Maupassant connaissait G. Flaubert (1821-1880) qui était également un romancier réaliste. Il écrivit comme œuvre plus ou moins reconnues Madame de Bovary 1857 , Salambô 1862 , L'éducation Sentimentale 1869 ainsi que Recueil de trois contes 1877. Emile Zola (1840-1902) faisait également parti de ses connaissances mais il l'appréciait peu. C'était aussi un romancier

Brunetière et Gustave Lanson ET L'AUTRE de la critique dite « impressionniste » (avec Anatole France). La critique scientifique promeut une sorte de lecture savante reposant sur un certain nombre de critiques qui peut s'enseigner et qui assure une objectivité, une fidélité au texte (cf citation Lanson). La critique impressionniste quant à elle parle plutôt d'une critique de liseur, d'amateur : individuel, subjectif (ressenti, impressions). → Qu'est ce qui va décider que le sens attribué à une œuvre

ou pas. Ce qui me permet de chosir c’est ni ce que l’onf ait, ni ce que j’ai envie de faire, l’imagination ? Ethique et imagination ? Est-ce que dans la fiction ne se forme pas les nomres de conduite, la littérature est un laboratoire éthique avec zola etc… qui nous montre ce que c’est qu’un dilemme, l’ignorance, la perversité, la fiction pourrait par la réprobation qu’elle sucite, œuvre de fiction repose sur le vraisemblable éthique, suivent toutes une ligne d’éthique vraisemblable, capacité de

l´extérieur, vers le monde et vers la société. Certains auteurs prennent plutôt parti pour l´objectivité; c´est surtout dans le réalisme que l´on retrouvera ce besoin d´objectivité; notamment dans le courant que l´on nomme “réalisme objectif”. L´apogée de ces nouvelles idées se fait avec Flaubert et la publication de son plus grand roman “Madame Bovary” en 1857. On recherche alors un certain idéal d´objectivité dans le but de montrer la réalité telle qu´elle est, tel qu´on la perçoit. On doit ce changement

l’écriture qui se rapproche de celle d’un journal intime », pas de précision sur le temps). Action in medias res, lecteur plongé dans le monde absurde du personnage qui est aussi le sien. Le narrateur est en marge, il interroge le lecteur par son objectivité. Le lecteur voit ses propres habitudes de vie mises en cause dans un roman où l’absurde de l’existence prône ce qui éclaire le titre de l’œuvre « Etranger » au monde, aux conventions, aux lecteurs qui vont le découvrir au cours du roman en se découvrant

définitivement le vers et l’épopée. Ces œuvres romanesques s’attachent à explorer des thèmes modernes comme le portrait du lecteur chez Madame Bauvary de Flaubert, ou encore la description d’évènements historiques et politiques dans Germinal d’Emile Zola. Le roman miroir de la société, révolutionne le genre, et promet des espaces de créations aux limites infinies. Ainsi, cette entreprise d’abolition des frontières qui séparent les genres littéraires suscite la création d’œuvres qui vont redéfinir

Les médias au cœur des crises politiques. a) La presse forme l’opinion. Presse alimentée par les articles de journalistes ET de personnalités politiques (Ex : J. Jaurès, G. Clémenceau), mais aussi des caricaturistes et des grandes plumes (Ex : E. Zola). Entre-deux guerres : apparit° « Grand reporter » (articles de « fond »). La presse contribue à éclairer l’opinion publique, elle reflète les divisions d’opinions publiques (presses diverses, presses antagonistes  opposées, presses syndicales  informent